La nuit de Notre-Dame. Par ceux qui l'ont sauvée
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- Nombre de pages234
- FormatePub
- ISBN978-2-246-82276-9
- EAN9782246822769
- Date de parution06/11/2019
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille902 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
Ce 15 avril, en fin de journée, le soleil inonde les quais de la Seine. Parisiens et touristes s'émerveillent des splendeurs de la ville. Peu à peu, pourtant, tous les regards se tournent vers Notre-Dame. Quelle est cette fumée épaisse qui s'échappe brutalement des charpentes et qui enveloppe la toiture ? Puis viennent les flammes, qui prennent rapidement de la hauteur, et enserrent la flèche qui s'embrase.
Aux bruits du feu s'ajoutent l'effroi et la sidération. Ceux qui croient mais aussi ceux qui ne croient pas se rassemblent. Foule silencieuse, foule stupéfaite, assistant à la lutte de la vieille dame. La France entière pleure sa cathédrale, sous les yeux du monde. Pour la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est le début de l'une des nuits les plus longues. Un combat qui sera redoutable : ces jeunes hommes et femmes le savent, car ils connaissent les secrets de Notre-Dame.
Ils savent tout de « la forêt » qui constitue la charpente. Du trésor qu'il faudra aller chercher au cour de l'enfer. Des ruelles alentours qui empêchent les camions d'approcher, de l'eau qu'il faudra puiser dans la Seine, de cette bataille à livrer de l'extérieur, mais surtout à l'intérieur, au plus près des flammes et de la chaleur, en équilibre instable, avec des cheminements de repli précaires, du plomb en fusion qui déjà coule.
Et si la tour Nord venait à s'effondrer, le cour de Paris sera-t-il encore debout ?Les Pompiers n'ont en réalité qu'une heure ou deux pour sauver ce que la France a de plus beau. Il faut lutter, tenir les lignes d'arrêt et progresser chaque fois que les éléments le permettront. Avec en tête la devise de la brigade : « Sauver ou périr », alors que quatre des leurs sont tombés ces douze derniers mois.
Et s'il faut y aller pour Notre-Dame, pas un ne regarde en arrière. Sans un mot, ils sont prêts. Fait unique dans l'histoire, ce sont les héros de cette nuit qui ont écrit ces pages. Avec leurs mots, leurs peurs et surtout leur courage, les sapeurs-pompiers racontent cet adversaire puissant qui emporte chaque année certains des leurs, ce combat intime avec les flammes, l'odeur et le bruit des poutres en feu, le fracas de la flèche, les tourbillons de fumée et de gaz chauds qui, à plus de 40 mètres, aveuglent et étouffent.
Un adversaire qui met à nu. Un adversaire que l'on ne peut vaincre que soudé et groupé.
Aux bruits du feu s'ajoutent l'effroi et la sidération. Ceux qui croient mais aussi ceux qui ne croient pas se rassemblent. Foule silencieuse, foule stupéfaite, assistant à la lutte de la vieille dame. La France entière pleure sa cathédrale, sous les yeux du monde. Pour la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est le début de l'une des nuits les plus longues. Un combat qui sera redoutable : ces jeunes hommes et femmes le savent, car ils connaissent les secrets de Notre-Dame.
Ils savent tout de « la forêt » qui constitue la charpente. Du trésor qu'il faudra aller chercher au cour de l'enfer. Des ruelles alentours qui empêchent les camions d'approcher, de l'eau qu'il faudra puiser dans la Seine, de cette bataille à livrer de l'extérieur, mais surtout à l'intérieur, au plus près des flammes et de la chaleur, en équilibre instable, avec des cheminements de repli précaires, du plomb en fusion qui déjà coule.
Et si la tour Nord venait à s'effondrer, le cour de Paris sera-t-il encore debout ?Les Pompiers n'ont en réalité qu'une heure ou deux pour sauver ce que la France a de plus beau. Il faut lutter, tenir les lignes d'arrêt et progresser chaque fois que les éléments le permettront. Avec en tête la devise de la brigade : « Sauver ou périr », alors que quatre des leurs sont tombés ces douze derniers mois.
Et s'il faut y aller pour Notre-Dame, pas un ne regarde en arrière. Sans un mot, ils sont prêts. Fait unique dans l'histoire, ce sont les héros de cette nuit qui ont écrit ces pages. Avec leurs mots, leurs peurs et surtout leur courage, les sapeurs-pompiers racontent cet adversaire puissant qui emporte chaque année certains des leurs, ce combat intime avec les flammes, l'odeur et le bruit des poutres en feu, le fracas de la flèche, les tourbillons de fumée et de gaz chauds qui, à plus de 40 mètres, aveuglent et étouffent.
