La puissance des rêves. La libération des affects
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- Nombre de pages170
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23460-4
- EAN9782296234604
- Date de parution01/09/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille958 Ko
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le rêve n'est pas un accident de la psyché. H nous fait pénétrer dans les profondeurs de celle-ci. L'auteur nous invite à faire ce voyage. La psyché, qu'on pourrait appeler ordinaire, est à l'opposé de celle que nous fait découvrir le rêve. Elle est centrée sur l'action, la conduite organisée, la transformation du monde. Elle s'extériorise fortement, se perd dans les dédales du réel. De ce fait, elle est obligée de rejeter dans le passé, d'affaiblir, de négliger, de marginaliser nos affects et pulsions les plus importants, qui ne rentrent pas dans les programmes qui nous dirigent.
Elle ne les supprime pas mais les met de côté, en leur demandant de ne pas se manifester, malgré les pressions qu'elles exercent sur notre conscience. Y a-t-il une récupération possible, une chance de retrouver ces forces vives de notre affectivité, de revenir aux sources du moi ? Oui. C'est justement le rêve. Pour le comprendre, l'auteur propose de se centrer sur son contenu explicite, dans ce qu'il a de plus brutal, de plus surprenant, de plus hermétique.
Il repousse les interprétations subtiles, à base d'associations, qui nous remettent dans les complications de la conduite éveillée. Il préconise une méthode consistant à revivre le rêve, dans un état de grande réceptivité, comme le font certains peuples archaïques. Cette méthode, très différente de la méthode freudienne, a maintenant ses lettres de noblesse, en liaison avec le psycho- drame et la gestalt-thérapie.
Quand on fait cela, on s'aperçoit que le rêve théâtralise, dramatise, amplifie les affects et pulsions, que nous avons jetés dans les oubliettes. Leur réapparition nous étonne ou nous terrorise. Il nous recentre sur nous-mêmes, nous permet de nous toucher de l'intérieur, comme fait par ailleurs sur le plan corporel, la proprioception. On touche alors son propre mystère, le mystère de ce qu'on est au fond de soi.
On rencontre ses monstres, à la manière de Goya et de bien d'autres.
Elle ne les supprime pas mais les met de côté, en leur demandant de ne pas se manifester, malgré les pressions qu'elles exercent sur notre conscience. Y a-t-il une récupération possible, une chance de retrouver ces forces vives de notre affectivité, de revenir aux sources du moi ? Oui. C'est justement le rêve. Pour le comprendre, l'auteur propose de se centrer sur son contenu explicite, dans ce qu'il a de plus brutal, de plus surprenant, de plus hermétique.
Il repousse les interprétations subtiles, à base d'associations, qui nous remettent dans les complications de la conduite éveillée. Il préconise une méthode consistant à revivre le rêve, dans un état de grande réceptivité, comme le font certains peuples archaïques. Cette méthode, très différente de la méthode freudienne, a maintenant ses lettres de noblesse, en liaison avec le psycho- drame et la gestalt-thérapie.
Quand on fait cela, on s'aperçoit que le rêve théâtralise, dramatise, amplifie les affects et pulsions, que nous avons jetés dans les oubliettes. Leur réapparition nous étonne ou nous terrorise. Il nous recentre sur nous-mêmes, nous permet de nous toucher de l'intérieur, comme fait par ailleurs sur le plan corporel, la proprioception. On touche alors son propre mystère, le mystère de ce qu'on est au fond de soi.
On rencontre ses monstres, à la manière de Goya et de bien d'autres.
Le rêve n'est pas un accident de la psyché. H nous fait pénétrer dans les profondeurs de celle-ci. L'auteur nous invite à faire ce voyage. La psyché, qu'on pourrait appeler ordinaire, est à l'opposé de celle que nous fait découvrir le rêve. Elle est centrée sur l'action, la conduite organisée, la transformation du monde. Elle s'extériorise fortement, se perd dans les dédales du réel. De ce fait, elle est obligée de rejeter dans le passé, d'affaiblir, de négliger, de marginaliser nos affects et pulsions les plus importants, qui ne rentrent pas dans les programmes qui nous dirigent.
Elle ne les supprime pas mais les met de côté, en leur demandant de ne pas se manifester, malgré les pressions qu'elles exercent sur notre conscience. Y a-t-il une récupération possible, une chance de retrouver ces forces vives de notre affectivité, de revenir aux sources du moi ? Oui. C'est justement le rêve. Pour le comprendre, l'auteur propose de se centrer sur son contenu explicite, dans ce qu'il a de plus brutal, de plus surprenant, de plus hermétique.
Il repousse les interprétations subtiles, à base d'associations, qui nous remettent dans les complications de la conduite éveillée. Il préconise une méthode consistant à revivre le rêve, dans un état de grande réceptivité, comme le font certains peuples archaïques. Cette méthode, très différente de la méthode freudienne, a maintenant ses lettres de noblesse, en liaison avec le psycho- drame et la gestalt-thérapie.
Quand on fait cela, on s'aperçoit que le rêve théâtralise, dramatise, amplifie les affects et pulsions, que nous avons jetés dans les oubliettes. Leur réapparition nous étonne ou nous terrorise. Il nous recentre sur nous-mêmes, nous permet de nous toucher de l'intérieur, comme fait par ailleurs sur le plan corporel, la proprioception. On touche alors son propre mystère, le mystère de ce qu'on est au fond de soi.
On rencontre ses monstres, à la manière de Goya et de bien d'autres.
Elle ne les supprime pas mais les met de côté, en leur demandant de ne pas se manifester, malgré les pressions qu'elles exercent sur notre conscience. Y a-t-il une récupération possible, une chance de retrouver ces forces vives de notre affectivité, de revenir aux sources du moi ? Oui. C'est justement le rêve. Pour le comprendre, l'auteur propose de se centrer sur son contenu explicite, dans ce qu'il a de plus brutal, de plus surprenant, de plus hermétique.
Il repousse les interprétations subtiles, à base d'associations, qui nous remettent dans les complications de la conduite éveillée. Il préconise une méthode consistant à revivre le rêve, dans un état de grande réceptivité, comme le font certains peuples archaïques. Cette méthode, très différente de la méthode freudienne, a maintenant ses lettres de noblesse, en liaison avec le psycho- drame et la gestalt-thérapie.
Quand on fait cela, on s'aperçoit que le rêve théâtralise, dramatise, amplifie les affects et pulsions, que nous avons jetés dans les oubliettes. Leur réapparition nous étonne ou nous terrorise. Il nous recentre sur nous-mêmes, nous permet de nous toucher de l'intérieur, comme fait par ailleurs sur le plan corporel, la proprioception. On touche alors son propre mystère, le mystère de ce qu'on est au fond de soi.
On rencontre ses monstres, à la manière de Goya et de bien d'autres.