La mémoire ouverte

Par : Paul Noirot, Philippe Dominique, Claude Glayman

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  • Nombre de pages396
  • FormatePub
  • ISBN2-7062-8257-6
  • EAN9782706282577
  • Date de parution01/01/1976
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille666 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurStock (réédition numérique FeniX...

Résumé

Entré dans la Résistance en 1941, Paul Noirot a adhéré au Parti communiste clandestin en 1943. Peu après, il est arrêté, puis déporté. Il est exclu du Parti en 1969 pour avoir, après Mai 68 et l'invasion de la Tchécoslovaquie, créé la revue « Politique Aujourd'hui ». La Mémoire ouverte est la mémoire de plus de vingt cinq années de militantisme au sein du PCF et des années qui suivent. Le grand tournant de la déstalinisation, l'entrée des chars russes à Budapest datent d'il y a 20 ans.
Pour Paul Noirot, 20 ans d'occasions perdues. Écartant la polémique, il tente de défricher l'histoire d'un parti dont les lagunes sont nombreuses. Il fait sienne les remarques du philosophe communiste Louis Althusser, soulignant dans sa préface à « Lyssenko. Histoire réelle d'une science prolétarienne », que « par un paradoxe proprement inouï, les partis communistes, que Marx a dotés, pour la première fois de tous les temps, des moyens scientifiques pour comprendre l'histoire, et qui s'y appliquent à peu près quand il s'agit des autres ou des temps reculés, sont comme impuissants à rendre compte, en marxistes, de leur propre histoire - surtout quand ils la ratent.
Et que « tout comme il faut une volonté politique pour extirper l'erreur en ses racines, il faut aussi une volonté politique, même si elle n'est pas déclarée, mais tue, pour ne pas l'analyser, ne pas la connaître et donc ne pas l'extirper dans ses racines ». Ce qui explique que Paul Noirot, tira pour sa part, d'une semblable analyse, les conclusions pratiques, a rejeté la règle du Parti et poursuit autrement le combat révolutionnaire.
Entré dans la Résistance en 1941, Paul Noirot a adhéré au Parti communiste clandestin en 1943. Peu après, il est arrêté, puis déporté. Il est exclu du Parti en 1969 pour avoir, après Mai 68 et l'invasion de la Tchécoslovaquie, créé la revue « Politique Aujourd'hui ». La Mémoire ouverte est la mémoire de plus de vingt cinq années de militantisme au sein du PCF et des années qui suivent. Le grand tournant de la déstalinisation, l'entrée des chars russes à Budapest datent d'il y a 20 ans.
Pour Paul Noirot, 20 ans d'occasions perdues. Écartant la polémique, il tente de défricher l'histoire d'un parti dont les lagunes sont nombreuses. Il fait sienne les remarques du philosophe communiste Louis Althusser, soulignant dans sa préface à « Lyssenko. Histoire réelle d'une science prolétarienne », que « par un paradoxe proprement inouï, les partis communistes, que Marx a dotés, pour la première fois de tous les temps, des moyens scientifiques pour comprendre l'histoire, et qui s'y appliquent à peu près quand il s'agit des autres ou des temps reculés, sont comme impuissants à rendre compte, en marxistes, de leur propre histoire - surtout quand ils la ratent.
Et que « tout comme il faut une volonté politique pour extirper l'erreur en ses racines, il faut aussi une volonté politique, même si elle n'est pas déclarée, mais tue, pour ne pas l'analyser, ne pas la connaître et donc ne pas l'extirper dans ses racines ». Ce qui explique que Paul Noirot, tira pour sa part, d'une semblable analyse, les conclusions pratiques, a rejeté la règle du Parti et poursuit autrement le combat révolutionnaire.
La mémoire ouverte
Paul Noirot, Philippe Dominique, Claude Glayman
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