La mer aux dames
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages290
- FormatePub
- ISBN2-221-21164-2
- EAN9782221211649
- Date de parution01/01/1961
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille77 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurRobert Laffont (réédition numéri...
Résumé
« La mer, c'est l'affaire des hommes. La femme de marin, femme de chagrin, tricote à l'abri d'un menhir en attendant que le bâtiment apparaisse à l'horizon. Ou bien, embarquée comme passagère, elle constitue ce lest en diable si redouté des anciens de la voile. » Cette conception est-elle juste ? Nullement. Aux temps antiques, il exista de grandes femmes marins ; plus près de nous, à côté de passagères héroïques ou tragiques, dont Jean Merrien raconte les histoires hautes en couleur, des femmes pirates étonnantes ont laissé le souvenir d'un prodigieux courage.
De nos jours, victorieuses du vieux Colbert, de jeunes femmes deviennent marins-pêcheurs, ou, dans d'autres pays, tiennent tous les postes à la mer. Mais, surtout, cette plaisance nouvelle qui, miraculeusement, ouvre la navigation aux non-professionnels, apporte aux femmes toutes les joies, comme tous les bienfaits physiques et moraux de la mer. Jean Merrien explique ici, en se plaçant du point de vue des « équipières », de quelle façon, à quelles conditions d'agréement, sous une voile ou près d'un moteur, en régate, en promenade ou en croisière, les rivières, les baies, la mer, peuvent être, aussi, aux « dames ».
De nos jours, victorieuses du vieux Colbert, de jeunes femmes deviennent marins-pêcheurs, ou, dans d'autres pays, tiennent tous les postes à la mer. Mais, surtout, cette plaisance nouvelle qui, miraculeusement, ouvre la navigation aux non-professionnels, apporte aux femmes toutes les joies, comme tous les bienfaits physiques et moraux de la mer. Jean Merrien explique ici, en se plaçant du point de vue des « équipières », de quelle façon, à quelles conditions d'agréement, sous une voile ou près d'un moteur, en régate, en promenade ou en croisière, les rivières, les baies, la mer, peuvent être, aussi, aux « dames ».
« La mer, c'est l'affaire des hommes. La femme de marin, femme de chagrin, tricote à l'abri d'un menhir en attendant que le bâtiment apparaisse à l'horizon. Ou bien, embarquée comme passagère, elle constitue ce lest en diable si redouté des anciens de la voile. » Cette conception est-elle juste ? Nullement. Aux temps antiques, il exista de grandes femmes marins ; plus près de nous, à côté de passagères héroïques ou tragiques, dont Jean Merrien raconte les histoires hautes en couleur, des femmes pirates étonnantes ont laissé le souvenir d'un prodigieux courage.
De nos jours, victorieuses du vieux Colbert, de jeunes femmes deviennent marins-pêcheurs, ou, dans d'autres pays, tiennent tous les postes à la mer. Mais, surtout, cette plaisance nouvelle qui, miraculeusement, ouvre la navigation aux non-professionnels, apporte aux femmes toutes les joies, comme tous les bienfaits physiques et moraux de la mer. Jean Merrien explique ici, en se plaçant du point de vue des « équipières », de quelle façon, à quelles conditions d'agréement, sous une voile ou près d'un moteur, en régate, en promenade ou en croisière, les rivières, les baies, la mer, peuvent être, aussi, aux « dames ».
De nos jours, victorieuses du vieux Colbert, de jeunes femmes deviennent marins-pêcheurs, ou, dans d'autres pays, tiennent tous les postes à la mer. Mais, surtout, cette plaisance nouvelle qui, miraculeusement, ouvre la navigation aux non-professionnels, apporte aux femmes toutes les joies, comme tous les bienfaits physiques et moraux de la mer. Jean Merrien explique ici, en se plaçant du point de vue des « équipières », de quelle façon, à quelles conditions d'agréement, sous une voile ou près d'un moteur, en régate, en promenade ou en croisière, les rivières, les baies, la mer, peuvent être, aussi, aux « dames ».