La malédiction du vainqueur. Pourquoi croyons-nous que l'Occident est décadent ?
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- Nombre de pages238
- FormatPDF
- ISBN979-10-329-3364-0
- EAN9791032933640
- Date de parution29/01/2025
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille1 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurÉditions de l'Observatoire
Résumé
La fin de l'Histoire était un leurre et l'Occident se meurt. Telle est, en substance, le credo ânonné par le cortège grandissant des prophètes de la défaite. Mais les faits sont têtus et les chiffres clairs : là où il y a de la démocratie et un marché, les hommes sont plus riches, plus libres et plus heureux. Sur le plan matériel comme sur le plan moral, aucun autre système n'a jamais fait mieux. D'où vient alors l'illusion du déclin ? D'une force qui se prend pour une faiblesse.
Si l'Occident déçoit, plus qu'aucune autre civilisation, c'est qu'il fait de l'individu un absolu. Condamné à se sentir imparfait tant qu'un homme demeurera insatisfait, il se croit dépassé par des régimes alternatifs où l'humain compte pour rien. Et c'est là le moteur de son évolution autant que sa malédiction.
Si l'Occident déçoit, plus qu'aucune autre civilisation, c'est qu'il fait de l'individu un absolu. Condamné à se sentir imparfait tant qu'un homme demeurera insatisfait, il se croit dépassé par des régimes alternatifs où l'humain compte pour rien. Et c'est là le moteur de son évolution autant que sa malédiction.
La fin de l'Histoire était un leurre et l'Occident se meurt. Telle est, en substance, le credo ânonné par le cortège grandissant des prophètes de la défaite. Mais les faits sont têtus et les chiffres clairs : là où il y a de la démocratie et un marché, les hommes sont plus riches, plus libres et plus heureux. Sur le plan matériel comme sur le plan moral, aucun autre système n'a jamais fait mieux. D'où vient alors l'illusion du déclin ? D'une force qui se prend pour une faiblesse.
Si l'Occident déçoit, plus qu'aucune autre civilisation, c'est qu'il fait de l'individu un absolu. Condamné à se sentir imparfait tant qu'un homme demeurera insatisfait, il se croit dépassé par des régimes alternatifs où l'humain compte pour rien. Et c'est là le moteur de son évolution autant que sa malédiction.
Si l'Occident déçoit, plus qu'aucune autre civilisation, c'est qu'il fait de l'individu un absolu. Condamné à se sentir imparfait tant qu'un homme demeurera insatisfait, il se croit dépassé par des régimes alternatifs où l'humain compte pour rien. Et c'est là le moteur de son évolution autant que sa malédiction.