La mort, un temps à vivre
Par :Formats :
Disponible d'occasion :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages248
- FormatePub
- ISBN978-2-7554-0962-8
- EAN9782755409628
- Date de parution06/07/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFrançois-Xavier de Guibert
Résumé
La source de toutes les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la craintede la mort. ÉpictèteLa chose du monde à laquelle un homme libre pense le moins, c'est la mort etla sagesse n'est point la méditation de la mort, mais de la vie. SpinozaPourquoi en effet réfléchir sur la mort, si ce n'est pour mieux vivre ?Partant du constat de l'occultation de la mort par notre société, des peursqu'elle nourrit, des difficultés pour entourer ceux qui arrivent au bout deleur vie, la réflexion de l'Académie d'éducation et d'études sociales se portesur les points essentiels qui semblent nécessaires aux hommes pour que au-delà d'un regard sur les étapes de la vie ils puissent, en ne reléguantplus ceux qui arrivent à cette ultime étape et en les entourant, à défaut desagesse, acquérir une certaine paix qui semble parfois fuir notre temps.
La source de toutes les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la craintede la mort. ÉpictèteLa chose du monde à laquelle un homme libre pense le moins, c'est la mort etla sagesse n'est point la méditation de la mort, mais de la vie. SpinozaPourquoi en effet réfléchir sur la mort, si ce n'est pour mieux vivre ?Partant du constat de l'occultation de la mort par notre société, des peursqu'elle nourrit, des difficultés pour entourer ceux qui arrivent au bout deleur vie, la réflexion de l'Académie d'éducation et d'études sociales se portesur les points essentiels qui semblent nécessaires aux hommes pour que au-delà d'un regard sur les étapes de la vie ils puissent, en ne reléguantplus ceux qui arrivent à cette ultime étape et en les entourant, à défaut desagesse, acquérir une certaine paix qui semble parfois fuir notre temps.