Écrivaine française, Rachilde – pseudonyme de Mme Alfred Vallette, née Marguerite Eymery –, est née au Cros, près de Périgueux (Dordogne), le 11 février 1860. Lesbienne intéressée par les questions d'identité sexuelle et d'inversion, elle s'habille et se coiffe à la garçonne et fait imprimer ses cartes de visite au nom de "Rachilde, homme de lettres" . Elle est morte à Paris le 4 avril 1953.
La Tour d’amour
1e édition
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- Nombre de pages240
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-8249-0761-1
- EAN9782824907611
- Date de parution02/01/2024
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurRépublique des Lettres
Résumé
Romancière « fin de siècle » associée à toute la vie littéraire de son temps, Rachilde traite ici de façon bouleversante le thème de la solitude à travers l'histoire sulfureuse de deux gardiens de phare: le vieux Mathurin Barnabas et le jeune Jean Maleux qui vient l'aider. Leur phare, c'est le phare d'Ar-men, le plus haut des phares bretons. La mer alentour, au rythme de laquelle oscille la construction, ne se fait jamais oublier.
Rachilde raconte la prise de possession de Jean Maleux par ce phare qui exsude un démon de la solitude au pouvoir dissolvant. Dans cette ambiance confinée et morbide, il découvre le pitoyable secret de Barnabas. Le vieux gardien de phare voue en effet un culte aux femmes noyées lors des tempêtes et les guette pour pouvoir les aimer. Une sorte d'entente muette s'établit entre les deux hommes jusqu'à la mort de Barnabas.
Rachilde raconte la prise de possession de Jean Maleux par ce phare qui exsude un démon de la solitude au pouvoir dissolvant. Dans cette ambiance confinée et morbide, il découvre le pitoyable secret de Barnabas. Le vieux gardien de phare voue en effet un culte aux femmes noyées lors des tempêtes et les guette pour pouvoir les aimer. Une sorte d'entente muette s'établit entre les deux hommes jusqu'à la mort de Barnabas.
Romancière « fin de siècle » associée à toute la vie littéraire de son temps, Rachilde traite ici de façon bouleversante le thème de la solitude à travers l'histoire sulfureuse de deux gardiens de phare: le vieux Mathurin Barnabas et le jeune Jean Maleux qui vient l'aider. Leur phare, c'est le phare d'Ar-men, le plus haut des phares bretons. La mer alentour, au rythme de laquelle oscille la construction, ne se fait jamais oublier.
Rachilde raconte la prise de possession de Jean Maleux par ce phare qui exsude un démon de la solitude au pouvoir dissolvant. Dans cette ambiance confinée et morbide, il découvre le pitoyable secret de Barnabas. Le vieux gardien de phare voue en effet un culte aux femmes noyées lors des tempêtes et les guette pour pouvoir les aimer. Une sorte d'entente muette s'établit entre les deux hommes jusqu'à la mort de Barnabas.
Rachilde raconte la prise de possession de Jean Maleux par ce phare qui exsude un démon de la solitude au pouvoir dissolvant. Dans cette ambiance confinée et morbide, il découvre le pitoyable secret de Barnabas. Le vieux gardien de phare voue en effet un culte aux femmes noyées lors des tempêtes et les guette pour pouvoir les aimer. Une sorte d'entente muette s'établit entre les deux hommes jusqu'à la mort de Barnabas.