La Libre pensée en France, 1848-1940
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- Nombre de pages640
- FormatePub
- ISBN2-226-29734-0
- EAN9782226297341
- Date de parution21/05/2013
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurAlbin Michel
Résumé
Caricaturée, la libre pensée pouvait-elle devenir un objet historique ? Était-il possible de dégager les réels enjeux politiques de son histoire, longue d'un siècle ? Jacqueline Lalouette, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Paris XIII, a comblé un vide historiographique en étudiant l'une des composantes, et non la moins active, de cet esprit républicain qui est aujourd'hui un objet d'histoire reconnu.
Apparues en 1848, les sociétés de libre pensée trouveront leur âge d'or sous la IIIe République et exerceront une grande influence politique. Les libres penseurs, liés à la franc-maçonnerie et aux courants de gauche et d'extrême gauche, partisans du progrès, ont combattu les religions révélées, milité pour la laïcisation de (espace public, de la conscience et de la vie privée de leurs concitoyens, au point d'inventer de nouveaux rituels et une nouvelle sacralité.
Les libres penseurs n'ont pas été ces "bouffeurs de curé" souvent stigmatisés. La laïcité fut pour eux la condition requise pour une véritable "révolution culturelle", voire sociale. Leur désir utopique de bâtir une nouvelle "cité terrestre" mérite d'être examiné au-delà des outrances et des écarts de langage qui ont parfois accompagné leur discours.
Apparues en 1848, les sociétés de libre pensée trouveront leur âge d'or sous la IIIe République et exerceront une grande influence politique. Les libres penseurs, liés à la franc-maçonnerie et aux courants de gauche et d'extrême gauche, partisans du progrès, ont combattu les religions révélées, milité pour la laïcisation de (espace public, de la conscience et de la vie privée de leurs concitoyens, au point d'inventer de nouveaux rituels et une nouvelle sacralité.
Les libres penseurs n'ont pas été ces "bouffeurs de curé" souvent stigmatisés. La laïcité fut pour eux la condition requise pour une véritable "révolution culturelle", voire sociale. Leur désir utopique de bâtir une nouvelle "cité terrestre" mérite d'être examiné au-delà des outrances et des écarts de langage qui ont parfois accompagné leur discours.
Caricaturée, la libre pensée pouvait-elle devenir un objet historique ? Était-il possible de dégager les réels enjeux politiques de son histoire, longue d'un siècle ? Jacqueline Lalouette, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Paris XIII, a comblé un vide historiographique en étudiant l'une des composantes, et non la moins active, de cet esprit républicain qui est aujourd'hui un objet d'histoire reconnu.
Apparues en 1848, les sociétés de libre pensée trouveront leur âge d'or sous la IIIe République et exerceront une grande influence politique. Les libres penseurs, liés à la franc-maçonnerie et aux courants de gauche et d'extrême gauche, partisans du progrès, ont combattu les religions révélées, milité pour la laïcisation de (espace public, de la conscience et de la vie privée de leurs concitoyens, au point d'inventer de nouveaux rituels et une nouvelle sacralité.
Les libres penseurs n'ont pas été ces "bouffeurs de curé" souvent stigmatisés. La laïcité fut pour eux la condition requise pour une véritable "révolution culturelle", voire sociale. Leur désir utopique de bâtir une nouvelle "cité terrestre" mérite d'être examiné au-delà des outrances et des écarts de langage qui ont parfois accompagné leur discours.
Apparues en 1848, les sociétés de libre pensée trouveront leur âge d'or sous la IIIe République et exerceront une grande influence politique. Les libres penseurs, liés à la franc-maçonnerie et aux courants de gauche et d'extrême gauche, partisans du progrès, ont combattu les religions révélées, milité pour la laïcisation de (espace public, de la conscience et de la vie privée de leurs concitoyens, au point d'inventer de nouveaux rituels et une nouvelle sacralité.
Les libres penseurs n'ont pas été ces "bouffeurs de curé" souvent stigmatisés. La laïcité fut pour eux la condition requise pour une véritable "révolution culturelle", voire sociale. Leur désir utopique de bâtir une nouvelle "cité terrestre" mérite d'être examiné au-delà des outrances et des écarts de langage qui ont parfois accompagné leur discours.