Dans cette société pseudo-médiéval, de nombreuses technologies sont développées grâce à des pouvoirs parapsychiques. C'est un peu l'équivalent de la magie dans la fantasy classique. Ici on découvre l'histoire de Romilly l'un des personnages les plus attachants, d'après mois, de cette période. Le laran de sa famille permet d'entrer en contact avec les animaux, ce qui fait des MacAran des dresseurs particulièrement doués. Romilly est une révoltée, elle refuse de se laisser enfermer dans le carcan de la société ténébranne, qui laisse aux femmes un rôle plus que secondaire. Elle
part donc à l'aventure, rejoindre la Sororité de l'épée, une confrérie de guerrières regroupant des femmes ayant toutes en commun leur volonté de rompre avec une vie toute tracée. Cette trame féministe a une place très importante dans le cycle, mais fort heureusement, Bradley ne sombre jamais dans le militantisme politique, elle intègre simplement avec beaucoup d'intelligence un problème de société, très actuel, dans un roman de fantasy. Le premier roman de la série a été écrit en 1962, et la belle fauconnière, vingt ans plus tard, on peut y sentir une très grande maîtrise dans l'écriture.
Les Ages du chaos
Dans cette société pseudo-médiéval, de nombreuses technologies sont développées grâce à des pouvoirs parapsychiques. C'est un peu l'équivalent de la magie dans la fantasy classique. Ici on découvre l'histoire de Romilly l'un des personnages les plus attachants, d'après mois, de cette période. Le laran de sa famille permet d'entrer en contact avec les animaux, ce qui fait des MacAran des dresseurs particulièrement doués. Romilly est une révoltée, elle refuse de se laisser enfermer dans le carcan de la société ténébranne, qui laisse aux femmes un rôle plus que secondaire. Elle part donc à l'aventure, rejoindre la Sororité de l'épée, une confrérie de guerrières regroupant des femmes ayant toutes en commun leur volonté de rompre avec une vie toute tracée. Cette trame féministe a une place très importante dans le cycle, mais fort heureusement, Bradley ne sombre jamais dans le militantisme politique, elle intègre simplement avec beaucoup d'intelligence un problème de société, très actuel, dans un roman de fantasy. Le premier roman de la série a été écrit en 1962, et la belle fauconnière, vingt ans plus tard, on peut y sentir une très grande maîtrise dans l'écriture.