La Laurentie en fleur
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- Nombre de pages232
- FormatePub
- ISBN978-2-7646-4751-6
- EAN9782764647516
- Date de parution07/11/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille25 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions du Boréal
Résumé
Textes inédits choisis et présentés par Yves Gingras et le frère Gilles Beaudet.
Avec des illustrations originales de la Flore laurentienne.
S'exprimant à l'automne 1938 devant les membres du Réveil rural, le frère Marie-Victorin affirmait : « La Laurentie en fleur ! C'est le titre d'un grand livre que je voudrais écrire pour l'offrir comme un bréviaire charmant à tous ceux qui ont le bonheur de vivre près de la terre, de vivre dans sa lumière, d'entendre à chaque heure sa voix de douceur et de vérité.
» Après avoir publié en 1935 l'ouvre de sa vie, la Flore laurentienne, le fondateur du Jardin botanique de Montréal n'a pas eu le temps de réaliser ce projet d'un livre qui, disait-il, « serait un guide aimable à travers le Jardin Enchanté de la Laurentie, car notre grand pays est un jardin, un peu sévère d'aspect peut-être, mais haut en couleur, et animé par la magie de l'eau qui coule et de l'eau qui s'endort sous le miroir des lacs ».
C'est un tel ouvrage que nous proposons aujourd'hui au lecteur. Nous avons recueilli ici les nombreux textes que Marie-Victorin a semés dans diverses revues et divers journaux québécois entre 1913 et 1944, que viennent compléter les extraits de la Flore laurentienne qui portent sur les usages des plantes et sur leur inscription dans la culture. Dans la Flore laurentienne, il affirmait que l'illustration d'une flore « demande, de la part de celui qui entreprend de l'exécuter, une grande puissance de travail, une science étendue de la botanique, un goût affiné et sûr, et une forte connaissance de la technique de l'illustration scientifique ».
Ces « diverses exigences se sont trouvées heureusement réunies » en la personne de « son confrère et ami », le frère Alexandre Blouin (1892-1987), « distingué professeur de biologie du Mont-Saint-Louis ». Nous avons donc choisi d'accompagner les textes par un choix des dessins originaux du frère Alexandre, conservés dans les archives des Frères des écoles chrétiennes.
» Après avoir publié en 1935 l'ouvre de sa vie, la Flore laurentienne, le fondateur du Jardin botanique de Montréal n'a pas eu le temps de réaliser ce projet d'un livre qui, disait-il, « serait un guide aimable à travers le Jardin Enchanté de la Laurentie, car notre grand pays est un jardin, un peu sévère d'aspect peut-être, mais haut en couleur, et animé par la magie de l'eau qui coule et de l'eau qui s'endort sous le miroir des lacs ».
C'est un tel ouvrage que nous proposons aujourd'hui au lecteur. Nous avons recueilli ici les nombreux textes que Marie-Victorin a semés dans diverses revues et divers journaux québécois entre 1913 et 1944, que viennent compléter les extraits de la Flore laurentienne qui portent sur les usages des plantes et sur leur inscription dans la culture. Dans la Flore laurentienne, il affirmait que l'illustration d'une flore « demande, de la part de celui qui entreprend de l'exécuter, une grande puissance de travail, une science étendue de la botanique, un goût affiné et sûr, et une forte connaissance de la technique de l'illustration scientifique ».
Ces « diverses exigences se sont trouvées heureusement réunies » en la personne de « son confrère et ami », le frère Alexandre Blouin (1892-1987), « distingué professeur de biologie du Mont-Saint-Louis ». Nous avons donc choisi d'accompagner les textes par un choix des dessins originaux du frère Alexandre, conservés dans les archives des Frères des écoles chrétiennes.
Textes inédits choisis et présentés par Yves Gingras et le frère Gilles Beaudet.
Avec des illustrations originales de la Flore laurentienne.
S'exprimant à l'automne 1938 devant les membres du Réveil rural, le frère Marie-Victorin affirmait : « La Laurentie en fleur ! C'est le titre d'un grand livre que je voudrais écrire pour l'offrir comme un bréviaire charmant à tous ceux qui ont le bonheur de vivre près de la terre, de vivre dans sa lumière, d'entendre à chaque heure sa voix de douceur et de vérité.
» Après avoir publié en 1935 l'ouvre de sa vie, la Flore laurentienne, le fondateur du Jardin botanique de Montréal n'a pas eu le temps de réaliser ce projet d'un livre qui, disait-il, « serait un guide aimable à travers le Jardin Enchanté de la Laurentie, car notre grand pays est un jardin, un peu sévère d'aspect peut-être, mais haut en couleur, et animé par la magie de l'eau qui coule et de l'eau qui s'endort sous le miroir des lacs ».
C'est un tel ouvrage que nous proposons aujourd'hui au lecteur. Nous avons recueilli ici les nombreux textes que Marie-Victorin a semés dans diverses revues et divers journaux québécois entre 1913 et 1944, que viennent compléter les extraits de la Flore laurentienne qui portent sur les usages des plantes et sur leur inscription dans la culture. Dans la Flore laurentienne, il affirmait que l'illustration d'une flore « demande, de la part de celui qui entreprend de l'exécuter, une grande puissance de travail, une science étendue de la botanique, un goût affiné et sûr, et une forte connaissance de la technique de l'illustration scientifique ».
Ces « diverses exigences se sont trouvées heureusement réunies » en la personne de « son confrère et ami », le frère Alexandre Blouin (1892-1987), « distingué professeur de biologie du Mont-Saint-Louis ». Nous avons donc choisi d'accompagner les textes par un choix des dessins originaux du frère Alexandre, conservés dans les archives des Frères des écoles chrétiennes.
» Après avoir publié en 1935 l'ouvre de sa vie, la Flore laurentienne, le fondateur du Jardin botanique de Montréal n'a pas eu le temps de réaliser ce projet d'un livre qui, disait-il, « serait un guide aimable à travers le Jardin Enchanté de la Laurentie, car notre grand pays est un jardin, un peu sévère d'aspect peut-être, mais haut en couleur, et animé par la magie de l'eau qui coule et de l'eau qui s'endort sous le miroir des lacs ».
C'est un tel ouvrage que nous proposons aujourd'hui au lecteur. Nous avons recueilli ici les nombreux textes que Marie-Victorin a semés dans diverses revues et divers journaux québécois entre 1913 et 1944, que viennent compléter les extraits de la Flore laurentienne qui portent sur les usages des plantes et sur leur inscription dans la culture. Dans la Flore laurentienne, il affirmait que l'illustration d'une flore « demande, de la part de celui qui entreprend de l'exécuter, une grande puissance de travail, une science étendue de la botanique, un goût affiné et sûr, et une forte connaissance de la technique de l'illustration scientifique ».
Ces « diverses exigences se sont trouvées heureusement réunies » en la personne de « son confrère et ami », le frère Alexandre Blouin (1892-1987), « distingué professeur de biologie du Mont-Saint-Louis ». Nous avons donc choisi d'accompagner les textes par un choix des dessins originaux du frère Alexandre, conservés dans les archives des Frères des écoles chrétiennes.
