La mélodie volée du Maréchal. L'incroyable histoire de Casimir Oberfeld, compositeur (malgré lui) de l'hymne pétainiste

Par : Jean-Pierre Guéno
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  • Nombre de pages135
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8098-2382-0
  • EAN9782809823820
  • Date de parution24/01/2018
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurArchipel

Résumé

Qui sait que la mélodie de «  Maréchal, nous voilà  » a été «  volée » à un compositeur juif polonais, qui allait mourir en déportation  ?Casimir Oberfeld (1903-1945) fut un compositeur de musiques de films et de chansons durant l'entre-deux guerres. Il a composé certains des succès d'Arletty, de Mistinguett («  C'est vrai  »), de Fernandel («  Félicie aussi  ») et de Maurice Chevalier («  Paris sera toujours Paris  »).
En 1933, il compose la musique du film «  La Margoton du bataillon  ». Victime de son succès, cette mélodie devient en 1937 la chanson officielle du Tour de France sous le titre La fleur au guidon, puis en 1938 un hymne militant pour le parti socialiste, Le chant de l'avenir  ! En 1941, le troisième plagiat est plus grave  : le refrain de «  Maréchal nous voilà  », chanté dans toutes les écoles de France durant l'Occupation, recopie une nouvelle fois l'oeuvre de Casimir Oberfeld.
Jean-Pierre Guéno a reconstitué le parcours de ce compositeur avec le concours de son fils Grégoire Dunant, dont le livre évoque aussi l'itinéraire singulier.
Qui sait que la mélodie de «  Maréchal, nous voilà  » a été «  volée » à un compositeur juif polonais, qui allait mourir en déportation  ?Casimir Oberfeld (1903-1945) fut un compositeur de musiques de films et de chansons durant l'entre-deux guerres. Il a composé certains des succès d'Arletty, de Mistinguett («  C'est vrai  »), de Fernandel («  Félicie aussi  ») et de Maurice Chevalier («  Paris sera toujours Paris  »).
En 1933, il compose la musique du film «  La Margoton du bataillon  ». Victime de son succès, cette mélodie devient en 1937 la chanson officielle du Tour de France sous le titre La fleur au guidon, puis en 1938 un hymne militant pour le parti socialiste, Le chant de l'avenir  ! En 1941, le troisième plagiat est plus grave  : le refrain de «  Maréchal nous voilà  », chanté dans toutes les écoles de France durant l'Occupation, recopie une nouvelle fois l'oeuvre de Casimir Oberfeld.
Jean-Pierre Guéno a reconstitué le parcours de ce compositeur avec le concours de son fils Grégoire Dunant, dont le livre évoque aussi l'itinéraire singulier.
L'outrage colonial
Jean-Pierre Guéno
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