La guerre de 1812. journal de jacques viger
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages157
- FormatPDF
- ISBN978-2-7637-9825-7
- EAN9782763798257
- Date de parution04/04/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille12 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPUL Diffusion
Résumé
1812-1814 : une guerre fondatrice pour le Canada? C'est ce qu'avance en 2012 le gouvernement fédéral dans ses commémorations du bicentenaire. Mais qu'en fut-il vraiment pour les Voltigeurs canadiens qui, sous les ordres de Charles-Michel d'Irumberry de Salaberry, repoussèrent l'invasion américaine? Un témoignage direct et souvent critique sur cette guerre nous permet de revivre l'évènement au jour le jour et de mieux comprendre la mentalité des Canadiens engagés dans la bataille.
Le journal de campagne et la correspondance que nous proposons ici sont le fait d'un jeune capitaine des Voltigeurs : Jacques Viger.
À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d'un important réseau familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu'il adresse à son épouse, Marguerite de La Corne-lennox, font les délices du salon littéraire qu'elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.
À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d'un important réseau familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu'il adresse à son épouse, Marguerite de La Corne-lennox, font les délices du salon littéraire qu'elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.
1812-1814 : une guerre fondatrice pour le Canada? C'est ce qu'avance en 2012 le gouvernement fédéral dans ses commémorations du bicentenaire. Mais qu'en fut-il vraiment pour les Voltigeurs canadiens qui, sous les ordres de Charles-Michel d'Irumberry de Salaberry, repoussèrent l'invasion américaine? Un témoignage direct et souvent critique sur cette guerre nous permet de revivre l'évènement au jour le jour et de mieux comprendre la mentalité des Canadiens engagés dans la bataille.
Le journal de campagne et la correspondance que nous proposons ici sont le fait d'un jeune capitaine des Voltigeurs : Jacques Viger.
À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d'un important réseau familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu'il adresse à son épouse, Marguerite de La Corne-lennox, font les délices du salon littéraire qu'elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.
À vingt-six ans, celui qui deviendra le premier maire de Montréal a déjà collaboré au journal Le Canadien. Bien avant de présider la Société Saint-Jean-Baptiste, Jacques Viger figure au centre d'un important réseau familial, culturel et politique au Bas-Canada. Les lettres qu'il adresse à son épouse, Marguerite de La Corne-lennox, font les délices du salon littéraire qu'elle anime à Montréal. Les Viger y côtoient les Cherrier, les Lartigue et les Papineau, dont Louis-Joseph, futur chef du parti Patriote.