La parole émergente. Approche psycho-sociolinguistique de la résilience, parcours théorico-biographique
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- Nombre de pages280
- FormatPDF
- ISBN2-296-28169-9
- EAN9782296281691
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La résilience est la capacité d'un individu à résister et construire face à un traumatisme. Ce livre en propose une approche inédite : en même temps qu'elle est définie comme une venue au langage, comme un passage du langage à la parole, le processus de construction est interrogé. Ecrit par une linguiste, il est autant une réflexion théorique - psycho-sociolinguistique - que l'exposé biographique d'une résilience : la sienne.
L'auteure questionne deux événements traumatiques : la maltraitance et la maladie.
Elle cherche à comprendre la survenue de la maladie alors qu'elle croyait avoir résisté pendant la maltraitance et construit pendant dix années après celle-ci. Pour construire sa résilience actuelle à travers l'écriture, elle revient sur la phase de construction face à la maltraitance pour l'identifier comme l'acquisition d'une compétence communicationnelle qui l'aurait érigée en sujet parlant. Construire après la maladie, c'est, pour l'auteure, se lancer à la recherche de sa parole aliénée au moyen d'une méthode d'investigation, l'auto-analyse, méthode exposée comme centrale à la résilience, pour faire émerger la parole. Cet ouvrage prend de fait le risque de la parole ; de la parole sociale parce qu'il rend public des traumatismes personnels, parce qu'il tente de contribuer à déjouer les pièges de la stigmatisation.
Il prend également le risque de la recherche de la parole aliénée, où dire est se construire, s'interroger, se dévoiler à soi-même. Il prend enfin le risque de la parole scientifique dans la mesure où il propose une conceptualisation de la résilience.
Elle cherche à comprendre la survenue de la maladie alors qu'elle croyait avoir résisté pendant la maltraitance et construit pendant dix années après celle-ci. Pour construire sa résilience actuelle à travers l'écriture, elle revient sur la phase de construction face à la maltraitance pour l'identifier comme l'acquisition d'une compétence communicationnelle qui l'aurait érigée en sujet parlant. Construire après la maladie, c'est, pour l'auteure, se lancer à la recherche de sa parole aliénée au moyen d'une méthode d'investigation, l'auto-analyse, méthode exposée comme centrale à la résilience, pour faire émerger la parole. Cet ouvrage prend de fait le risque de la parole ; de la parole sociale parce qu'il rend public des traumatismes personnels, parce qu'il tente de contribuer à déjouer les pièges de la stigmatisation.
Il prend également le risque de la recherche de la parole aliénée, où dire est se construire, s'interroger, se dévoiler à soi-même. Il prend enfin le risque de la parole scientifique dans la mesure où il propose une conceptualisation de la résilience.
La résilience est la capacité d'un individu à résister et construire face à un traumatisme. Ce livre en propose une approche inédite : en même temps qu'elle est définie comme une venue au langage, comme un passage du langage à la parole, le processus de construction est interrogé. Ecrit par une linguiste, il est autant une réflexion théorique - psycho-sociolinguistique - que l'exposé biographique d'une résilience : la sienne.
L'auteure questionne deux événements traumatiques : la maltraitance et la maladie.
Elle cherche à comprendre la survenue de la maladie alors qu'elle croyait avoir résisté pendant la maltraitance et construit pendant dix années après celle-ci. Pour construire sa résilience actuelle à travers l'écriture, elle revient sur la phase de construction face à la maltraitance pour l'identifier comme l'acquisition d'une compétence communicationnelle qui l'aurait érigée en sujet parlant. Construire après la maladie, c'est, pour l'auteure, se lancer à la recherche de sa parole aliénée au moyen d'une méthode d'investigation, l'auto-analyse, méthode exposée comme centrale à la résilience, pour faire émerger la parole. Cet ouvrage prend de fait le risque de la parole ; de la parole sociale parce qu'il rend public des traumatismes personnels, parce qu'il tente de contribuer à déjouer les pièges de la stigmatisation.
Il prend également le risque de la recherche de la parole aliénée, où dire est se construire, s'interroger, se dévoiler à soi-même. Il prend enfin le risque de la parole scientifique dans la mesure où il propose une conceptualisation de la résilience.
Elle cherche à comprendre la survenue de la maladie alors qu'elle croyait avoir résisté pendant la maltraitance et construit pendant dix années après celle-ci. Pour construire sa résilience actuelle à travers l'écriture, elle revient sur la phase de construction face à la maltraitance pour l'identifier comme l'acquisition d'une compétence communicationnelle qui l'aurait érigée en sujet parlant. Construire après la maladie, c'est, pour l'auteure, se lancer à la recherche de sa parole aliénée au moyen d'une méthode d'investigation, l'auto-analyse, méthode exposée comme centrale à la résilience, pour faire émerger la parole. Cet ouvrage prend de fait le risque de la parole ; de la parole sociale parce qu'il rend public des traumatismes personnels, parce qu'il tente de contribuer à déjouer les pièges de la stigmatisation.
Il prend également le risque de la recherche de la parole aliénée, où dire est se construire, s'interroger, se dévoiler à soi-même. Il prend enfin le risque de la parole scientifique dans la mesure où il propose une conceptualisation de la résilience.