La Métaphore du passage. Le concept de temps chez saint Augustin, fondement d'une nouvelle éthique
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- Nombre de pages348
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19327-7
- EAN9782296193277
- Date de parution01/03/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PostfacierChristian Hervé
Résumé
" Je parle. Mes mots sont des pensées qui représentent. Dans leur essence même, ces pensées sont des énoncés vrais. Il est impossible en effet que ces mots qui s'imposent au nom de ma pensée puissent, dans leur évocation même, témoigner du faux. Comment l'acte de penser, dans ce qui l'institue comme énoncé encore une fois, pourrait-il m'abuser à travers ce qui constitue son acte même d'énonciation ? " Que l'on ait pu parler de " mort de la métaphysique " est absolument invraisemblable ; la métaphysique, en effet, n'a jamais été aussi " vivante " qu'aujourd'hui.
Que l'on puisse, tout pareillement, imaginer que l'action aujourd'hui nécessaire à effectuer dans tous les domaines du savoir soit celle d'une " déconstruction " est tout aussi déconcertant ; il s'agit bien plutôt de tout l'inverse : de reconstruire. Non pas tellement de reconstruire des modes de savoir " nouveaux " mais, plus exactement, de reconstruire les questions de méthode par lesquelles nous pensons savoir.
Que l'on puisse, tout pareillement, imaginer que l'action aujourd'hui nécessaire à effectuer dans tous les domaines du savoir soit celle d'une " déconstruction " est tout aussi déconcertant ; il s'agit bien plutôt de tout l'inverse : de reconstruire. Non pas tellement de reconstruire des modes de savoir " nouveaux " mais, plus exactement, de reconstruire les questions de méthode par lesquelles nous pensons savoir.
" Je parle. Mes mots sont des pensées qui représentent. Dans leur essence même, ces pensées sont des énoncés vrais. Il est impossible en effet que ces mots qui s'imposent au nom de ma pensée puissent, dans leur évocation même, témoigner du faux. Comment l'acte de penser, dans ce qui l'institue comme énoncé encore une fois, pourrait-il m'abuser à travers ce qui constitue son acte même d'énonciation ? " Que l'on ait pu parler de " mort de la métaphysique " est absolument invraisemblable ; la métaphysique, en effet, n'a jamais été aussi " vivante " qu'aujourd'hui.
Que l'on puisse, tout pareillement, imaginer que l'action aujourd'hui nécessaire à effectuer dans tous les domaines du savoir soit celle d'une " déconstruction " est tout aussi déconcertant ; il s'agit bien plutôt de tout l'inverse : de reconstruire. Non pas tellement de reconstruire des modes de savoir " nouveaux " mais, plus exactement, de reconstruire les questions de méthode par lesquelles nous pensons savoir.
Que l'on puisse, tout pareillement, imaginer que l'action aujourd'hui nécessaire à effectuer dans tous les domaines du savoir soit celle d'une " déconstruction " est tout aussi déconcertant ; il s'agit bien plutôt de tout l'inverse : de reconstruire. Non pas tellement de reconstruire des modes de savoir " nouveaux " mais, plus exactement, de reconstruire les questions de méthode par lesquelles nous pensons savoir.