La nueve, 24 août 1944. Ces républicains espagnols qui ont libérés Paris
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- Nombre de pages282
- FormatePub
- ISBN978-2-7491-4193-0
- EAN9782749141930
- Date de parution14/08/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille923 Ko
- ÉditeurCherche Midi
- TraducteurSerge Utgé-Royo
- PréfacierJorge Semprun
- PostfacierMichel Roquejeoffre
Résumé
NOUVELLE EDITION - 1944-2014 - 70e anniversaire de la Libération de Paris
Voici des héros magnifiques, sortis tout droit d'une page d'histoire trop longtemps occultée : les soldats de la Nueve.
Officiellement, la libération de Paris a commencé le 25 août 1944. En réalité, c'est la veille, le 24 août, que le général Leclerc a lancé l'offensive : il a donné l'ordre au capitaine Dronne, chef de la 9e compagnie de la 2e DB, d'entrer dans Paris sans délai.
Le premier véhicule de cette 9e compagnie, appelée la Nueve, est arrivé place de l'Hôtel-de-Ville le 24 août 1944 peu après 20 heures, " heure allemande ".
Le soldat Amado Granell - le premier libérateur de Paris ! - en est descendu pour être aussitôt reçu, à l'intérieur de la mairie, par Georges Bidault, successeur de Jean Moulin à la présidence du Conseil national de la Résistance. Comme 146 des 160 hommes de la Nueve, Granell était... un républicain espagnol ! Le 26 août, de Gaulle descendra les Champs-Élysées escorté et protégé par quatre véhicules de la Nueve.
Ensuite, les républicains espagnols de la Nueve contribueront à libérer l'Alsace et la Lorraine et se battront en Allemagne jusqu'au nid d'aigle d'Hitler, à Berchtesgaden. Evelyn Mesquida leur rend la place qui leur est due dans la mémoire collective. Et elle donne la parole à neuf des survivants qu'elle a pu retrouver. Témoin de la libération de Paris, Albert Camus aura ces mots, en 1954, pour dire toute sa reconnaissance aux républicains espagnols : " Pour l'Europe et pour nous, sans le savoir, vous avez été et vous êtes des maîtres de liberté.
" Préface de Jorge Semprùn précédée de deux textes d'Albert Camus
Le soldat Amado Granell - le premier libérateur de Paris ! - en est descendu pour être aussitôt reçu, à l'intérieur de la mairie, par Georges Bidault, successeur de Jean Moulin à la présidence du Conseil national de la Résistance. Comme 146 des 160 hommes de la Nueve, Granell était... un républicain espagnol ! Le 26 août, de Gaulle descendra les Champs-Élysées escorté et protégé par quatre véhicules de la Nueve.
Ensuite, les républicains espagnols de la Nueve contribueront à libérer l'Alsace et la Lorraine et se battront en Allemagne jusqu'au nid d'aigle d'Hitler, à Berchtesgaden. Evelyn Mesquida leur rend la place qui leur est due dans la mémoire collective. Et elle donne la parole à neuf des survivants qu'elle a pu retrouver. Témoin de la libération de Paris, Albert Camus aura ces mots, en 1954, pour dire toute sa reconnaissance aux républicains espagnols : " Pour l'Europe et pour nous, sans le savoir, vous avez été et vous êtes des maîtres de liberté.
" Préface de Jorge Semprùn précédée de deux textes d'Albert Camus
NOUVELLE EDITION - 1944-2014 - 70e anniversaire de la Libération de Paris
Voici des héros magnifiques, sortis tout droit d'une page d'histoire trop longtemps occultée : les soldats de la Nueve.
Officiellement, la libération de Paris a commencé le 25 août 1944. En réalité, c'est la veille, le 24 août, que le général Leclerc a lancé l'offensive : il a donné l'ordre au capitaine Dronne, chef de la 9e compagnie de la 2e DB, d'entrer dans Paris sans délai.
Le premier véhicule de cette 9e compagnie, appelée la Nueve, est arrivé place de l'Hôtel-de-Ville le 24 août 1944 peu après 20 heures, " heure allemande ".
Le soldat Amado Granell - le premier libérateur de Paris ! - en est descendu pour être aussitôt reçu, à l'intérieur de la mairie, par Georges Bidault, successeur de Jean Moulin à la présidence du Conseil national de la Résistance. Comme 146 des 160 hommes de la Nueve, Granell était... un républicain espagnol ! Le 26 août, de Gaulle descendra les Champs-Élysées escorté et protégé par quatre véhicules de la Nueve.
Ensuite, les républicains espagnols de la Nueve contribueront à libérer l'Alsace et la Lorraine et se battront en Allemagne jusqu'au nid d'aigle d'Hitler, à Berchtesgaden. Evelyn Mesquida leur rend la place qui leur est due dans la mémoire collective. Et elle donne la parole à neuf des survivants qu'elle a pu retrouver. Témoin de la libération de Paris, Albert Camus aura ces mots, en 1954, pour dire toute sa reconnaissance aux républicains espagnols : " Pour l'Europe et pour nous, sans le savoir, vous avez été et vous êtes des maîtres de liberté.
" Préface de Jorge Semprùn précédée de deux textes d'Albert Camus
Le soldat Amado Granell - le premier libérateur de Paris ! - en est descendu pour être aussitôt reçu, à l'intérieur de la mairie, par Georges Bidault, successeur de Jean Moulin à la présidence du Conseil national de la Résistance. Comme 146 des 160 hommes de la Nueve, Granell était... un républicain espagnol ! Le 26 août, de Gaulle descendra les Champs-Élysées escorté et protégé par quatre véhicules de la Nueve.
Ensuite, les républicains espagnols de la Nueve contribueront à libérer l'Alsace et la Lorraine et se battront en Allemagne jusqu'au nid d'aigle d'Hitler, à Berchtesgaden. Evelyn Mesquida leur rend la place qui leur est due dans la mémoire collective. Et elle donne la parole à neuf des survivants qu'elle a pu retrouver. Témoin de la libération de Paris, Albert Camus aura ces mots, en 1954, pour dire toute sa reconnaissance aux républicains espagnols : " Pour l'Europe et pour nous, sans le savoir, vous avez été et vous êtes des maîtres de liberté.
" Préface de Jorge Semprùn précédée de deux textes d'Albert Camus