La musique, architecture du temps
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- Nombre de pages166
- FormatPDF
- ISBN2-296-28647-X
- EAN9782296286474
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet essai insiste avant tout sur la pluralité et la complexité de l'inscription, de l'œuvre musicale dans le temps. Si c'est incontestablement au XXe siècle que se sont multipliées les avancées, ces dernières n'en seront pas moins mises en regard d'expériences antérieures souvent décisives, comme celle du style classique par exemple. La malléabilité de sa morphologie (le temps est celui de son mode de déroutement), se lit ainsi tout autant dans la pensée grammaticale que dans les conduites formelles.
Celles-ci se jouent tout d'abord dans la priorité donnée à l'assise technique du langage, aux limites parfois d'une abstraction nécessaire à la définition de l'outil, mais ensuite et surtout, dans l'exploration souvent insaisissable du passé, du présent et du a futur.
Les mises en perspectives (dialectiques ou non), le jeu sur les effets de la réminiscence, de la prémonition du retour, ou au contraire, la concentration sur l'instant, le moment, dévouent l'élasticité du temps que la musique modifie au gré de ses constructions, jusqu'à parfois le dissoudre aux limites de la perception qui seront invoquées en fin d'ouvrage.
Les mises en perspectives (dialectiques ou non), le jeu sur les effets de la réminiscence, de la prémonition du retour, ou au contraire, la concentration sur l'instant, le moment, dévouent l'élasticité du temps que la musique modifie au gré de ses constructions, jusqu'à parfois le dissoudre aux limites de la perception qui seront invoquées en fin d'ouvrage.
Cet essai insiste avant tout sur la pluralité et la complexité de l'inscription, de l'œuvre musicale dans le temps. Si c'est incontestablement au XXe siècle que se sont multipliées les avancées, ces dernières n'en seront pas moins mises en regard d'expériences antérieures souvent décisives, comme celle du style classique par exemple. La malléabilité de sa morphologie (le temps est celui de son mode de déroutement), se lit ainsi tout autant dans la pensée grammaticale que dans les conduites formelles.
Celles-ci se jouent tout d'abord dans la priorité donnée à l'assise technique du langage, aux limites parfois d'une abstraction nécessaire à la définition de l'outil, mais ensuite et surtout, dans l'exploration souvent insaisissable du passé, du présent et du a futur.
Les mises en perspectives (dialectiques ou non), le jeu sur les effets de la réminiscence, de la prémonition du retour, ou au contraire, la concentration sur l'instant, le moment, dévouent l'élasticité du temps que la musique modifie au gré de ses constructions, jusqu'à parfois le dissoudre aux limites de la perception qui seront invoquées en fin d'ouvrage.
Les mises en perspectives (dialectiques ou non), le jeu sur les effets de la réminiscence, de la prémonition du retour, ou au contraire, la concentration sur l'instant, le moment, dévouent l'élasticité du temps que la musique modifie au gré de ses constructions, jusqu'à parfois le dissoudre aux limites de la perception qui seront invoquées en fin d'ouvrage.