La parole et l'aliénation. Deux séminaires : 1988 - 1989 et 1990, révision impertinente de quelques concepts psychanalytiques et L'aliénation

Par : Lucien Israël

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages168
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7492-2217-2
  • EAN9782749222172
  • Date de parution26/11/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurErès
  • PréfacierCharlotte Herfray

Résumé

Préface de Charlotte Herfray La lecture des Séminaires de Lucien Israël nous invite à nous laisser porter par les associations signifiantes qui rendent la pensée vivante, aboutissant à la constatation que fait notre auteur à propos de la fonction de l'analyse (« La parole crée le sujet ») dont il nous dit qu'elle est « de renouveler non pas les voux, mais les désirs, c'est-à-dire renouveler l'expérience de la perte ».
Et, mine de rien, du lieu le plus secret du creuset de sa propre expérience, il ajoute qu'« en renonçant à tout signifié, c'est cela qu'en dernier lieu, on appellera la castration ». Et pour couronner le tout, il nous livrera que « le problème n'est pas de donner un sens à la vie. Il est de donner un sens à la mort ».
Préface de Charlotte Herfray La lecture des Séminaires de Lucien Israël nous invite à nous laisser porter par les associations signifiantes qui rendent la pensée vivante, aboutissant à la constatation que fait notre auteur à propos de la fonction de l'analyse (« La parole crée le sujet ») dont il nous dit qu'elle est « de renouveler non pas les voux, mais les désirs, c'est-à-dire renouveler l'expérience de la perte ».
Et, mine de rien, du lieu le plus secret du creuset de sa propre expérience, il ajoute qu'« en renonçant à tout signifié, c'est cela qu'en dernier lieu, on appellera la castration ». Et pour couronner le tout, il nous livrera que « le problème n'est pas de donner un sens à la vie. Il est de donner un sens à la mort ».