La Planete Des Pauvres. Le Tour Du Monde A Velo Des Communautes Emmaus

Par : Louis Harenger

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages237
  • FormatePub
  • ISBN2-402-12475-X
  • EAN9782402124751
  • Date de parution01/01/1999
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille635 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...

Résumé

Les oiseaux chantent dans tous les pays du monde. Louis Harenger le sait. Il a arpenté en VTT les chemins de la planète : des milliers de kilomètres dans les mollets avec cinquante kilos de matériel répartis dans ses sacoches et sur son dos. Ni vagabond ni apôtre, ce compagnon d'Emmaüs voulait visiter les communautés de l'abbé Pierre à travers le monde. Il l'a fait, parcourant l'Europe, l'Amérique latine, les États-Unis, le Canada...
Étrange pèlerin qui ne ressemble en rien à ceux du Titien. En short, à vélo, presque aussi démuni qu'eux, il va rencontrer, ailleurs, ces pauvres qui s'occupent de plus pauvres qu'eux. Dans ces pages, à mi-chemin entre le carnet de voyage et le récit initiatique, il raconte qu'il est parti, fixant son rêve accroché au-dessus du guidon comme un marin qui garde l'oil sur les étoiles. Il ne savait pas ce qu'il découvrirait au bout du chemin, s'il trouverait, comme le lui disaient ses rêves enfantins, un trésor enfoui que personne d'autre que lui ne pourrait inventer.
Alors il a pédalé... Il suffisait qu'on le regarde pour qu'il se sente léger. Il enchaîne les routes de France, d'Espagne, du Portugal, puis découvre l'effroyable misère des favelas, Recife avec ses routes impossibles et la police en grève, la communauté de São Paulo dirigée par une vraie Mrs Thatcher. Ce sont aussi les chemins du Chili sous une pluie décourageante qui inonde les camps Emmaüs. Ou encore une Bolivie figée depuis cent ans.
New York à vélo où la splendeur des immeubles fait douter de la pauvreté de Harlem. Pendant son périple, Louis Harenger, heureux, volubile, a confié à son cahier ses aventures, ses émotions et sa tentation d'en rester là auprès d'une belle Brésilienne. Régulièrement, il témoignait sur Radio France Urgences. Au bout des routes poussiéreuses de la planète pauvre, il a découvert que la solidarité était la plus grande des richesses produites par l'homme.
Les oiseaux chantent dans tous les pays du monde. Louis Harenger le sait. Il a arpenté en VTT les chemins de la planète : des milliers de kilomètres dans les mollets avec cinquante kilos de matériel répartis dans ses sacoches et sur son dos. Ni vagabond ni apôtre, ce compagnon d'Emmaüs voulait visiter les communautés de l'abbé Pierre à travers le monde. Il l'a fait, parcourant l'Europe, l'Amérique latine, les États-Unis, le Canada...
Étrange pèlerin qui ne ressemble en rien à ceux du Titien. En short, à vélo, presque aussi démuni qu'eux, il va rencontrer, ailleurs, ces pauvres qui s'occupent de plus pauvres qu'eux. Dans ces pages, à mi-chemin entre le carnet de voyage et le récit initiatique, il raconte qu'il est parti, fixant son rêve accroché au-dessus du guidon comme un marin qui garde l'oil sur les étoiles. Il ne savait pas ce qu'il découvrirait au bout du chemin, s'il trouverait, comme le lui disaient ses rêves enfantins, un trésor enfoui que personne d'autre que lui ne pourrait inventer.
Alors il a pédalé... Il suffisait qu'on le regarde pour qu'il se sente léger. Il enchaîne les routes de France, d'Espagne, du Portugal, puis découvre l'effroyable misère des favelas, Recife avec ses routes impossibles et la police en grève, la communauté de São Paulo dirigée par une vraie Mrs Thatcher. Ce sont aussi les chemins du Chili sous une pluie décourageante qui inonde les camps Emmaüs. Ou encore une Bolivie figée depuis cent ans.
New York à vélo où la splendeur des immeubles fait douter de la pauvreté de Harlem. Pendant son périple, Louis Harenger, heureux, volubile, a confié à son cahier ses aventures, ses émotions et sa tentation d'en rester là auprès d'une belle Brésilienne. Régulièrement, il témoignait sur Radio France Urgences. Au bout des routes poussiéreuses de la planète pauvre, il a découvert que la solidarité était la plus grande des richesses produites par l'homme.