La Légende des Soleils. Mythes aztèques des origines
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages108
- FormatePub
- ISBN979-10-279-0133-3
- EAN9791027901333
- Date de parution04/12/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions Anacharsis
Résumé
Le mythe des origines du monde selon les Aztèques, issu du texte nahuatl (la langue des Aztèques) La Légende des Soleils, et du manuscrit de L'Histoire du Mexique, saisit par des corsaires français sur un galion espagnol avant de se retrouver chez le cosmographe d'Henri III. Les Aztèques adoraient le soleil. Non seulement ce lieu commun est littéralement idiot, mais surtout il permet de faire l'économie d'aller véritablement à la rencontre des récits fondateurs des anciens Mexicains.
Les clichés suffisent généralement à se faire une opinion, et il est rarissime que l'on se risque à aller plus loin. Les deux textes présentés ici tentent l'aventure. Tous deux donnent à entendre la voix des Aztèques telle qu'elle a été sauvegardée, percellaire mais bien vivante, au moment même de la Conquête. Ils sont les témoins d'une parole, d'une pensée, d'une idéologie complexe et colorée, toutes emplies du sentiment poignant de la précarité de toute vie, écrasée par le poids du temps : les quatre premiers Soleils ont été anéantis, et le cinquième âge est lui aussi condamné.
Ces récits, nimbés d'une poésie hallucinée, dévoilent un univers imaginaire fantastique né d'une expérience singulière de la vie.
Les clichés suffisent généralement à se faire une opinion, et il est rarissime que l'on se risque à aller plus loin. Les deux textes présentés ici tentent l'aventure. Tous deux donnent à entendre la voix des Aztèques telle qu'elle a été sauvegardée, percellaire mais bien vivante, au moment même de la Conquête. Ils sont les témoins d'une parole, d'une pensée, d'une idéologie complexe et colorée, toutes emplies du sentiment poignant de la précarité de toute vie, écrasée par le poids du temps : les quatre premiers Soleils ont été anéantis, et le cinquième âge est lui aussi condamné.
Ces récits, nimbés d'une poésie hallucinée, dévoilent un univers imaginaire fantastique né d'une expérience singulière de la vie.
Le mythe des origines du monde selon les Aztèques, issu du texte nahuatl (la langue des Aztèques) La Légende des Soleils, et du manuscrit de L'Histoire du Mexique, saisit par des corsaires français sur un galion espagnol avant de se retrouver chez le cosmographe d'Henri III. Les Aztèques adoraient le soleil. Non seulement ce lieu commun est littéralement idiot, mais surtout il permet de faire l'économie d'aller véritablement à la rencontre des récits fondateurs des anciens Mexicains.
Les clichés suffisent généralement à se faire une opinion, et il est rarissime que l'on se risque à aller plus loin. Les deux textes présentés ici tentent l'aventure. Tous deux donnent à entendre la voix des Aztèques telle qu'elle a été sauvegardée, percellaire mais bien vivante, au moment même de la Conquête. Ils sont les témoins d'une parole, d'une pensée, d'une idéologie complexe et colorée, toutes emplies du sentiment poignant de la précarité de toute vie, écrasée par le poids du temps : les quatre premiers Soleils ont été anéantis, et le cinquième âge est lui aussi condamné.
Ces récits, nimbés d'une poésie hallucinée, dévoilent un univers imaginaire fantastique né d'une expérience singulière de la vie.
Les clichés suffisent généralement à se faire une opinion, et il est rarissime que l'on se risque à aller plus loin. Les deux textes présentés ici tentent l'aventure. Tous deux donnent à entendre la voix des Aztèques telle qu'elle a été sauvegardée, percellaire mais bien vivante, au moment même de la Conquête. Ils sont les témoins d'une parole, d'une pensée, d'une idéologie complexe et colorée, toutes emplies du sentiment poignant de la précarité de toute vie, écrasée par le poids du temps : les quatre premiers Soleils ont été anéantis, et le cinquième âge est lui aussi condamné.
Ces récits, nimbés d'une poésie hallucinée, dévoilent un univers imaginaire fantastique né d'une expérience singulière de la vie.