La guerre de Syrie, juin-juillet 1941

Par : Jacques Le Corbeiller, René Wittmann, Paul Auphan

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  • Nombre de pages249
  • FormatePub
  • ISBN2-307-09150-5
  • EAN9782307091509
  • Date de parution01/01/1967
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeniXX réédition numérique (Édit...

Résumé

L'histoire est la matrice de la conscience. Pour ceux qui aiment leur pays et qui voient - tous les jours - leurs compatriotes victimes, dans leurs jugements, des mensonges qu'on leur a enseignés, il n'y a pas de besogne plus utile à accomplir, que de rétablir - ou de rappeler périodiquement - la vérité. C'est dans cet esprit, que je salue le livre que le général le Corbeiller consacre à la guerre de Syrie.
Les faits qu'il a notés, les manières de penser qu'il a saisies sur le vif, les témoignages qu'il a recueillis ont, pour l'histoire, une valeur irrécusable. Il fait revivre à nos yeux le calvaire des valeureux combattants qui, loin de la métropole, isolés de tout, comprenant mal la politique qui se jouait au sommet, ont défendu le sol qui leur était confié, par devoir, même contre leur cour, par amour de leur patrie meurtrie, par fidélité aux valeurs naturelles fondamentales qui, comme la discipline, ne font pas seulement la force des armées, mais l'unité d'un pays...
Celui qui a le plus souffert dans son cour de chef, au moment même et plus tard, avec les fers aux pieds des condamnés à mort pendant deux cent cinq jours, est le général Dentz. Tous les Français attachés aux traditions d'honneur et de discipline de l'armée sauront gré à l'auteur de ce livre d'avoir fait revivre cette « noble figure de soldat dans la haute acception du terme », comme a écrit de lui le général Weygand.
Nous sommes tellement habitués aujourd'hui au spectacle de généraux mis en prison, ou portés au pinacle pour avoir obéi ou désobéi à temps ou à contretemps, que nous n'imaginons plus ce qu'était, ce que doit être, la vertu de discipline, intelligente et loyale, au niveau des chefs. Quand le pays aura retrouvé son équilibre moral en se débarrassant des mensonges « qui lui ont fait tant de mal », et des faux jugements qui l'intoxiquent, l'exemple de Dentz et de ses soldats sera donné en modèle.
L'histoire est la matrice de la conscience. Pour ceux qui aiment leur pays et qui voient - tous les jours - leurs compatriotes victimes, dans leurs jugements, des mensonges qu'on leur a enseignés, il n'y a pas de besogne plus utile à accomplir, que de rétablir - ou de rappeler périodiquement - la vérité. C'est dans cet esprit, que je salue le livre que le général le Corbeiller consacre à la guerre de Syrie.
Les faits qu'il a notés, les manières de penser qu'il a saisies sur le vif, les témoignages qu'il a recueillis ont, pour l'histoire, une valeur irrécusable. Il fait revivre à nos yeux le calvaire des valeureux combattants qui, loin de la métropole, isolés de tout, comprenant mal la politique qui se jouait au sommet, ont défendu le sol qui leur était confié, par devoir, même contre leur cour, par amour de leur patrie meurtrie, par fidélité aux valeurs naturelles fondamentales qui, comme la discipline, ne font pas seulement la force des armées, mais l'unité d'un pays...
Celui qui a le plus souffert dans son cour de chef, au moment même et plus tard, avec les fers aux pieds des condamnés à mort pendant deux cent cinq jours, est le général Dentz. Tous les Français attachés aux traditions d'honneur et de discipline de l'armée sauront gré à l'auteur de ce livre d'avoir fait revivre cette « noble figure de soldat dans la haute acception du terme », comme a écrit de lui le général Weygand.
Nous sommes tellement habitués aujourd'hui au spectacle de généraux mis en prison, ou portés au pinacle pour avoir obéi ou désobéi à temps ou à contretemps, que nous n'imaginons plus ce qu'était, ce que doit être, la vertu de discipline, intelligente et loyale, au niveau des chefs. Quand le pays aura retrouvé son équilibre moral en se débarrassant des mensonges « qui lui ont fait tant de mal », et des faux jugements qui l'intoxiquent, l'exemple de Dentz et de ses soldats sera donné en modèle.