La Vendée des Cent - Jours
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- Nombre de pages446
- FormatePub
- ISBN2-262-08481-5
- EAN9782262084813
- Date de parution01/01/1999
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille645 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...
Résumé
Napoléon, échappé de l'île d'Elbe, débarque à Golfe-Juan le 1er mars 1815, entre à Paris le 20 mars tandis que Louis XVIII a gagné Gand et signe sa seconde abdication le 22 juin. Pendant les Cent-Jours, au nord et au sud de la Loire, des grands noms de l'ex-Vendée militaire (Poitou, Anjou, Maine, Bretagne, Normandie) ont tenté de soulever ces provinces contre l'"usurpateur". C'est le récit détaillé de cette nouvelle "Vendée" que nous fait Jean-François Chiappe.
La question religieuse n'étant plus à l'ordre du jour depuis le Concordat, l'appel aux armes ne mobilisa pas les paysans comme en 1793, mais l'Armée catholique et royale fixa tout de même à l'Ouest 40 000 "bleus" dont on s'est demandé si leur présence à Waterloo n'eût pas changé le sort de la bataille. Jean-François Chiappe évoque aussi la "Vendée bordelaise", la "Vendée toulousaine" et la "Vendée bas-languedocienne", autrement dit les autres mouvements armés royalistes suscités par le "vol de l'Aigle".
Pour traiter ce volet des Cent-Jours, trop souvent oublié par les historiens et donc méconnu du public, l'auteur, assisté d'Eric Vatré, a pris en compte l'environnement religieux, familial, économique, financier, linguistique. Mais, surtout, il a exhumé et redonné vie à des êtres de chair toujours prêts à sacrifier leur sang par fidélité à leurs principes.
La question religieuse n'étant plus à l'ordre du jour depuis le Concordat, l'appel aux armes ne mobilisa pas les paysans comme en 1793, mais l'Armée catholique et royale fixa tout de même à l'Ouest 40 000 "bleus" dont on s'est demandé si leur présence à Waterloo n'eût pas changé le sort de la bataille. Jean-François Chiappe évoque aussi la "Vendée bordelaise", la "Vendée toulousaine" et la "Vendée bas-languedocienne", autrement dit les autres mouvements armés royalistes suscités par le "vol de l'Aigle".
Pour traiter ce volet des Cent-Jours, trop souvent oublié par les historiens et donc méconnu du public, l'auteur, assisté d'Eric Vatré, a pris en compte l'environnement religieux, familial, économique, financier, linguistique. Mais, surtout, il a exhumé et redonné vie à des êtres de chair toujours prêts à sacrifier leur sang par fidélité à leurs principes.
Napoléon, échappé de l'île d'Elbe, débarque à Golfe-Juan le 1er mars 1815, entre à Paris le 20 mars tandis que Louis XVIII a gagné Gand et signe sa seconde abdication le 22 juin. Pendant les Cent-Jours, au nord et au sud de la Loire, des grands noms de l'ex-Vendée militaire (Poitou, Anjou, Maine, Bretagne, Normandie) ont tenté de soulever ces provinces contre l'"usurpateur". C'est le récit détaillé de cette nouvelle "Vendée" que nous fait Jean-François Chiappe.
La question religieuse n'étant plus à l'ordre du jour depuis le Concordat, l'appel aux armes ne mobilisa pas les paysans comme en 1793, mais l'Armée catholique et royale fixa tout de même à l'Ouest 40 000 "bleus" dont on s'est demandé si leur présence à Waterloo n'eût pas changé le sort de la bataille. Jean-François Chiappe évoque aussi la "Vendée bordelaise", la "Vendée toulousaine" et la "Vendée bas-languedocienne", autrement dit les autres mouvements armés royalistes suscités par le "vol de l'Aigle".
Pour traiter ce volet des Cent-Jours, trop souvent oublié par les historiens et donc méconnu du public, l'auteur, assisté d'Eric Vatré, a pris en compte l'environnement religieux, familial, économique, financier, linguistique. Mais, surtout, il a exhumé et redonné vie à des êtres de chair toujours prêts à sacrifier leur sang par fidélité à leurs principes.
La question religieuse n'étant plus à l'ordre du jour depuis le Concordat, l'appel aux armes ne mobilisa pas les paysans comme en 1793, mais l'Armée catholique et royale fixa tout de même à l'Ouest 40 000 "bleus" dont on s'est demandé si leur présence à Waterloo n'eût pas changé le sort de la bataille. Jean-François Chiappe évoque aussi la "Vendée bordelaise", la "Vendée toulousaine" et la "Vendée bas-languedocienne", autrement dit les autres mouvements armés royalistes suscités par le "vol de l'Aigle".
Pour traiter ce volet des Cent-Jours, trop souvent oublié par les historiens et donc méconnu du public, l'auteur, assisté d'Eric Vatré, a pris en compte l'environnement religieux, familial, économique, financier, linguistique. Mais, surtout, il a exhumé et redonné vie à des êtres de chair toujours prêts à sacrifier leur sang par fidélité à leurs principes.













