La lettre de Jean - Jacques Rousseau à Christophe de Beaumont. Étude stylistique

Par : Marie-Hélène Cotoni, Michel Launay

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  • Nombre de pages264
  • FormatPDF
  • ISBN2-307-52754-0
  • EAN9782307527541
  • Date de parution01/01/1977
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille80 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (C.E....

Résumé

« La Lettre à Christophe me donne la pépie, je ne dormirai point que je n'aie vu la Lettre à Christophe. Pouvez-vous me faire avoir la Lettre à Christophe ? Où trouve-t-on la Lettre à Christophe ? » Voltaire « De quel droit serait-il permis à un imbécile constitué en dignité d'outrager un homme d'esprit qui n'est rien sans qu'il soit permis à celui-ci de lui répondre sur le même ton ? » D'Alembert. Jean-Jacques Rousseau, homme du peuple et écrivain, s'adresse à un archevêque qui veut l'écraser sous le poids de ses titres, décorations et dogmes.
Marie-Hélène Cotoni montre qu'une étude stylistique de cette Lettre à Beaumont n'est pas un moyen d'atténuer ou de récupérer la virulence d'une écriture libre : guetter des mots, découvrir des images, surprendre un rythme familier, un silence, c'est être attentif à l'empreinte unique tracée par un être, à la marque singulière laissée par un écrivain. Dans la vigoureuse expression des convictions religieuses, pédagogiques et politiques que Rousseau affirme, face aux idées reçues, par sa Lettre à Christophe de Beaumont, on perçoit la réponse d'un comportement personnel devant les questions que se pose encore tout « lecteur de bonne foi ».
« La Lettre à Christophe me donne la pépie, je ne dormirai point que je n'aie vu la Lettre à Christophe. Pouvez-vous me faire avoir la Lettre à Christophe ? Où trouve-t-on la Lettre à Christophe ? » Voltaire « De quel droit serait-il permis à un imbécile constitué en dignité d'outrager un homme d'esprit qui n'est rien sans qu'il soit permis à celui-ci de lui répondre sur le même ton ? » D'Alembert. Jean-Jacques Rousseau, homme du peuple et écrivain, s'adresse à un archevêque qui veut l'écraser sous le poids de ses titres, décorations et dogmes.
Marie-Hélène Cotoni montre qu'une étude stylistique de cette Lettre à Beaumont n'est pas un moyen d'atténuer ou de récupérer la virulence d'une écriture libre : guetter des mots, découvrir des images, surprendre un rythme familier, un silence, c'est être attentif à l'empreinte unique tracée par un être, à la marque singulière laissée par un écrivain. Dans la vigoureuse expression des convictions religieuses, pédagogiques et politiques que Rousseau affirme, face aux idées reçues, par sa Lettre à Christophe de Beaumont, on perçoit la réponse d'un comportement personnel devant les questions que se pose encore tout « lecteur de bonne foi ».