Grand prix de l'imaginaire - Roman francophone

La grâce et le venin

Par : Michel Jeury
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  • Nombre de pages312
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-11990-7
  • EAN9782221119907
  • Date de parution30/09/2010
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Le missel, c’était tout ce que la mère d’Aline avait laisser en héritage à sa fille , et les pauvres secrets de la Segonde, tout ce que la vieille guérriseuse, qui l’avait recueillie, pouvait transmettre à l’enfant avec le don. Ôter le feu, tirer les échardes, soulager toutes sortes de misères, chasser des champs les rats et les limaces, ce pouvoir mystérieux, cette petite fille de douze le possédait et l’exerçait déjà, avec l’aide des saints du paradis, quand elle se retrouva seule dans la vie.
C’était vers 1850, en Limousin, dans des temps si anciens qu’on en a perdu le souvenir, dans un monde si pauvre et si terrible qu’on se serait crû au Moyen-Âge.Soixante-quinze ans plus tard, vers 1925, Aline Colin, connue sous le nom de veuve Colin, décide de raconter sa vie ? un vrai roman, dit-elle ? au notaire de son village. Quelle vie ! Et quel roman, en effet ! Que de passions, que de déchirements et de drames (jusqu’au crime), que de personnages hors du commun, frustes, violent ou lumineux animent ces pages ! Jusqu’à ,la tragédie finale.
Grâce à Dieu, Aline Colin aura su, avant de mourir, à qui transmettre le don…Jamais, même dans ses grands romans précédents ? Le vrai goût de la vie, Une odeur d’herbe folle, Le soir du vent fou ? , Michel Jeury n’a atteint à plus d’invention et de liberté dans la création de personnages et de situations. Une espèce de folie court tout au long du livre ? écho contemporain de la folie médiévale, quand Dieu et le Diable se livraient, en chaque être, leur éternel combat.
Le missel, c’était tout ce que la mère d’Aline avait laisser en héritage à sa fille , et les pauvres secrets de la Segonde, tout ce que la vieille guérriseuse, qui l’avait recueillie, pouvait transmettre à l’enfant avec le don. Ôter le feu, tirer les échardes, soulager toutes sortes de misères, chasser des champs les rats et les limaces, ce pouvoir mystérieux, cette petite fille de douze le possédait et l’exerçait déjà, avec l’aide des saints du paradis, quand elle se retrouva seule dans la vie.
C’était vers 1850, en Limousin, dans des temps si anciens qu’on en a perdu le souvenir, dans un monde si pauvre et si terrible qu’on se serait crû au Moyen-Âge.Soixante-quinze ans plus tard, vers 1925, Aline Colin, connue sous le nom de veuve Colin, décide de raconter sa vie ? un vrai roman, dit-elle ? au notaire de son village. Quelle vie ! Et quel roman, en effet ! Que de passions, que de déchirements et de drames (jusqu’au crime), que de personnages hors du commun, frustes, violent ou lumineux animent ces pages ! Jusqu’à ,la tragédie finale.
Grâce à Dieu, Aline Colin aura su, avant de mourir, à qui transmettre le don…Jamais, même dans ses grands romans précédents ? Le vrai goût de la vie, Une odeur d’herbe folle, Le soir du vent fou ? , Michel Jeury n’a atteint à plus d’invention et de liberté dans la création de personnages et de situations. Une espèce de folie court tout au long du livre ? écho contemporain de la folie médiévale, quand Dieu et le Diable se livraient, en chaque être, leur éternel combat.