La responsabilité administrative dans le contentieux de l'urbanisme
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages174
- FormatPDF
- ISBN2-296-14658-9
- EAN9782296146587
- Date de parution01/03/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le droit de l'urbanisme français consacre depuis de nombreuses années un principe général tout aussi important que critiqué : la non-indemnisation des servitudes d'urbanisme, parmi lesquelles figure, par
exemple, celle qui porte suppression de la constructibilité du sol (servitude " non aedificandi "). Il existe des cas, malgré tout, dans lesquels il est possible d'écarter ledit principe. Ce type de contentieux, qui fait souvent suite, dans le cadre d'une même affaire, à un contentieux de l'excès de pouvoir, a commencé à monter en puissance dès le début des années 80 du siècle qui vient de s'achever.
Dans la plupart des hypothèses concernées, c'est la responsabilité pour faute de l'Administration qui sera engagée, soit pour un fonctionnement anormal de ses services, soit pour des agissements illégaux. Le juge administratif a reconnu quelques cas de responsabilité sans faute, mais ils demeurent très rares. Cet ouvrage aborde l'étude de cet important sujet en livrant au lecteur les éléments qui lui permettront d'en cerner les enjeux et de bien comprendre son fonctionnement.
Mais l'analyse critique n'est pas absente de l'étude présentée. Bien au contraire, les auteurs n'hésitent pas à mettre sur la sellette certaines interprétations jurisprudentielles quand cela leur semble opportun, en particulier pour dénoncer des prises de position qu'ils considèrent trop restrictives par rapport aux intérêts des particuliers (tiers ou pétitionnaires) qui estiment avoir subi un préjudice.
Il faut certainement y voir une tentative souvent couronnée de succès de " redorer le blason " quelque peu terni d'un droit fondamental trop souvent malmené : la propriété.
Dans la plupart des hypothèses concernées, c'est la responsabilité pour faute de l'Administration qui sera engagée, soit pour un fonctionnement anormal de ses services, soit pour des agissements illégaux. Le juge administratif a reconnu quelques cas de responsabilité sans faute, mais ils demeurent très rares. Cet ouvrage aborde l'étude de cet important sujet en livrant au lecteur les éléments qui lui permettront d'en cerner les enjeux et de bien comprendre son fonctionnement.
Mais l'analyse critique n'est pas absente de l'étude présentée. Bien au contraire, les auteurs n'hésitent pas à mettre sur la sellette certaines interprétations jurisprudentielles quand cela leur semble opportun, en particulier pour dénoncer des prises de position qu'ils considèrent trop restrictives par rapport aux intérêts des particuliers (tiers ou pétitionnaires) qui estiment avoir subi un préjudice.
Il faut certainement y voir une tentative souvent couronnée de succès de " redorer le blason " quelque peu terni d'un droit fondamental trop souvent malmené : la propriété.
Le droit de l'urbanisme français consacre depuis de nombreuses années un principe général tout aussi important que critiqué : la non-indemnisation des servitudes d'urbanisme, parmi lesquelles figure, par
exemple, celle qui porte suppression de la constructibilité du sol (servitude " non aedificandi "). Il existe des cas, malgré tout, dans lesquels il est possible d'écarter ledit principe. Ce type de contentieux, qui fait souvent suite, dans le cadre d'une même affaire, à un contentieux de l'excès de pouvoir, a commencé à monter en puissance dès le début des années 80 du siècle qui vient de s'achever.
Dans la plupart des hypothèses concernées, c'est la responsabilité pour faute de l'Administration qui sera engagée, soit pour un fonctionnement anormal de ses services, soit pour des agissements illégaux. Le juge administratif a reconnu quelques cas de responsabilité sans faute, mais ils demeurent très rares. Cet ouvrage aborde l'étude de cet important sujet en livrant au lecteur les éléments qui lui permettront d'en cerner les enjeux et de bien comprendre son fonctionnement.
Mais l'analyse critique n'est pas absente de l'étude présentée. Bien au contraire, les auteurs n'hésitent pas à mettre sur la sellette certaines interprétations jurisprudentielles quand cela leur semble opportun, en particulier pour dénoncer des prises de position qu'ils considèrent trop restrictives par rapport aux intérêts des particuliers (tiers ou pétitionnaires) qui estiment avoir subi un préjudice.
Il faut certainement y voir une tentative souvent couronnée de succès de " redorer le blason " quelque peu terni d'un droit fondamental trop souvent malmené : la propriété.
Dans la plupart des hypothèses concernées, c'est la responsabilité pour faute de l'Administration qui sera engagée, soit pour un fonctionnement anormal de ses services, soit pour des agissements illégaux. Le juge administratif a reconnu quelques cas de responsabilité sans faute, mais ils demeurent très rares. Cet ouvrage aborde l'étude de cet important sujet en livrant au lecteur les éléments qui lui permettront d'en cerner les enjeux et de bien comprendre son fonctionnement.
Mais l'analyse critique n'est pas absente de l'étude présentée. Bien au contraire, les auteurs n'hésitent pas à mettre sur la sellette certaines interprétations jurisprudentielles quand cela leur semble opportun, en particulier pour dénoncer des prises de position qu'ils considèrent trop restrictives par rapport aux intérêts des particuliers (tiers ou pétitionnaires) qui estiment avoir subi un préjudice.
Il faut certainement y voir une tentative souvent couronnée de succès de " redorer le blason " quelque peu terni d'un droit fondamental trop souvent malmené : la propriété.