La Haute - Auvergne au bon vieux temps (4). Quand cheminait le colporteur. En Auvergne, 1840 - 1918
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- Nombre de pages198
- FormatePub
- ISBN2-307-22173-5
- EAN9782307221739
- Date de parution01/01/1990
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Gerb...
Résumé
Servie par un don d'observation exceptionnel et par une mémoire sans défaut, Renée Langloys, dans ses ouvrages précédents, a brossé - de l'Auvergne d'hier - une vaste fresque, dont on admire l'originalité et la couleur. L'ouvrage d'aujourd'hui nous introduit dans une catégorie sociale mal connue : celles des hardis négociants du siècle dernier qui, derrière leurs comptoirs d'une maison de gros, ou sous la charge hétéroclite du colporteur, servis par les maigres moyens de l'époque, ravitaillaient l'Auvergne et, tout particulièrement, les planèzes autour de Saint-Flour, cette capitale toujours vivante.
Bourgeois de ville et paysans de terroir, penchés sur un travail exigeant, à pied, à cheval, ou grâce aux voies ferrées, qui s'insinuaient peu à peu dans nos montagnes, préparaient - par leur labeur - notre civilisation de l'abondance, de la voiture et des loisirs.
Bourgeois de ville et paysans de terroir, penchés sur un travail exigeant, à pied, à cheval, ou grâce aux voies ferrées, qui s'insinuaient peu à peu dans nos montagnes, préparaient - par leur labeur - notre civilisation de l'abondance, de la voiture et des loisirs.
Servie par un don d'observation exceptionnel et par une mémoire sans défaut, Renée Langloys, dans ses ouvrages précédents, a brossé - de l'Auvergne d'hier - une vaste fresque, dont on admire l'originalité et la couleur. L'ouvrage d'aujourd'hui nous introduit dans une catégorie sociale mal connue : celles des hardis négociants du siècle dernier qui, derrière leurs comptoirs d'une maison de gros, ou sous la charge hétéroclite du colporteur, servis par les maigres moyens de l'époque, ravitaillaient l'Auvergne et, tout particulièrement, les planèzes autour de Saint-Flour, cette capitale toujours vivante.
Bourgeois de ville et paysans de terroir, penchés sur un travail exigeant, à pied, à cheval, ou grâce aux voies ferrées, qui s'insinuaient peu à peu dans nos montagnes, préparaient - par leur labeur - notre civilisation de l'abondance, de la voiture et des loisirs.
Bourgeois de ville et paysans de terroir, penchés sur un travail exigeant, à pied, à cheval, ou grâce aux voies ferrées, qui s'insinuaient peu à peu dans nos montagnes, préparaient - par leur labeur - notre civilisation de l'abondance, de la voiture et des loisirs.







