La guerre n'est pas pour demain. La leçon de Corée
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- Nombre de pages288
- FormatePub
- ISBN2-260-04714-9
- EAN9782260047148
- Date de parution01/01/1952
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille65 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurJulliard (réédition numérique Fe...
Résumé
L'Europe peut sauver la paix, à condition qu'elle le veuille. Telle est la thèse réconfortante soutenue par l'auteur et qu'il appuie sur l'expérience de la guerre de Corée. Point par point, épisode par épisode, E. N. Dzélépy analyse historiquement le déroulement des événements que nous venons de vivre et il met lumineusement en évidence des vérités que la propagande avait presque toujours masquées.
Si ce conflit a été « localisé », s'il n'a pas dégénéré en guerre mondiale, si Truman a refusé de suivre la politique du Général Mac Arthur et l'a relevé de son commandement, c'est beaucoup parce que les « alliés européens » ont montré qu'ils n'étaient pas d'accord - et ceci dans un secteur pourtant considéré comme chasse gardée des État-Unis : le Pacifique. Ainsi l'action européenne, l'action des gouvernements de France et de Grande-Bretagne, joue un rôle déterminant dans l'orientation de la politique américaine.
Il faut heureusement abandonner la notion que nous sommes « à la remorque ». Et c'est en pleine connaissance de cause qu'il nous est permis de tenter de sauvegarder la paix.
Si ce conflit a été « localisé », s'il n'a pas dégénéré en guerre mondiale, si Truman a refusé de suivre la politique du Général Mac Arthur et l'a relevé de son commandement, c'est beaucoup parce que les « alliés européens » ont montré qu'ils n'étaient pas d'accord - et ceci dans un secteur pourtant considéré comme chasse gardée des État-Unis : le Pacifique. Ainsi l'action européenne, l'action des gouvernements de France et de Grande-Bretagne, joue un rôle déterminant dans l'orientation de la politique américaine.
Il faut heureusement abandonner la notion que nous sommes « à la remorque ». Et c'est en pleine connaissance de cause qu'il nous est permis de tenter de sauvegarder la paix.
L'Europe peut sauver la paix, à condition qu'elle le veuille. Telle est la thèse réconfortante soutenue par l'auteur et qu'il appuie sur l'expérience de la guerre de Corée. Point par point, épisode par épisode, E. N. Dzélépy analyse historiquement le déroulement des événements que nous venons de vivre et il met lumineusement en évidence des vérités que la propagande avait presque toujours masquées.
Si ce conflit a été « localisé », s'il n'a pas dégénéré en guerre mondiale, si Truman a refusé de suivre la politique du Général Mac Arthur et l'a relevé de son commandement, c'est beaucoup parce que les « alliés européens » ont montré qu'ils n'étaient pas d'accord - et ceci dans un secteur pourtant considéré comme chasse gardée des État-Unis : le Pacifique. Ainsi l'action européenne, l'action des gouvernements de France et de Grande-Bretagne, joue un rôle déterminant dans l'orientation de la politique américaine.
Il faut heureusement abandonner la notion que nous sommes « à la remorque ». Et c'est en pleine connaissance de cause qu'il nous est permis de tenter de sauvegarder la paix.
Si ce conflit a été « localisé », s'il n'a pas dégénéré en guerre mondiale, si Truman a refusé de suivre la politique du Général Mac Arthur et l'a relevé de son commandement, c'est beaucoup parce que les « alliés européens » ont montré qu'ils n'étaient pas d'accord - et ceci dans un secteur pourtant considéré comme chasse gardée des État-Unis : le Pacifique. Ainsi l'action européenne, l'action des gouvernements de France et de Grande-Bretagne, joue un rôle déterminant dans l'orientation de la politique américaine.
Il faut heureusement abandonner la notion que nous sommes « à la remorque ». Et c'est en pleine connaissance de cause qu'il nous est permis de tenter de sauvegarder la paix.
A propos de Eleuthère-Nicolas Dzélépy
L'alliance des fascismes
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