La philosophie de l'art
12e édition

Par : Jean Lacoste

Formats :

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages128
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7154-2065-6
  • EAN9782715420656
  • Date de parution18/10/2023
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurQUE SAIS-JE

Résumé

Il n'est pas besoin de rappeler la traditionnelle méfiance des philosophes envers l'art et les artistes. Aussi la philosophie de l'art, inaugurée avec Platon, commence-t-elle paradoxalement par une condamnation des « beaux-arts » et de la poésie. Cependant elle peut naître lorsque l'expérience esthétique devient problématique. Primitif, exotique, populaire, gothique, brut, naïf, l'art se charge lui-même de faire éclater toute définition canonique du beau, contestant les évidences esthétiques héritées du passé.
La philosophie de l'art n'est donc pas dans la tête du philosophe : elle est requise par l'histoire récente de la définition des « beaux-arts ». Quelles questions l'art pose-t-il à la philosophie ? Quelle énigme, mais aussi quels défis, la figure de l'artiste représente-t-elle pour le philosophe ?
Il n'est pas besoin de rappeler la traditionnelle méfiance des philosophes envers l'art et les artistes. Aussi la philosophie de l'art, inaugurée avec Platon, commence-t-elle paradoxalement par une condamnation des « beaux-arts » et de la poésie. Cependant elle peut naître lorsque l'expérience esthétique devient problématique. Primitif, exotique, populaire, gothique, brut, naïf, l'art se charge lui-même de faire éclater toute définition canonique du beau, contestant les évidences esthétiques héritées du passé.
La philosophie de l'art n'est donc pas dans la tête du philosophe : elle est requise par l'histoire récente de la définition des « beaux-arts ». Quelles questions l'art pose-t-il à la philosophie ? Quelle énigme, mais aussi quels défis, la figure de l'artiste représente-t-elle pour le philosophe ?