La littérature française et francophone de 1945 à l'an 2000
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- Nombre de pages416
- FormatPDF
- ISBN2-296-31271-3
- EAN9782296312715
- Date de parution01/02/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Au terme du demi-siècle qui vient de s'achever, quel sens peut-on donner à l'évolution de la littérature française, mais aussi des nouvelles littératures francophones, dont l'émergence est un des faits notables de l'après-1945 ? On peut distinguer trois principaux moments, où changent la situation historique, les conceptions morales et intellectuelles et la physionomie des créations littéraires : un après-guerre existentialiste, partagé entre engagement et esprit de soupçon, les golden sixties et le début des années 70 où règnent le structuralisme et l'esprit contestataire, une fin de siècle, revenue de tout, qui se qualifie elle-même de " postmoderne ".
Trois moments apparemment bien différents, marqués d'abord par le sens du tragique et de l'absurde, puis par une ivresse moderniste et utopique, enfin par une morosité crépusculaire et un éclectisme ludique. Malgré ces mutations et ces contrastes, il semble pourtant que l'histoire du demi-siècle soit celle, continue, de la fin d'un cycle entamé par les Lumières et le romantisme, celui du modernisme.
Progressivement les trois absolus de substitution proposés après " la mort de Dieu " (l'Homme, l'Histoire, la Littérature) perdent leur crédit, laissant une impression de vide ou même de " désastre " et entretenant une nostalgie ambiguë pour les formes du passé.
Trois moments apparemment bien différents, marqués d'abord par le sens du tragique et de l'absurde, puis par une ivresse moderniste et utopique, enfin par une morosité crépusculaire et un éclectisme ludique. Malgré ces mutations et ces contrastes, il semble pourtant que l'histoire du demi-siècle soit celle, continue, de la fin d'un cycle entamé par les Lumières et le romantisme, celui du modernisme.
Progressivement les trois absolus de substitution proposés après " la mort de Dieu " (l'Homme, l'Histoire, la Littérature) perdent leur crédit, laissant une impression de vide ou même de " désastre " et entretenant une nostalgie ambiguë pour les formes du passé.
Au terme du demi-siècle qui vient de s'achever, quel sens peut-on donner à l'évolution de la littérature française, mais aussi des nouvelles littératures francophones, dont l'émergence est un des faits notables de l'après-1945 ? On peut distinguer trois principaux moments, où changent la situation historique, les conceptions morales et intellectuelles et la physionomie des créations littéraires : un après-guerre existentialiste, partagé entre engagement et esprit de soupçon, les golden sixties et le début des années 70 où règnent le structuralisme et l'esprit contestataire, une fin de siècle, revenue de tout, qui se qualifie elle-même de " postmoderne ".
Trois moments apparemment bien différents, marqués d'abord par le sens du tragique et de l'absurde, puis par une ivresse moderniste et utopique, enfin par une morosité crépusculaire et un éclectisme ludique. Malgré ces mutations et ces contrastes, il semble pourtant que l'histoire du demi-siècle soit celle, continue, de la fin d'un cycle entamé par les Lumières et le romantisme, celui du modernisme.
Progressivement les trois absolus de substitution proposés après " la mort de Dieu " (l'Homme, l'Histoire, la Littérature) perdent leur crédit, laissant une impression de vide ou même de " désastre " et entretenant une nostalgie ambiguë pour les formes du passé.
Trois moments apparemment bien différents, marqués d'abord par le sens du tragique et de l'absurde, puis par une ivresse moderniste et utopique, enfin par une morosité crépusculaire et un éclectisme ludique. Malgré ces mutations et ces contrastes, il semble pourtant que l'histoire du demi-siècle soit celle, continue, de la fin d'un cycle entamé par les Lumières et le romantisme, celui du modernisme.
Progressivement les trois absolus de substitution proposés après " la mort de Dieu " (l'Homme, l'Histoire, la Littérature) perdent leur crédit, laissant une impression de vide ou même de " désastre " et entretenant une nostalgie ambiguë pour les formes du passé.