La princesse Bibesco. La dernière orchidée, 1886 - 1973
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages638
- FormatePub
- ISBN2-262-08941-8
- EAN9782262089412
- Date de parution01/01/1986
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...
Résumé
Intelligence, grâce et beauté, charme et séduction, Marthe Bibesco, riche de tous ces dons, se jugeait presque trop comblée : "Je suis humiliante sans le savoir...", soupirait-elle. À travers un mariage houleux, et des liaisons illusoires, elle a cherché longtemps son égal, et n'a rencontré que des miroirs ou des masques. De tous les hommes qu'elle a cru aimer, seul l'abbé Mugnier, son confident, ne l'a pas déçue.
Hantée par le souci de survivre, et de sauver de l'oubli ceux qui lui en paraissaient dignes, elle a vécu, dès son adolescence, pour écrire ses Mémoires, retrouver le temps perdu. "Je voudrais inventer une machine à imprimer la vie", aimait-elle à dire et, pendant plus de soixante ans, elle s'efforça d'immortaliser l'éphémère. Élevée sur les marches de plusieurs trônes, elle devint - à son tour - une de ces reines intemporelles, qui fascinaient Proust et enchantaient Claudel.
Partagée entre Bucarest et Paris, Londres et Berlin, sa vie fut celle d'un personnage de Paul Morand, éternelle passagère de l'Orient-Express, des grands transatlantiques, et même d'un avion personnel, qui lui permit de promener sur la Terre le regard émerveillé d'un Christophe Colomb. Toujours avide d'horizons nouveaux, elle l'était aussi de grands hommes, les recherchant moins par goût du pouvoir, que par désir de savoir avant les autres, d'être à la fois le cour et le cerveau de cette Europe dont elle se croyait l'égérie.
Dans son ouvre romanesque, comme dans son Journal inédit, une des principales sources de cette biographie, elle a su évoquer bien des figures tragiques ou pittoresques, de la famille royale de Roumanie et de Grande-Bretagne aux derniers Romanov, de Proust à Churchill, de Gorki à Mussolini, d'Anatole France à la comtesse de Noailles, en passant par Henry de Jouvenel, Goering et Ramsay MacDonald. Parmi ses contemporains, peu échappent à l'acuité de son regard, à la finesse de son jugement, et à sa verve parfois mordante.
Cette biographie, qui utilise nombre d'archives ou de correspondances encore inconnues, ressuscite un personnage, et révèle maints aspects d'une époque.
Hantée par le souci de survivre, et de sauver de l'oubli ceux qui lui en paraissaient dignes, elle a vécu, dès son adolescence, pour écrire ses Mémoires, retrouver le temps perdu. "Je voudrais inventer une machine à imprimer la vie", aimait-elle à dire et, pendant plus de soixante ans, elle s'efforça d'immortaliser l'éphémère. Élevée sur les marches de plusieurs trônes, elle devint - à son tour - une de ces reines intemporelles, qui fascinaient Proust et enchantaient Claudel.
Partagée entre Bucarest et Paris, Londres et Berlin, sa vie fut celle d'un personnage de Paul Morand, éternelle passagère de l'Orient-Express, des grands transatlantiques, et même d'un avion personnel, qui lui permit de promener sur la Terre le regard émerveillé d'un Christophe Colomb. Toujours avide d'horizons nouveaux, elle l'était aussi de grands hommes, les recherchant moins par goût du pouvoir, que par désir de savoir avant les autres, d'être à la fois le cour et le cerveau de cette Europe dont elle se croyait l'égérie.
Dans son ouvre romanesque, comme dans son Journal inédit, une des principales sources de cette biographie, elle a su évoquer bien des figures tragiques ou pittoresques, de la famille royale de Roumanie et de Grande-Bretagne aux derniers Romanov, de Proust à Churchill, de Gorki à Mussolini, d'Anatole France à la comtesse de Noailles, en passant par Henry de Jouvenel, Goering et Ramsay MacDonald. Parmi ses contemporains, peu échappent à l'acuité de son regard, à la finesse de son jugement, et à sa verve parfois mordante.
