Nouveauté
La région dans le discours politique de gauche. Bretagne, Ecosse et Galice (1968 - 1981)
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- Nombre de pages390
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-413-0963-4
- EAN9791041309634
- Date de parution18/11/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
- PréfacierErik Neveu
Résumé
La notion de région est un outil intellectuel permettant d'aborder les questions sociales sur une base territoriale. Le régionalisme est dès lors une manière et une capacité de lire les problèmes sociaux et de structurer l'action politique. L'ouvrage étudie trois régions « à forte identité », la Bretagne, l'Écosse et la Galice, à un moment (les années 1968-1981) de réinvestissement de la question régionale en Europe occidentale.
Après avoir analysé la structure des opportunités idéologiques dans les trois régions par le biais d'une approche sociohistorique, il étudie les mouvements sociaux des années 1968 et 1972 comme des chocs cognitifs qui ont notamment permis la contestation de la doxa nationale et l'émergence d'un cadre de l'injustice régionale. Il montre comment les gauches ont joué un rôle essentiel dans la réinvention et la redéfinition de ces trois régions.
En introduisant le tournant cognitif dans l'étude du régionalisme, il permet de porter un nouveau regard sur une idéologie banale qui structure nombre de territoires comme la Bretagne, l'Écosse et la Galice. Il permet donc une meilleure compréhension des phénomènes de construction régionale et d'identité régionale marqués autant par la rationalité des acteurs sociopolitiques que par leurs émotions.
À ce titre, il contribue de façon décisive au débat public.
Après avoir analysé la structure des opportunités idéologiques dans les trois régions par le biais d'une approche sociohistorique, il étudie les mouvements sociaux des années 1968 et 1972 comme des chocs cognitifs qui ont notamment permis la contestation de la doxa nationale et l'émergence d'un cadre de l'injustice régionale. Il montre comment les gauches ont joué un rôle essentiel dans la réinvention et la redéfinition de ces trois régions.
En introduisant le tournant cognitif dans l'étude du régionalisme, il permet de porter un nouveau regard sur une idéologie banale qui structure nombre de territoires comme la Bretagne, l'Écosse et la Galice. Il permet donc une meilleure compréhension des phénomènes de construction régionale et d'identité régionale marqués autant par la rationalité des acteurs sociopolitiques que par leurs émotions.
À ce titre, il contribue de façon décisive au débat public.
La notion de région est un outil intellectuel permettant d'aborder les questions sociales sur une base territoriale. Le régionalisme est dès lors une manière et une capacité de lire les problèmes sociaux et de structurer l'action politique. L'ouvrage étudie trois régions « à forte identité », la Bretagne, l'Écosse et la Galice, à un moment (les années 1968-1981) de réinvestissement de la question régionale en Europe occidentale.
Après avoir analysé la structure des opportunités idéologiques dans les trois régions par le biais d'une approche sociohistorique, il étudie les mouvements sociaux des années 1968 et 1972 comme des chocs cognitifs qui ont notamment permis la contestation de la doxa nationale et l'émergence d'un cadre de l'injustice régionale. Il montre comment les gauches ont joué un rôle essentiel dans la réinvention et la redéfinition de ces trois régions.
En introduisant le tournant cognitif dans l'étude du régionalisme, il permet de porter un nouveau regard sur une idéologie banale qui structure nombre de territoires comme la Bretagne, l'Écosse et la Galice. Il permet donc une meilleure compréhension des phénomènes de construction régionale et d'identité régionale marqués autant par la rationalité des acteurs sociopolitiques que par leurs émotions.
À ce titre, il contribue de façon décisive au débat public.
Après avoir analysé la structure des opportunités idéologiques dans les trois régions par le biais d'une approche sociohistorique, il étudie les mouvements sociaux des années 1968 et 1972 comme des chocs cognitifs qui ont notamment permis la contestation de la doxa nationale et l'émergence d'un cadre de l'injustice régionale. Il montre comment les gauches ont joué un rôle essentiel dans la réinvention et la redéfinition de ces trois régions.
En introduisant le tournant cognitif dans l'étude du régionalisme, il permet de porter un nouveau regard sur une idéologie banale qui structure nombre de territoires comme la Bretagne, l'Écosse et la Galice. Il permet donc une meilleure compréhension des phénomènes de construction régionale et d'identité régionale marqués autant par la rationalité des acteurs sociopolitiques que par leurs émotions.
À ce titre, il contribue de façon décisive au débat public.








