La musique de la tante Aurèle

Par : Pierre Debassac

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  • Nombre de pages204
  • FormatePub
  • ISBN2-307-19952-7
  • EAN9782307199526
  • Date de parution01/01/1962
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille532 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Del ...

Résumé

« Les colères du père, les larmes de maman, le chien dont il était impossible de voir les yeux parce que c'était un griffon, la vieille maison, les escaliers avec des barreaux de bois tournés, les marches bien cirées et l'étrange machine à musique de la tante Aurèle... » Oui, Anne-Marie se souvenait... Elle était alors une adolescente provinciale, que la vie n'avait pas encore meurtrie... Puis elle avait épousé Émilien Billaud, l'avait suivi à Paris dans un médiocre deux-pièces.
Pourquoi Émilien avait-il changé ? Pourquoi, de son côté, n'avait-elle pas accepté son destin auprès d'un mari volage, buveur et violent, mais tendre ? Un soir, froidement, elle l'avait abattu d'une balle de revolver. Mais on lui avait accordé des circonstances atténuantes. Anne-Marie, elle, savait que son crime avait été longuement, soigneusement prémédité. Et le remords était là, à jamais, qui tournait dans sa tête, tournait, tournait, comme jadis l'étrange boîte à musique de la tante Aurèle.
« Les colères du père, les larmes de maman, le chien dont il était impossible de voir les yeux parce que c'était un griffon, la vieille maison, les escaliers avec des barreaux de bois tournés, les marches bien cirées et l'étrange machine à musique de la tante Aurèle... » Oui, Anne-Marie se souvenait... Elle était alors une adolescente provinciale, que la vie n'avait pas encore meurtrie... Puis elle avait épousé Émilien Billaud, l'avait suivi à Paris dans un médiocre deux-pièces.
Pourquoi Émilien avait-il changé ? Pourquoi, de son côté, n'avait-elle pas accepté son destin auprès d'un mari volage, buveur et violent, mais tendre ? Un soir, froidement, elle l'avait abattu d'une balle de revolver. Mais on lui avait accordé des circonstances atténuantes. Anne-Marie, elle, savait que son crime avait été longuement, soigneusement prémédité. Et le remords était là, à jamais, qui tournait dans sa tête, tournait, tournait, comme jadis l'étrange boîte à musique de la tante Aurèle.