Nouveauté
La part du feu (ed. bilingue)
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- Nombre de pages124
- FormatPDF
- ISBN978-2-89766-506-7
- EAN9782897665067
- Date de parution23/09/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille389 Ko
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉditions du Noroît
Résumé
La part du feu est un livre de rupture. Rupture d'un amour, rupture avec le monde tel qu'on le connaissait, avec les formes trop pleines du langage, avec les récits figés. Pol Guasch y explore ce qu'il reste quand tout vacille : des gestes, des fragments, des paysages sans refuge, un désir obstiné de dire encore.
En dialogue avec Maurice Blanchot, dont il détourne certaines phrases, l'auteur écrit dans les cendres dans ce qui demeure après l'effondrement.
La langue cherche un abri, une manière d'habiter l'absence, de faire place à l'impossible. Il y a dans cette langue une douceur qui résiste, une lumière qui murmure. Il y a de l'intime et du politique, de la tendresse et du désespoir, mais surtout un mouvement : quitter, recommencer, aimer autrement. La part du feu trace les contours d'un monde où l'on survit à la fin. Et où, parfois, on recommence à vivre.
La langue cherche un abri, une manière d'habiter l'absence, de faire place à l'impossible. Il y a dans cette langue une douceur qui résiste, une lumière qui murmure. Il y a de l'intime et du politique, de la tendresse et du désespoir, mais surtout un mouvement : quitter, recommencer, aimer autrement. La part du feu trace les contours d'un monde où l'on survit à la fin. Et où, parfois, on recommence à vivre.
La part du feu est un livre de rupture. Rupture d'un amour, rupture avec le monde tel qu'on le connaissait, avec les formes trop pleines du langage, avec les récits figés. Pol Guasch y explore ce qu'il reste quand tout vacille : des gestes, des fragments, des paysages sans refuge, un désir obstiné de dire encore.
En dialogue avec Maurice Blanchot, dont il détourne certaines phrases, l'auteur écrit dans les cendres dans ce qui demeure après l'effondrement.
La langue cherche un abri, une manière d'habiter l'absence, de faire place à l'impossible. Il y a dans cette langue une douceur qui résiste, une lumière qui murmure. Il y a de l'intime et du politique, de la tendresse et du désespoir, mais surtout un mouvement : quitter, recommencer, aimer autrement. La part du feu trace les contours d'un monde où l'on survit à la fin. Et où, parfois, on recommence à vivre.
La langue cherche un abri, une manière d'habiter l'absence, de faire place à l'impossible. Il y a dans cette langue une douceur qui résiste, une lumière qui murmure. Il y a de l'intime et du politique, de la tendresse et du désespoir, mais surtout un mouvement : quitter, recommencer, aimer autrement. La part du feu trace les contours d'un monde où l'on survit à la fin. Et où, parfois, on recommence à vivre.