La modernisation quotidienne au Gabon. La création de toutes petites entreprises
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- Nombre de pages246
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19576-9
- EAN9782296195769
- Date de parution01/05/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierGilbert de Terssac
- PréfacierFidèle-Pierre Nze-Nguema
Résumé
Cet ouvrage rend visible la modernisation enfouie dans les pratiques quotidiennes des " gens sans rien " qui participent aux échanges marchands pour sortir de la pauvreté. Il s'agit d'un espace social d'innovations porteur de création d'entreprises (toutes petites entreprises). Il nous apprend, d'une part, que la modernisation est un processus social qui peut être analysé à trois niveaux indissolublement liés.
D'abord, à un niveau macrosocial, pour montrer que la modernisation par le " haut ", portée par l'État, est une réalité limitée. Ensuite, à un niveau microsocial, dans les villages, les quartiers, les rues, les marchés pour comprendre comment ces gens à " faible expérience " tentent de sortir de la pauvreté en créant des TPE : c'est la modernisation par le " bas ". Enfin, à un niveau intermédiaire, des politiques publiques, pour montrer le retour de l'État qui souhaite enrayer la pauvreté et développer la création d'entreprises.
Il nous apprend, d'autre part, à définir la modernisation comme activité en montrant que le " bricolage économique de subsistance " débouche également sur de véritables entreprises dont il décrit les différentes phases de création.
D'abord, à un niveau macrosocial, pour montrer que la modernisation par le " haut ", portée par l'État, est une réalité limitée. Ensuite, à un niveau microsocial, dans les villages, les quartiers, les rues, les marchés pour comprendre comment ces gens à " faible expérience " tentent de sortir de la pauvreté en créant des TPE : c'est la modernisation par le " bas ". Enfin, à un niveau intermédiaire, des politiques publiques, pour montrer le retour de l'État qui souhaite enrayer la pauvreté et développer la création d'entreprises.
Il nous apprend, d'autre part, à définir la modernisation comme activité en montrant que le " bricolage économique de subsistance " débouche également sur de véritables entreprises dont il décrit les différentes phases de création.
Cet ouvrage rend visible la modernisation enfouie dans les pratiques quotidiennes des " gens sans rien " qui participent aux échanges marchands pour sortir de la pauvreté. Il s'agit d'un espace social d'innovations porteur de création d'entreprises (toutes petites entreprises). Il nous apprend, d'une part, que la modernisation est un processus social qui peut être analysé à trois niveaux indissolublement liés.
D'abord, à un niveau macrosocial, pour montrer que la modernisation par le " haut ", portée par l'État, est une réalité limitée. Ensuite, à un niveau microsocial, dans les villages, les quartiers, les rues, les marchés pour comprendre comment ces gens à " faible expérience " tentent de sortir de la pauvreté en créant des TPE : c'est la modernisation par le " bas ". Enfin, à un niveau intermédiaire, des politiques publiques, pour montrer le retour de l'État qui souhaite enrayer la pauvreté et développer la création d'entreprises.
Il nous apprend, d'autre part, à définir la modernisation comme activité en montrant que le " bricolage économique de subsistance " débouche également sur de véritables entreprises dont il décrit les différentes phases de création.
D'abord, à un niveau macrosocial, pour montrer que la modernisation par le " haut ", portée par l'État, est une réalité limitée. Ensuite, à un niveau microsocial, dans les villages, les quartiers, les rues, les marchés pour comprendre comment ces gens à " faible expérience " tentent de sortir de la pauvreté en créant des TPE : c'est la modernisation par le " bas ". Enfin, à un niveau intermédiaire, des politiques publiques, pour montrer le retour de l'État qui souhaite enrayer la pauvreté et développer la création d'entreprises.
Il nous apprend, d'autre part, à définir la modernisation comme activité en montrant que le " bricolage économique de subsistance " débouche également sur de véritables entreprises dont il décrit les différentes phases de création.