La loi de fer de l'oligarchie. Pourquoi le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple est un leurre

Par : Dalmacio Negro Pavon
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  • Nombre de pages256
  • FormatePub
  • ISBN978-2-8100-0912-1
  • EAN9782810009121
  • Date de parution16/10/2019
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille665 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurL'artilleur

Résumé

Fin connaisseur de la pensée politique européenne, Dalmacio Negro Pavón nous convie à un parcours à travers l'histoire de la politique occidentale et nous livre la clé pour comprendre l'hostilité et la crainte de l'establishment européen devant la montée des mouvements populistes et des rébellions populaires du type « gilets jaunes ». À la lumière de l'histoire politique, que démontre-t-il ? Tout d'abord qu'il n'y a pas de communauté politique sans hiérarchie, pas de hiérarchie sans organisation, pas d'organisation sociale qui ne se concrétise sans la direction d'un petit nombre.
Le pouvoir retombe toujours entre les mains de la minorité dirigeante, et cela indépendamment de la forme politique. C'est ce que l'on appelle la « Loi de fer de l'oligarchie ». Ensuite, il démystifie la démocratie en tant que succédané ou superstition née des religions de la politique. Les démocraties tendent toujours à se convertir en oligarchies et plus la démocratie s'organise, plus elle tend à décliner et plus les possibilités de manipulation des masses grandissent.
La démocratie est une méthode, elle ne saurait être une fin, un idéal absolu, un impératif moral. Enfin, quand l'organisation ultime de la démocratie est devenue si complexe qu'elle ne sert plus qu'à éluder les responsabilités et à écraser l'opposition au nom du peuple, Pavón met en garde contre le retour de « l'incontrôlable ». Une leçon pour les temps présents. Ancien professeur d'histoire des idées politiques à l'Université Complutense de Madrid, professeur émérite de science politique à l'Université San Pablo de Madrid, membre de l'Académie royale des sciences morales et politiques, Dalmacio Negro Pavón est l'auteur d'une vingtaine de livres et de plusieurs centaines d'articles.
Fin connaisseur de la pensée politique européenne, Dalmacio Negro Pavón nous convie à un parcours à travers l'histoire de la politique occidentale et nous livre la clé pour comprendre l'hostilité et la crainte de l'establishment européen devant la montée des mouvements populistes et des rébellions populaires du type « gilets jaunes ». À la lumière de l'histoire politique, que démontre-t-il ? Tout d'abord qu'il n'y a pas de communauté politique sans hiérarchie, pas de hiérarchie sans organisation, pas d'organisation sociale qui ne se concrétise sans la direction d'un petit nombre.
Le pouvoir retombe toujours entre les mains de la minorité dirigeante, et cela indépendamment de la forme politique. C'est ce que l'on appelle la « Loi de fer de l'oligarchie ». Ensuite, il démystifie la démocratie en tant que succédané ou superstition née des religions de la politique. Les démocraties tendent toujours à se convertir en oligarchies et plus la démocratie s'organise, plus elle tend à décliner et plus les possibilités de manipulation des masses grandissent.
La démocratie est une méthode, elle ne saurait être une fin, un idéal absolu, un impératif moral. Enfin, quand l'organisation ultime de la démocratie est devenue si complexe qu'elle ne sert plus qu'à éluder les responsabilités et à écraser l'opposition au nom du peuple, Pavón met en garde contre le retour de « l'incontrôlable ». Une leçon pour les temps présents. Ancien professeur d'histoire des idées politiques à l'Université Complutense de Madrid, professeur émérite de science politique à l'Université San Pablo de Madrid, membre de l'Académie royale des sciences morales et politiques, Dalmacio Negro Pavón est l'auteur d'une vingtaine de livres et de plusieurs centaines d'articles.