Né à La Chaux-de-Fonds (Suisse) le 1er septembre 1887, Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser parcourt le monde avant de s'installer à Paris. Mobilisé, il est grièvement blessé pendant l'offensive de Champagne. Reprenant sa vie errante, il se passionne pour le cinéma. Il continue à publier régulièrement jusqu'à sa mort à Paris le 21 janvier 1961.
Formats :
Disponible d'occasion :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format MP3 est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- FormatMP3
- ISBN978-2-07-228789-3
- EAN9782072287893
- Date de parution13/05/2015
- Protection num.pas de protection
- Taille284 Mo
- Infos supplémentairesaudio
- ÉditeurGallimard Audio
Résumé
La main coupée est un monument aux morts de la Grande Guerre, comme ceux sur lesquels on a inscrit, année par année, les noms des disparus, morts identifiés mais morts obscurs, sans gloire. Blaise Cendrars a prélevé dans sa mémoire les bribes de la vie et de la mort de ses compagnons de combat, des hommes ordinaires, tragiques ou cocasses, échappant à toute vision héroïque ou édifiante. Lorsqu'elle paraît en 1946, La main coupée est plus qu'un témoignage retardé, c'est une réparation.
Réparation parce qu'elle est un mémorial contre l'oubli, réparation aussi pour son auteur qui, dans cet ouvrage tardif, s'autorise enfin, librement, à parler longuement de la guerre, de sa guerre, comme il ne l'avait jamais fait, comme personne ne l'avait jamais fait. Jacques Bonnaffé s'approprie les mots de Blaise Cendrars pour restituer à ce récit sur la guerre de 14/18 toute sa force et sa vigueur.
Une lecture poignante et bouleversante au service d'un texte incontournable sur la Grande Guerre.
Réparation parce qu'elle est un mémorial contre l'oubli, réparation aussi pour son auteur qui, dans cet ouvrage tardif, s'autorise enfin, librement, à parler longuement de la guerre, de sa guerre, comme il ne l'avait jamais fait, comme personne ne l'avait jamais fait. Jacques Bonnaffé s'approprie les mots de Blaise Cendrars pour restituer à ce récit sur la guerre de 14/18 toute sa force et sa vigueur.
Une lecture poignante et bouleversante au service d'un texte incontournable sur la Grande Guerre.
La main coupée est un monument aux morts de la Grande Guerre, comme ceux sur lesquels on a inscrit, année par année, les noms des disparus, morts identifiés mais morts obscurs, sans gloire. Blaise Cendrars a prélevé dans sa mémoire les bribes de la vie et de la mort de ses compagnons de combat, des hommes ordinaires, tragiques ou cocasses, échappant à toute vision héroïque ou édifiante. Lorsqu'elle paraît en 1946, La main coupée est plus qu'un témoignage retardé, c'est une réparation.
Réparation parce qu'elle est un mémorial contre l'oubli, réparation aussi pour son auteur qui, dans cet ouvrage tardif, s'autorise enfin, librement, à parler longuement de la guerre, de sa guerre, comme il ne l'avait jamais fait, comme personne ne l'avait jamais fait. Jacques Bonnaffé s'approprie les mots de Blaise Cendrars pour restituer à ce récit sur la guerre de 14/18 toute sa force et sa vigueur.
Une lecture poignante et bouleversante au service d'un texte incontournable sur la Grande Guerre.
Réparation parce qu'elle est un mémorial contre l'oubli, réparation aussi pour son auteur qui, dans cet ouvrage tardif, s'autorise enfin, librement, à parler longuement de la guerre, de sa guerre, comme il ne l'avait jamais fait, comme personne ne l'avait jamais fait. Jacques Bonnaffé s'approprie les mots de Blaise Cendrars pour restituer à ce récit sur la guerre de 14/18 toute sa force et sa vigueur.
Une lecture poignante et bouleversante au service d'un texte incontournable sur la Grande Guerre.