La mer
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- Nombre de pages250
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-84141-348-5
- EAN9782841413485
- Date de parution13/01/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurAncre de Marine Editions
Résumé
Attention ! Chef-d'ouvre...
Du livre que vous tenez en main, voici ce qu'écrit Pierre MAC ORLAN, l'immense écrivain à qui nous devons tant de belles pages sur la mer et le voyage :
« Des hommes qui vécurent sur l'île d'Ouessant l'ornèrent de deux monuments impérissables : La Mer, chef-d'ouvre de Kellermann et les Filles de la pluie. »
Le grand peintre Jacques Burel a refusé d'illustrer ce livre.
Voici pourquoi :
« J'avais avalé La Mer - si j'ose dire - d'une seule traite.
Le livre fourmillait d'images, de bruits, d'odeurs et rien n'y était dit qui ne fût de toute évidence éprouvé sur place. La magie du verbe y joue pleinement et chacun recrée images, sons et parfums pour lui-même. Vous ouvrez à n'importe quelle page et vous êtes à Ouessant, le vent vous empoigne, la mer tonne à la pointe de Pern et vous oubliez tout le reste. Le temps a disparu ! Illustrer un tel bouquin était un sacrilège.
Nul n'avait, me dis-je, le droit de déposer des images au pied de ses paragraphes, d'imposer sa vision aux autres, d'appauvrir l'oeuvre et de la déflorer. » Oui, par sa poésie brute, sa profondeur sentimentale, sa puissance évocatrice du paysage et des hommes, La Mer est un chef-d'oeuvre de grande littérature, le vrai roman de l'île d'Ouessant.
Le livre fourmillait d'images, de bruits, d'odeurs et rien n'y était dit qui ne fût de toute évidence éprouvé sur place. La magie du verbe y joue pleinement et chacun recrée images, sons et parfums pour lui-même. Vous ouvrez à n'importe quelle page et vous êtes à Ouessant, le vent vous empoigne, la mer tonne à la pointe de Pern et vous oubliez tout le reste. Le temps a disparu ! Illustrer un tel bouquin était un sacrilège.
Nul n'avait, me dis-je, le droit de déposer des images au pied de ses paragraphes, d'imposer sa vision aux autres, d'appauvrir l'oeuvre et de la déflorer. » Oui, par sa poésie brute, sa profondeur sentimentale, sa puissance évocatrice du paysage et des hommes, La Mer est un chef-d'oeuvre de grande littérature, le vrai roman de l'île d'Ouessant.
Attention ! Chef-d'ouvre...
Du livre que vous tenez en main, voici ce qu'écrit Pierre MAC ORLAN, l'immense écrivain à qui nous devons tant de belles pages sur la mer et le voyage :
« Des hommes qui vécurent sur l'île d'Ouessant l'ornèrent de deux monuments impérissables : La Mer, chef-d'ouvre de Kellermann et les Filles de la pluie. »
Le grand peintre Jacques Burel a refusé d'illustrer ce livre.
Voici pourquoi :
« J'avais avalé La Mer - si j'ose dire - d'une seule traite.
Le livre fourmillait d'images, de bruits, d'odeurs et rien n'y était dit qui ne fût de toute évidence éprouvé sur place. La magie du verbe y joue pleinement et chacun recrée images, sons et parfums pour lui-même. Vous ouvrez à n'importe quelle page et vous êtes à Ouessant, le vent vous empoigne, la mer tonne à la pointe de Pern et vous oubliez tout le reste. Le temps a disparu ! Illustrer un tel bouquin était un sacrilège.
Nul n'avait, me dis-je, le droit de déposer des images au pied de ses paragraphes, d'imposer sa vision aux autres, d'appauvrir l'oeuvre et de la déflorer. » Oui, par sa poésie brute, sa profondeur sentimentale, sa puissance évocatrice du paysage et des hommes, La Mer est un chef-d'oeuvre de grande littérature, le vrai roman de l'île d'Ouessant.
Le livre fourmillait d'images, de bruits, d'odeurs et rien n'y était dit qui ne fût de toute évidence éprouvé sur place. La magie du verbe y joue pleinement et chacun recrée images, sons et parfums pour lui-même. Vous ouvrez à n'importe quelle page et vous êtes à Ouessant, le vent vous empoigne, la mer tonne à la pointe de Pern et vous oubliez tout le reste. Le temps a disparu ! Illustrer un tel bouquin était un sacrilège.
Nul n'avait, me dis-je, le droit de déposer des images au pied de ses paragraphes, d'imposer sa vision aux autres, d'appauvrir l'oeuvre et de la déflorer. » Oui, par sa poésie brute, sa profondeur sentimentale, sa puissance évocatrice du paysage et des hommes, La Mer est un chef-d'oeuvre de grande littérature, le vrai roman de l'île d'Ouessant.