La maison absente
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- Nombre de pages148
- FormatePub
- ISBN2-307-21713-4
- EAN9782307217138
- Date de parution01/01/1992
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille358 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Noël...
Résumé
Gérard Khoury est Libanais. En bon historien, exploitant objectivement les sources, il s'efforce ailleurs, dans des articles ou des livres savants, d'expliquer aux gens d'ici comment s'est fait son pays et pourquoi il se défait. Mais lorsque l'anxiété le prend à la gorge, qu'il n'en peut plus d'amertume, il choisit l'écriture romanesque. Son roman, « La maison absente » est poignant. Pour la vérité crue qu'il dévoile, dans un langage contenu, d'une sensibilité et d'une intelligence blessées.
De la maison, lieu de mémoire, il ne demeure plus que des cendres. Les souvenirs vont-ils, eux aussi se perdre, les beaux souvenirs d'une belle enfance, tous les parfums, toutes les saveurs, et la mère, elle aussi, absente ? Reste le frère, imaginé. Car pour mieux dire ce qui déchire sa patrie perdue, et qui le déchire lui-même, Khoury met en scène un couple de frères affrontés. Idée heureuse, puisqu'elle renvoie à cette structure intime des sociétés méditerranéennes, que l'anthropologie nous découvre : la jalousie, l'inimitié natives entre frères, tous ces Caïn, tous ces Abel qui n'ont cessé de se disputer au cours des âges, ces terres apparemment heureuses, et dont l'hostilité n'est pas sans retentir dans les jeux de la grande politique.
De celle-ci, ce livre profond fait apparaître le contrepoint tragique.
De la maison, lieu de mémoire, il ne demeure plus que des cendres. Les souvenirs vont-ils, eux aussi se perdre, les beaux souvenirs d'une belle enfance, tous les parfums, toutes les saveurs, et la mère, elle aussi, absente ? Reste le frère, imaginé. Car pour mieux dire ce qui déchire sa patrie perdue, et qui le déchire lui-même, Khoury met en scène un couple de frères affrontés. Idée heureuse, puisqu'elle renvoie à cette structure intime des sociétés méditerranéennes, que l'anthropologie nous découvre : la jalousie, l'inimitié natives entre frères, tous ces Caïn, tous ces Abel qui n'ont cessé de se disputer au cours des âges, ces terres apparemment heureuses, et dont l'hostilité n'est pas sans retentir dans les jeux de la grande politique.
De celle-ci, ce livre profond fait apparaître le contrepoint tragique.
Gérard Khoury est Libanais. En bon historien, exploitant objectivement les sources, il s'efforce ailleurs, dans des articles ou des livres savants, d'expliquer aux gens d'ici comment s'est fait son pays et pourquoi il se défait. Mais lorsque l'anxiété le prend à la gorge, qu'il n'en peut plus d'amertume, il choisit l'écriture romanesque. Son roman, « La maison absente » est poignant. Pour la vérité crue qu'il dévoile, dans un langage contenu, d'une sensibilité et d'une intelligence blessées.
De la maison, lieu de mémoire, il ne demeure plus que des cendres. Les souvenirs vont-ils, eux aussi se perdre, les beaux souvenirs d'une belle enfance, tous les parfums, toutes les saveurs, et la mère, elle aussi, absente ? Reste le frère, imaginé. Car pour mieux dire ce qui déchire sa patrie perdue, et qui le déchire lui-même, Khoury met en scène un couple de frères affrontés. Idée heureuse, puisqu'elle renvoie à cette structure intime des sociétés méditerranéennes, que l'anthropologie nous découvre : la jalousie, l'inimitié natives entre frères, tous ces Caïn, tous ces Abel qui n'ont cessé de se disputer au cours des âges, ces terres apparemment heureuses, et dont l'hostilité n'est pas sans retentir dans les jeux de la grande politique.
De celle-ci, ce livre profond fait apparaître le contrepoint tragique.
De la maison, lieu de mémoire, il ne demeure plus que des cendres. Les souvenirs vont-ils, eux aussi se perdre, les beaux souvenirs d'une belle enfance, tous les parfums, toutes les saveurs, et la mère, elle aussi, absente ? Reste le frère, imaginé. Car pour mieux dire ce qui déchire sa patrie perdue, et qui le déchire lui-même, Khoury met en scène un couple de frères affrontés. Idée heureuse, puisqu'elle renvoie à cette structure intime des sociétés méditerranéennes, que l'anthropologie nous découvre : la jalousie, l'inimitié natives entre frères, tous ces Caïn, tous ces Abel qui n'ont cessé de se disputer au cours des âges, ces terres apparemment heureuses, et dont l'hostilité n'est pas sans retentir dans les jeux de la grande politique.
De celle-ci, ce livre profond fait apparaître le contrepoint tragique.