La secte des assassins XIe-XIIIe siècle. Des "martyrs" islamiques à l'époque des croisades
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- Nombre de pages262
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-21779-9
- EAN9782296217799
- Date de parution01/04/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En plein Moyen Age, à l'époque des croisades, les chroniqueurs sont intrigués par un groupe d'hommes, qu'ils appellent " les Assassins ", fondé par le très charismatique Hasan-i Sabbâh, et actif en Perse (Iran actuel) et en Syrie de 1090 à 1257. Ses membres, qui font partie de la mouvance islamique ismaélienne, ont perpétré de nombreux meurtres de responsables politiques et religieux musulmans, jugés traîtres à l'Islam et aux volontés du Prophète.
Ils s'en sont pris aussi à quelques chefs croisés. Ils ont terrifié leurs contemporains. Ce sont des combattants redoutables, dévoués corps et âme à leur chef et à leur cause, agissant par surprise et surtout, sacrifiant délibérément leur vie. Les Assassins sont-ils les lointains ancêtres des " volontaires de la mort " islamiques contemporains ? La réponse doit être nuancée, mais leur histoire contribue à nourrir la réflexion que suscite l'actualité : comment des hommes jeunes peuvent-ils accepter de sacrifier leur vie pour attaquer un adversaire infiniment plus puissant, dans cette " lutte asymétrique " reprise depuis les années 1980 par les mouvements islamistes radicaux ?
Ils s'en sont pris aussi à quelques chefs croisés. Ils ont terrifié leurs contemporains. Ce sont des combattants redoutables, dévoués corps et âme à leur chef et à leur cause, agissant par surprise et surtout, sacrifiant délibérément leur vie. Les Assassins sont-ils les lointains ancêtres des " volontaires de la mort " islamiques contemporains ? La réponse doit être nuancée, mais leur histoire contribue à nourrir la réflexion que suscite l'actualité : comment des hommes jeunes peuvent-ils accepter de sacrifier leur vie pour attaquer un adversaire infiniment plus puissant, dans cette " lutte asymétrique " reprise depuis les années 1980 par les mouvements islamistes radicaux ?
En plein Moyen Age, à l'époque des croisades, les chroniqueurs sont intrigués par un groupe d'hommes, qu'ils appellent " les Assassins ", fondé par le très charismatique Hasan-i Sabbâh, et actif en Perse (Iran actuel) et en Syrie de 1090 à 1257. Ses membres, qui font partie de la mouvance islamique ismaélienne, ont perpétré de nombreux meurtres de responsables politiques et religieux musulmans, jugés traîtres à l'Islam et aux volontés du Prophète.
Ils s'en sont pris aussi à quelques chefs croisés. Ils ont terrifié leurs contemporains. Ce sont des combattants redoutables, dévoués corps et âme à leur chef et à leur cause, agissant par surprise et surtout, sacrifiant délibérément leur vie. Les Assassins sont-ils les lointains ancêtres des " volontaires de la mort " islamiques contemporains ? La réponse doit être nuancée, mais leur histoire contribue à nourrir la réflexion que suscite l'actualité : comment des hommes jeunes peuvent-ils accepter de sacrifier leur vie pour attaquer un adversaire infiniment plus puissant, dans cette " lutte asymétrique " reprise depuis les années 1980 par les mouvements islamistes radicaux ?
Ils s'en sont pris aussi à quelques chefs croisés. Ils ont terrifié leurs contemporains. Ce sont des combattants redoutables, dévoués corps et âme à leur chef et à leur cause, agissant par surprise et surtout, sacrifiant délibérément leur vie. Les Assassins sont-ils les lointains ancêtres des " volontaires de la mort " islamiques contemporains ? La réponse doit être nuancée, mais leur histoire contribue à nourrir la réflexion que suscite l'actualité : comment des hommes jeunes peuvent-ils accepter de sacrifier leur vie pour attaquer un adversaire infiniment plus puissant, dans cette " lutte asymétrique " reprise depuis les années 1980 par les mouvements islamistes radicaux ?