La restauration du multipartisme en Côte d'Ivoire ou La double mort D'Houphouët-Boigny
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- Nombre de pages282
- FormatPDF
- ISBN2-296-28604-6
- EAN9782296286047
- Date de parution01/01/1995
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre recense de façon chronologique et thématique l'histoire de la crise politique ivoirienne de 1990. Trois mois (du 19 février au 30 avril 1990) : une brève période, dont l'intensité a suffi à " gâter " l'ordre suffocant établi par le régime Houphouétiste à l'indépendance, soit depuis trente ans ! La mise en action de toutes les forces du changement est analysée : " l'agitation " des jeunes, la constitution des partis politiques ou la sortie de clandestinité des groupes contestataires, la nouvelle presse débridée, les discours des ténors de l'opposition comme ceux de l'orthodoxie déstabilisée...
Ainsi que les réactions de l'étranger, notamment le " tuteur " français surpris par cette mise à mort du " Père de la Nation ", du " Sage de l'Afrique "... Certes, l'avènement de la IIe République n'a pas entièrement émergé de ce chaos créateur, mais les bases d'une " Révolution tranquille " ont ainsi été scellées. Après le rétablissement des libertés républicaines fondamentales, le processus d'ouverture (et de désintégration) s'est accéléré avec la guerre de succession menée sans merci par les prétendants, du vivant même du président Houphouët-Boigny, et évidemment a décuplé après sa disparition cette fois physique.
Il fallait restituer à la mémoire collective ce moment fondateur de l'Histoire de la Côte d'Ivoire, qui l'a ébranlée durablement.
Ainsi que les réactions de l'étranger, notamment le " tuteur " français surpris par cette mise à mort du " Père de la Nation ", du " Sage de l'Afrique "... Certes, l'avènement de la IIe République n'a pas entièrement émergé de ce chaos créateur, mais les bases d'une " Révolution tranquille " ont ainsi été scellées. Après le rétablissement des libertés républicaines fondamentales, le processus d'ouverture (et de désintégration) s'est accéléré avec la guerre de succession menée sans merci par les prétendants, du vivant même du président Houphouët-Boigny, et évidemment a décuplé après sa disparition cette fois physique.
Il fallait restituer à la mémoire collective ce moment fondateur de l'Histoire de la Côte d'Ivoire, qui l'a ébranlée durablement.
Ce livre recense de façon chronologique et thématique l'histoire de la crise politique ivoirienne de 1990. Trois mois (du 19 février au 30 avril 1990) : une brève période, dont l'intensité a suffi à " gâter " l'ordre suffocant établi par le régime Houphouétiste à l'indépendance, soit depuis trente ans ! La mise en action de toutes les forces du changement est analysée : " l'agitation " des jeunes, la constitution des partis politiques ou la sortie de clandestinité des groupes contestataires, la nouvelle presse débridée, les discours des ténors de l'opposition comme ceux de l'orthodoxie déstabilisée...
Ainsi que les réactions de l'étranger, notamment le " tuteur " français surpris par cette mise à mort du " Père de la Nation ", du " Sage de l'Afrique "... Certes, l'avènement de la IIe République n'a pas entièrement émergé de ce chaos créateur, mais les bases d'une " Révolution tranquille " ont ainsi été scellées. Après le rétablissement des libertés républicaines fondamentales, le processus d'ouverture (et de désintégration) s'est accéléré avec la guerre de succession menée sans merci par les prétendants, du vivant même du président Houphouët-Boigny, et évidemment a décuplé après sa disparition cette fois physique.
Il fallait restituer à la mémoire collective ce moment fondateur de l'Histoire de la Côte d'Ivoire, qui l'a ébranlée durablement.
Ainsi que les réactions de l'étranger, notamment le " tuteur " français surpris par cette mise à mort du " Père de la Nation ", du " Sage de l'Afrique "... Certes, l'avènement de la IIe République n'a pas entièrement émergé de ce chaos créateur, mais les bases d'une " Révolution tranquille " ont ainsi été scellées. Après le rétablissement des libertés républicaines fondamentales, le processus d'ouverture (et de désintégration) s'est accéléré avec la guerre de succession menée sans merci par les prétendants, du vivant même du président Houphouët-Boigny, et évidemment a décuplé après sa disparition cette fois physique.
Il fallait restituer à la mémoire collective ce moment fondateur de l'Histoire de la Côte d'Ivoire, qui l'a ébranlée durablement.