Prosper Mérimée est né en septembre 1803 à Paris. Il est mort à Cannes en septembre 1870. D’origine française, il est un archéologue, un écrivain et un historien. Il a fait de longues études et est non seulement titulaire d’une licence en droit, mais aussi détenteur d’un certificat musical de fin d’études. Il maîtrise l’anglais, l’arabe, le grec et le russe. Les parents de Prosper disposent d’un solide bagage littéraire et intellectuel qui lui a permis de porter un certain intérêt à la littérature.
Dès 1825, il commence à publier ses premières œuvres. « La Vénus d'Ille » est l’une de ses nouvelles les plus fameuses. L’action se déroule sur Ille-sur-Têt, une ville dans le département des Pyrénées Orientales. Elle met en scène le narrateur (un archéologue), M. de Peyrehorade et sa femme, Alphonse de Peyrehorade ainsi que la Statue de Vénus. Ici, l’auteur nous plonge au cœur de l’histoire fantastique, imaginaire et intrigante d’une statue. Cette statue semble être à l’origine d’accidents, existe-t-il une explication rationnelle à ce phénomène ?
Sensible et émotionnel, Prosper Mérimée n’hésite pas à aborder des thèmes comme la femme, l’amour ou la nature dans ses œuvres. C’est le cas dans l’ouvrage « La perle de Tolède ». C’est une histoire passionnante que vous prendrez beaucoup de plaisir à lire.
La Vénus d'Ille. Suivi de Djoûmane et de Les sorcières espagnoles
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- Nombre de pages68
- FormatePub
- ISBN978-2-266-22561-8
- EAN9782266225618
- Date de parution25/10/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurPocket
- PréfacierJean-François Patricola
Résumé
Alors que le narrateur est en pleine excursion sur le mont Canigou près des Pyrénées, il apprend qu'une statue antique de Vénus de toute beauté a été exhumée à Ille. Il décide de faire un détour pour aller l'admirer chez son heureux détenteur, M. de Peyrehorade, qui lui offre l'hospitalité. Sa curiositéà son égard est renforcée par les histoires quelque peu étonnantes qui entourent sa découverte : un homme aurait déjà eu sa jambe brisée lors de son extraction de terre ; la statue aurait renvoyer la pierre qu'un jeune garçon lui avait jetée ; surtout, la Vénus « retient » la bague que le fils de M.
de Peyrehorade, Alphonse, sur le point de se marier, avait glisséà son doigt pour mieux jouer à la pelote. Il avait remporté la partie contre un Espagnol, qui, humilié, avait promis de se venger. Or, au cours de la nuit de noces, un grand bruit se fait entendre et le marié est assassiné, son cadavre portant de nombreuses traces de violence... Au terme du récit, M. de Peyrehorade ne survit pas à son fils et la statue, fondue, sert de cloche à l'église d'Ille.
La Vénus d'Ille (1867) est une nouvelle fantastique fondée sur l'hésitation entre une explication « rationnelle » (l'Aragonais a promis de se venger et il y a toute une série d'indices qui permettent de croire qu'il a tué Alphonse) et une explication surnaturelle (le maléfice perpétuel de la déesse Vénus, la statue qui s'anime). Le narrateur joue son rôle habituel dans une histoire fantastique : son entremise concourt à l'accréditer...
de Peyrehorade, Alphonse, sur le point de se marier, avait glisséà son doigt pour mieux jouer à la pelote. Il avait remporté la partie contre un Espagnol, qui, humilié, avait promis de se venger. Or, au cours de la nuit de noces, un grand bruit se fait entendre et le marié est assassiné, son cadavre portant de nombreuses traces de violence... Au terme du récit, M. de Peyrehorade ne survit pas à son fils et la statue, fondue, sert de cloche à l'église d'Ille.
La Vénus d'Ille (1867) est une nouvelle fantastique fondée sur l'hésitation entre une explication « rationnelle » (l'Aragonais a promis de se venger et il y a toute une série d'indices qui permettent de croire qu'il a tué Alphonse) et une explication surnaturelle (le maléfice perpétuel de la déesse Vénus, la statue qui s'anime). Le narrateur joue son rôle habituel dans une histoire fantastique : son entremise concourt à l'accréditer...
Alors que le narrateur est en pleine excursion sur le mont Canigou près des Pyrénées, il apprend qu'une statue antique de Vénus de toute beauté a été exhumée à Ille. Il décide de faire un détour pour aller l'admirer chez son heureux détenteur, M. de Peyrehorade, qui lui offre l'hospitalité. Sa curiositéà son égard est renforcée par les histoires quelque peu étonnantes qui entourent sa découverte : un homme aurait déjà eu sa jambe brisée lors de son extraction de terre ; la statue aurait renvoyer la pierre qu'un jeune garçon lui avait jetée ; surtout, la Vénus « retient » la bague que le fils de M.
de Peyrehorade, Alphonse, sur le point de se marier, avait glisséà son doigt pour mieux jouer à la pelote. Il avait remporté la partie contre un Espagnol, qui, humilié, avait promis de se venger. Or, au cours de la nuit de noces, un grand bruit se fait entendre et le marié est assassiné, son cadavre portant de nombreuses traces de violence... Au terme du récit, M. de Peyrehorade ne survit pas à son fils et la statue, fondue, sert de cloche à l'église d'Ille.
La Vénus d'Ille (1867) est une nouvelle fantastique fondée sur l'hésitation entre une explication « rationnelle » (l'Aragonais a promis de se venger et il y a toute une série d'indices qui permettent de croire qu'il a tué Alphonse) et une explication surnaturelle (le maléfice perpétuel de la déesse Vénus, la statue qui s'anime). Le narrateur joue son rôle habituel dans une histoire fantastique : son entremise concourt à l'accréditer...
de Peyrehorade, Alphonse, sur le point de se marier, avait glisséà son doigt pour mieux jouer à la pelote. Il avait remporté la partie contre un Espagnol, qui, humilié, avait promis de se venger. Or, au cours de la nuit de noces, un grand bruit se fait entendre et le marié est assassiné, son cadavre portant de nombreuses traces de violence... Au terme du récit, M. de Peyrehorade ne survit pas à son fils et la statue, fondue, sert de cloche à l'église d'Ille.
La Vénus d'Ille (1867) est une nouvelle fantastique fondée sur l'hésitation entre une explication « rationnelle » (l'Aragonais a promis de se venger et il y a toute une série d'indices qui permettent de croire qu'il a tué Alphonse) et une explication surnaturelle (le maléfice perpétuel de la déesse Vénus, la statue qui s'anime). Le narrateur joue son rôle habituel dans une histoire fantastique : son entremise concourt à l'accréditer...