La patience des seuils
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- Nombre de pages90
- FormatPDF
- ISBN978-2-336-57018-1
- EAN9782336570181
- Date de parution23/10/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La maison parle à mi-voix en poésie et l'entende qui veut. La maison de famille est un lieu fait de matins, de travail, de pas perdus, de respirations. Ici, les absents sont debout. La mort du père de famille dessine d'autres formes, des retraits dans la nuit, d'anciennes circulations cherchent des mots. La maison est aussi récit, des histoires à la place des choses, des objets à la place des histoires.
Un espace où s'isoler, ouvrir les fenêtres autrement. Habiter l'idée de la maison c'est inquiéter doucement l'être et ses fantômes. C'est encore l'écoute renouvelée des visages d'une mère, d'un père. La lumière brutale d'un établissement médicalisé ou de l'hôpital conduit surement à une clairière d'impressions faite de troubles et de rêves hors du temps.
Un espace où s'isoler, ouvrir les fenêtres autrement. Habiter l'idée de la maison c'est inquiéter doucement l'être et ses fantômes. C'est encore l'écoute renouvelée des visages d'une mère, d'un père. La lumière brutale d'un établissement médicalisé ou de l'hôpital conduit surement à une clairière d'impressions faite de troubles et de rêves hors du temps.
La maison parle à mi-voix en poésie et l'entende qui veut. La maison de famille est un lieu fait de matins, de travail, de pas perdus, de respirations. Ici, les absents sont debout. La mort du père de famille dessine d'autres formes, des retraits dans la nuit, d'anciennes circulations cherchent des mots. La maison est aussi récit, des histoires à la place des choses, des objets à la place des histoires.
Un espace où s'isoler, ouvrir les fenêtres autrement. Habiter l'idée de la maison c'est inquiéter doucement l'être et ses fantômes. C'est encore l'écoute renouvelée des visages d'une mère, d'un père. La lumière brutale d'un établissement médicalisé ou de l'hôpital conduit surement à une clairière d'impressions faite de troubles et de rêves hors du temps.
Un espace où s'isoler, ouvrir les fenêtres autrement. Habiter l'idée de la maison c'est inquiéter doucement l'être et ses fantômes. C'est encore l'écoute renouvelée des visages d'une mère, d'un père. La lumière brutale d'un établissement médicalisé ou de l'hôpital conduit surement à une clairière d'impressions faite de troubles et de rêves hors du temps.