La saga des pionniers. Lyon et la Tunisie (1880 - 1914)

Par : Christian Rendu
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  • Nombre de pages264
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-494204-63-8
  • EAN9782494204638
  • Date de parution29/11/2023
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille106 Mo
  • ÉditeurCampus Ouvert
  • PréfacierBruno Vincent
  • PostfacierPierre Soumille

Résumé

Il y a cent-quarante ans, dès le début du protectorat, des Lyonnais se sont intéressés à la Tunisie. Pourquoi ? Comment ? Et pour quels résultats ? Cet aspect peu connu de l'histoire de la métropole rhodanienne et de celle de la Tunisie est ici reconstitué et illustré avec précision, grâce à des sources documentaires et à des témoignages de premier ordre. Quelle pittoresque galerie de portraits défile sous nos yeux ! Le plus souvent, ces Lyonnais - de fortune moyenne, au demeurant - mobilisaient pour leurs affaires les seules ressources familiales ; ils restaient, sauf un ou deux, entre Saône et Rhône, avant, plus tard, d'envoyer sur place leurs fils, cousins ou neveux.
Entre deux voyages, ils se réunissaient, à Lyon même, dans un Syndicat de la colonisation lyonnaise en Tunisie, d'un type sans doute unique en France, qui ne s'éteignit qu'en 1914. Ces « pères fondateurs » suivent, chacun, une route originale. Aventureuse ? Non, mais en sachant risquer, et risquer à long terme. Que d'entreprises et de parcours divers. Lyon peut s'enorgueillir d'avoir contribué de façon notable à la mise en valeur de la Tunisie.
L'Exposition (de Lyon) de 1894 et celle (de Paris) de 1900 l'ont d'ailleurs fait connaitre au grand public. En prime, et pour terminer, une autre série de portraits : celle de quatre hauts-fonctionnaires : un diplomate, deux préfets et un journaliste devenu le rénovateur de la forêt sfaxienne : ils eurent davantage que des attaches avec Lyon et jouèrent un rôle important dans la Régence.
Il y a cent-quarante ans, dès le début du protectorat, des Lyonnais se sont intéressés à la Tunisie. Pourquoi ? Comment ? Et pour quels résultats ? Cet aspect peu connu de l'histoire de la métropole rhodanienne et de celle de la Tunisie est ici reconstitué et illustré avec précision, grâce à des sources documentaires et à des témoignages de premier ordre. Quelle pittoresque galerie de portraits défile sous nos yeux ! Le plus souvent, ces Lyonnais - de fortune moyenne, au demeurant - mobilisaient pour leurs affaires les seules ressources familiales ; ils restaient, sauf un ou deux, entre Saône et Rhône, avant, plus tard, d'envoyer sur place leurs fils, cousins ou neveux.
Entre deux voyages, ils se réunissaient, à Lyon même, dans un Syndicat de la colonisation lyonnaise en Tunisie, d'un type sans doute unique en France, qui ne s'éteignit qu'en 1914. Ces « pères fondateurs » suivent, chacun, une route originale. Aventureuse ? Non, mais en sachant risquer, et risquer à long terme. Que d'entreprises et de parcours divers. Lyon peut s'enorgueillir d'avoir contribué de façon notable à la mise en valeur de la Tunisie.
L'Exposition (de Lyon) de 1894 et celle (de Paris) de 1900 l'ont d'ailleurs fait connaitre au grand public. En prime, et pour terminer, une autre série de portraits : celle de quatre hauts-fonctionnaires : un diplomate, deux préfets et un journaliste devenu le rénovateur de la forêt sfaxienne : ils eurent davantage que des attaches avec Lyon et jouèrent un rôle important dans la Régence.