La malédiction du Güegüense. Anatomie de la révolution sandiniste

Par : Hassan Moises
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  • Nombre de pages438
  • FormatePub
  • ISBN978-2-251-90226-5
  • EAN9782251902265
  • Date de parution14/10/2016
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLes Belles Lettres

Résumé

Inscrit au patrimoine immatériel de l'humanité, le Gu?egu?ense est une pièce de théâtre satirique écrite, en espagnol et en nahuatl, au XVe siècle. Elle est aussi un mythe, Le mythe, même, dont les Nicaraguayens s'enorgueillissent. C'est enfin une mystification et, pour l'auteur de cet ouvrage, une « malédiction ». Dans le personnage clé de la pièce - un individu odieux, avide, menteur et couard - l'auteur retrouve à son grand regret nombre de ses compatriotes.
Ce Gu?egu?ense qui fait le « guatus », un geste qui ressemble fort à une manifestation très actuelle d'insolence dévoyée, dès que le gouverneur espagnol qu'il a choisi d'escroquer a le dos tourné. Cet ouvrage est l'expression de l'immense déception de l'auteur - et d'une bonne partie de la population nicaraguayenne - devant le spectacle offert par les nouveaux gu?egu?enses qui, piétinant les espoirs mis dans la révolution qui renversa le régime du général Somoza le 19 juillet 1979, ont récupéré à leur seul profit un pays qui s'était donné à eux et, au passage, une bonne partie de l'aide copieuse que le monde entier, croyant avoir enfin trouvé là la fameuse « troisième voie du développement », s'empressa d'envoyer. Traduit de l'espagnol par Jean Iroulégi. Préface de Gilles Bataillon. Révolutionnaire de la première heure, Moisés Hassan est le fondateur du Movimiento de Unidad Revolucionaria (MUR).
Dans ces pages il met en scène l'histoire d'un échec annoncé par cette malédiction de la résurgence de l'esprit du Gu?egu?ense, qui pèse dans la classe politique nicaraguyenne : celui de la révolution sandiniste et des espoirs de démocratisation du pays.
Inscrit au patrimoine immatériel de l'humanité, le Gu?egu?ense est une pièce de théâtre satirique écrite, en espagnol et en nahuatl, au XVe siècle. Elle est aussi un mythe, Le mythe, même, dont les Nicaraguayens s'enorgueillissent. C'est enfin une mystification et, pour l'auteur de cet ouvrage, une « malédiction ». Dans le personnage clé de la pièce - un individu odieux, avide, menteur et couard - l'auteur retrouve à son grand regret nombre de ses compatriotes.
Ce Gu?egu?ense qui fait le « guatus », un geste qui ressemble fort à une manifestation très actuelle d'insolence dévoyée, dès que le gouverneur espagnol qu'il a choisi d'escroquer a le dos tourné. Cet ouvrage est l'expression de l'immense déception de l'auteur - et d'une bonne partie de la population nicaraguayenne - devant le spectacle offert par les nouveaux gu?egu?enses qui, piétinant les espoirs mis dans la révolution qui renversa le régime du général Somoza le 19 juillet 1979, ont récupéré à leur seul profit un pays qui s'était donné à eux et, au passage, une bonne partie de l'aide copieuse que le monde entier, croyant avoir enfin trouvé là la fameuse « troisième voie du développement », s'empressa d'envoyer. Traduit de l'espagnol par Jean Iroulégi. Préface de Gilles Bataillon. Révolutionnaire de la première heure, Moisés Hassan est le fondateur du Movimiento de Unidad Revolucionaria (MUR).
Dans ces pages il met en scène l'histoire d'un échec annoncé par cette malédiction de la résurgence de l'esprit du Gu?egu?ense, qui pèse dans la classe politique nicaraguyenne : celui de la révolution sandiniste et des espoirs de démocratisation du pays.