Cette biographie, qui utilise nombre d'archives ou de correspondances encore inconnues, ressuscite un personnage, et révèle maints aspects d'une époque.
Intelligence, grâce et beauté, charme et séduction, Marthe Bibesco, riche de tous ces dons, se jugeait presque trop comblée : "Je suis humiliante sans le savoir...", soupirait-elle. À travers un mariage houleux, et des liaisons illusoires, elle a cherché longtemps son égal, et n'a rencontré que des miroirs ou des masques. De tous les hommes qu'elle a cru aimer, seul l'abbé Mugnier, son confident, ne l'a pas déçue.
Hantée par le souci de survivre, et de sauver de l'oubli ceux qui lui en paraissaient dignes, elle a vécu, dès son adolescence, pour écrire ses Mémoires, retrouver le temps perdu. "Je voudrais inventer une machine à imprimer la vie", aimait-elle à dire et, pendant plus de soixante ans, elle s'efforça d'immortaliser l'éphémère. Élevée sur les marches de plusieurs trônes, elle devint - à son tour - une de ces reines intemporelles, qui fascinaient Proust et enchantaient Claudel.
Partagée entre Bucarest et Paris, Londres et Berlin, sa vie fut celle d'un personnage de Paul Morand, éternelle passagère de l'Orient-Express, des grands transatlantiques, et même d'un avion personnel, qui lui permit de promener sur la Terre le regard émerveillé d'un Christophe Colomb. Toujours avide d'horizons nouveaux, elle l'était aussi de grands hommes, les recherchant moins par goût du pouvoir, que par désir de savoir avant les autres, d'être à la fois le cour et le cerveau de cette Europe dont elle se croyait l'égérie.
Dans son ouvre romanesque, comme dans son Journal inédit, une des principales sources de cette biographie, elle a su évoquer bien des figures tragiques ou pittoresques, de la famille royale de Roumanie et de Grande-Bretagne aux derniers Romanov, de Proust à Churchill, de Gorki à Mussolini, d'Anatole France à la comtesse de Noailles, en passant par Henry de Jouvenel, Goering et Ramsay MacDonald. Parmi ses contemporains, peu échappent à l'acuité de son regard, à la finesse de son jugement, et à sa verve parfois mordante.
Cette biographie, qui utilise nombre d'archives ou de correspondances encore inconnues, ressuscite un personnage, et révèle maints aspects d'une époque.
Hantée par le souci de survivre, et de sauver de l'oubli ceux qui lui en paraissaient dignes, elle a vécu, dès son adolescence, pour écrire ses Mémoires, retrouver le temps perdu. "Je voudrais inventer une machine à imprimer la vie", aimait-elle à dire et, pendant plus de soixante ans, elle s'efforça d'immortaliser l'éphémère. Élevée sur les marches de plusieurs trônes, elle devint - à son tour - une de ces reines intemporelles, qui fascinaient Proust et enchantaient Claudel.
Partagée entre Bucarest et Paris, Londres et Berlin, sa vie fut celle d'un personnage de Paul Morand, éternelle passagère de l'Orient-Express, des grands transatlantiques, et même d'un avion personnel, qui lui permit de promener sur la Terre le regard émerveillé d'un Christophe Colomb. Toujours avide d'horizons nouveaux, elle l'était aussi de grands hommes, les recherchant moins par goût du pouvoir, que par désir de savoir avant les autres, d'être à la fois le cour et le cerveau de cette Europe dont elle se croyait l'égérie.
Dans son ouvre romanesque, comme dans son Journal inédit, une des principales sources de cette biographie, elle a su évoquer bien des figures tragiques ou pittoresques, de la famille royale de Roumanie et de Grande-Bretagne aux derniers Romanov, de Proust à Churchill, de Gorki à Mussolini, d'Anatole France à la comtesse de Noailles, en passant par Henry de Jouvenel, Goering et Ramsay MacDonald. Parmi ses contemporains, peu échappent à l'acuité de son regard, à la finesse de son jugement, et à sa verve parfois mordante.
Cette biographie, qui utilise nombre d'archives ou de correspondances encore inconnues, ressuscite un personnage, et révèle maints aspects d'une époque.