Un adversaire qui met à nu. Un adversaire que l'on ne peut vaincre que soudé et groupé.
Ce 15 avril, en fin de journée, le soleil inonde les quais de la Seine. Parisiens et touristes s'émerveillent des splendeurs de la ville. Peu à peu, pourtant, tous les regards se tournent vers Notre-Dame. Quelle est cette fumée épaisse qui s'échappe brutalement des charpentes et qui enveloppe la toiture ? Puis viennent les flammes, qui prennent rapidement de la hauteur, et enserrent la flèche qui s'embrase.
Aux bruits du feu s'ajoutent l'effroi et la sidération. Ceux qui croient mais aussi ceux qui ne croient pas se rassemblent. Foule silencieuse, foule stupéfaite, assistant à la lutte de la vieille dame. La France entière pleure sa cathédrale, sous les yeux du monde. Pour la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est le début de l'une des nuits les plus longues. Un combat qui sera redoutable : ces jeunes hommes et femmes le savent, car ils connaissent les secrets de Notre-Dame.
Ils savent tout de « la forêt » qui constitue la charpente. Du trésor qu'il faudra aller chercher au cour de l'enfer. Des ruelles alentours qui empêchent les camions d'approcher, de l'eau qu'il faudra puiser dans la Seine, de cette bataille à livrer de l'extérieur, mais surtout à l'intérieur, au plus près des flammes et de la chaleur, en équilibre instable, avec des cheminements de repli précaires, du plomb en fusion qui déjà coule.
Et si la tour Nord venait à s'effondrer, le cour de Paris sera-t-il encore debout ?Les Pompiers n'ont en réalité qu'une heure ou deux pour sauver ce que la France a de plus beau. Il faut lutter, tenir les lignes d'arrêt et progresser chaque fois que les éléments le permettront. Avec en tête la devise de la brigade : « Sauver ou périr », alors que quatre des leurs sont tombés ces douze derniers mois.
Et s'il faut y aller pour Notre-Dame, pas un ne regarde en arrière. Sans un mot, ils sont prêts. Fait unique dans l'histoire, ce sont les héros de cette nuit qui ont écrit ces pages. Avec leurs mots, leurs peurs et surtout leur courage, les sapeurs-pompiers racontent cet adversaire puissant qui emporte chaque année certains des leurs, ce combat intime avec les flammes, l'odeur et le bruit des poutres en feu, le fracas de la flèche, les tourbillons de fumée et de gaz chauds qui, à plus de 40 mètres, aveuglent et étouffent.
Un adversaire qui met à nu. Un adversaire que l'on ne peut vaincre que soudé et groupé.
Aux bruits du feu s'ajoutent l'effroi et la sidération. Ceux qui croient mais aussi ceux qui ne croient pas se rassemblent. Foule silencieuse, foule stupéfaite, assistant à la lutte de la vieille dame. La France entière pleure sa cathédrale, sous les yeux du monde. Pour la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est le début de l'une des nuits les plus longues. Un combat qui sera redoutable : ces jeunes hommes et femmes le savent, car ils connaissent les secrets de Notre-Dame.
Ils savent tout de « la forêt » qui constitue la charpente. Du trésor qu'il faudra aller chercher au cour de l'enfer. Des ruelles alentours qui empêchent les camions d'approcher, de l'eau qu'il faudra puiser dans la Seine, de cette bataille à livrer de l'extérieur, mais surtout à l'intérieur, au plus près des flammes et de la chaleur, en équilibre instable, avec des cheminements de repli précaires, du plomb en fusion qui déjà coule.
Et si la tour Nord venait à s'effondrer, le cour de Paris sera-t-il encore debout ?Les Pompiers n'ont en réalité qu'une heure ou deux pour sauver ce que la France a de plus beau. Il faut lutter, tenir les lignes d'arrêt et progresser chaque fois que les éléments le permettront. Avec en tête la devise de la brigade : « Sauver ou périr », alors que quatre des leurs sont tombés ces douze derniers mois.
Et s'il faut y aller pour Notre-Dame, pas un ne regarde en arrière. Sans un mot, ils sont prêts. Fait unique dans l'histoire, ce sont les héros de cette nuit qui ont écrit ces pages. Avec leurs mots, leurs peurs et surtout leur courage, les sapeurs-pompiers racontent cet adversaire puissant qui emporte chaque année certains des leurs, ce combat intime avec les flammes, l'odeur et le bruit des poutres en feu, le fracas de la flèche, les tourbillons de fumée et de gaz chauds qui, à plus de 40 mètres, aveuglent et étouffent.
Un adversaire qui met à nu. Un adversaire que l'on ne peut vaincre que soudé et groupé.