La régénération animale
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- Nombre de pages208
- FormatPDF
- ISBN2-7059-5377-9
- EAN9782705953775
- Date de parution01/01/1974
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille49 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
La régénération est le processus de reconstitution des organes - ou parties d'organes - perdus accidentellement par un être vivant. C'est une morphogenèse, qui se déroule chez un être adulte. La répartition du pouvoir de régénération est très capricieuse dans le règne animal, et cette aptitude se restreint singulièrement, si on examine les espèces les plus évoluées - comme les mammifères - avec l'espèce humaine.
Si on veut analyser expérimentalement un processus de régénération, les problèmes fondamentaux à élucider sont au nombre de trois : - d'où provient le matériel qui édifiera l'organe perdu ? - quels sont les facteurs qui déclenchent la régénération ? - pourquoi la régénération se limite-t-elle, uniquement, à la reconstitution des parties perdues ? Les études de morphologie expérimentale, qui ont débuté au XVIIIe siècle, ont apporté les premiers éléments d'une réponse.
Les mécanismes en cause sont identiques à ceux qui permettent le développement embryonnaire. Mais, de plus en plus, on se rend compte que le problème fondamental est un problème de différenciation cellulaire, dont l'étude doit se faire au niveau de la cellule et des interactions cellulaires. Théodore Lender, agrégé et docteur ès sciences, est professeur à l'Université de Paris-Sud et directeur du Laboratoire de biologie animale.
Si on veut analyser expérimentalement un processus de régénération, les problèmes fondamentaux à élucider sont au nombre de trois : - d'où provient le matériel qui édifiera l'organe perdu ? - quels sont les facteurs qui déclenchent la régénération ? - pourquoi la régénération se limite-t-elle, uniquement, à la reconstitution des parties perdues ? Les études de morphologie expérimentale, qui ont débuté au XVIIIe siècle, ont apporté les premiers éléments d'une réponse.
Les mécanismes en cause sont identiques à ceux qui permettent le développement embryonnaire. Mais, de plus en plus, on se rend compte que le problème fondamental est un problème de différenciation cellulaire, dont l'étude doit se faire au niveau de la cellule et des interactions cellulaires. Théodore Lender, agrégé et docteur ès sciences, est professeur à l'Université de Paris-Sud et directeur du Laboratoire de biologie animale.
La régénération est le processus de reconstitution des organes - ou parties d'organes - perdus accidentellement par un être vivant. C'est une morphogenèse, qui se déroule chez un être adulte. La répartition du pouvoir de régénération est très capricieuse dans le règne animal, et cette aptitude se restreint singulièrement, si on examine les espèces les plus évoluées - comme les mammifères - avec l'espèce humaine.
Si on veut analyser expérimentalement un processus de régénération, les problèmes fondamentaux à élucider sont au nombre de trois : - d'où provient le matériel qui édifiera l'organe perdu ? - quels sont les facteurs qui déclenchent la régénération ? - pourquoi la régénération se limite-t-elle, uniquement, à la reconstitution des parties perdues ? Les études de morphologie expérimentale, qui ont débuté au XVIIIe siècle, ont apporté les premiers éléments d'une réponse.
Les mécanismes en cause sont identiques à ceux qui permettent le développement embryonnaire. Mais, de plus en plus, on se rend compte que le problème fondamental est un problème de différenciation cellulaire, dont l'étude doit se faire au niveau de la cellule et des interactions cellulaires. Théodore Lender, agrégé et docteur ès sciences, est professeur à l'Université de Paris-Sud et directeur du Laboratoire de biologie animale.
Si on veut analyser expérimentalement un processus de régénération, les problèmes fondamentaux à élucider sont au nombre de trois : - d'où provient le matériel qui édifiera l'organe perdu ? - quels sont les facteurs qui déclenchent la régénération ? - pourquoi la régénération se limite-t-elle, uniquement, à la reconstitution des parties perdues ? Les études de morphologie expérimentale, qui ont débuté au XVIIIe siècle, ont apporté les premiers éléments d'une réponse.
Les mécanismes en cause sont identiques à ceux qui permettent le développement embryonnaire. Mais, de plus en plus, on se rend compte que le problème fondamental est un problème de différenciation cellulaire, dont l'étude doit se faire au niveau de la cellule et des interactions cellulaires. Théodore Lender, agrégé et docteur ès sciences, est professeur à l'Université de Paris-Sud et directeur du Laboratoire de biologie animale.



