La Tombe de fer
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- Nombre de pages310
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-346-06001-6
- EAN9782346060016
- Date de parution18/04/2016
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans ...
- ÉditeurCollection XIX
Résumé
Par une belle journée d'été, je cheminais, le bâton de voyage à la main, le long d'une des chaussées, qui, d'Anvers, se dirigent vers la Campine. J'étais las dé rêver et de jouir du spectacle de la nature ; car la longue route avait fatigué mes membres, et la chaleur étouffante avait émoussé la sensibilité de mon cerveau.
Ce n'était pas que j'eusse fait une longue journée de marche, ni précipité mon pas de manière à épuiser mes forces.
J'étais parti de la ville le matin de bonne heure ; j'avais marché, je m'étais assis au bord de la route, j'avais causé avec des gens de l'auberge ; j'avais cueilli des herbes et effeuillé des fleurs, et, ainsi rêvant, flânant et jouant avec un plaisir enfantin, je n'avais fait que trois lieues de chemin quand le soleil commençait déjà à des cendre vers l'horizon. Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
J'étais parti de la ville le matin de bonne heure ; j'avais marché, je m'étais assis au bord de la route, j'avais causé avec des gens de l'auberge ; j'avais cueilli des herbes et effeuillé des fleurs, et, ainsi rêvant, flânant et jouant avec un plaisir enfantin, je n'avais fait que trois lieues de chemin quand le soleil commençait déjà à des cendre vers l'horizon. Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
Par une belle journée d'été, je cheminais, le bâton de voyage à la main, le long d'une des chaussées, qui, d'Anvers, se dirigent vers la Campine. J'étais las dé rêver et de jouir du spectacle de la nature ; car la longue route avait fatigué mes membres, et la chaleur étouffante avait émoussé la sensibilité de mon cerveau.
Ce n'était pas que j'eusse fait une longue journée de marche, ni précipité mon pas de manière à épuiser mes forces.
J'étais parti de la ville le matin de bonne heure ; j'avais marché, je m'étais assis au bord de la route, j'avais causé avec des gens de l'auberge ; j'avais cueilli des herbes et effeuillé des fleurs, et, ainsi rêvant, flânant et jouant avec un plaisir enfantin, je n'avais fait que trois lieues de chemin quand le soleil commençait déjà à des cendre vers l'horizon. Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
J'étais parti de la ville le matin de bonne heure ; j'avais marché, je m'étais assis au bord de la route, j'avais causé avec des gens de l'auberge ; j'avais cueilli des herbes et effeuillé des fleurs, et, ainsi rêvant, flânant et jouant avec un plaisir enfantin, je n'avais fait que trois lieues de chemin quand le soleil commençait déjà à des cendre vers l'horizon. Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.