La globalisation en "analyse". Géoéconomie et stratégie des acteurs
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- Nombre de pages628
- FormatPDF
- ISBN2-296-42181-4
- EAN9782296421813
- Date de parution01/12/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille31 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La globalisation est un phénomène ambigu. Elle prend sa source dans le développement des technologies, les économies d'échelle, l'ouverture des marchés et l'interdépendance économique. Pourtant, elle présente aussi des dangers non négligeables, comme la destruction des souverainetés et des cohésions nationales, ce qui prive les marchés de leurs responsabilités sociales et politiques sans lesquelles ils ne peuvent plus fonctionner.
Aujourd'hui, la globalisation conduit au monopole des valeurs économiques libérales. Elle ne s'inscrit pas dans un processus démocratique. Le résultat est souvent socialement injuste, politiquement conflictuel et économiquement inefficace. Si l'ancien monde est mort, le monde marchand commence à être critiqué, mais il y a peu de consensus sur la nouvelle société à construire. Les acteurs économiques de la mondialisation (organisations internationales, Etats, Régions, organisations non gouvernementales, firmes multinationales, ou les " maîtres-penseurs " de la globalisation) commencent à affûter leurs armes, pour développer des coalitions provisoires aux résultats incertains.
Si pendant des siècles les hommes ont cherché à réduire l'incertitude pour un monde plus humain, le développement économique proposé par la libéralisation de l'économie réduit le champ des certitudes sociales. Si les nouveaux conflits sociaux et politiques ne sont pas encore inévitables, ils deviennent de plus en plus probables dans un processus cumulatif d'antagonismes internationaux, de conflits régionaux et de guerres civiles.
Il est temps de faire l'analyse d'une globalisation aux coûts de l'homme croissants. Peut-on mettre la globalisation en " analyse " ?
Aujourd'hui, la globalisation conduit au monopole des valeurs économiques libérales. Elle ne s'inscrit pas dans un processus démocratique. Le résultat est souvent socialement injuste, politiquement conflictuel et économiquement inefficace. Si l'ancien monde est mort, le monde marchand commence à être critiqué, mais il y a peu de consensus sur la nouvelle société à construire. Les acteurs économiques de la mondialisation (organisations internationales, Etats, Régions, organisations non gouvernementales, firmes multinationales, ou les " maîtres-penseurs " de la globalisation) commencent à affûter leurs armes, pour développer des coalitions provisoires aux résultats incertains.
Si pendant des siècles les hommes ont cherché à réduire l'incertitude pour un monde plus humain, le développement économique proposé par la libéralisation de l'économie réduit le champ des certitudes sociales. Si les nouveaux conflits sociaux et politiques ne sont pas encore inévitables, ils deviennent de plus en plus probables dans un processus cumulatif d'antagonismes internationaux, de conflits régionaux et de guerres civiles.
Il est temps de faire l'analyse d'une globalisation aux coûts de l'homme croissants. Peut-on mettre la globalisation en " analyse " ?
La globalisation est un phénomène ambigu. Elle prend sa source dans le développement des technologies, les économies d'échelle, l'ouverture des marchés et l'interdépendance économique. Pourtant, elle présente aussi des dangers non négligeables, comme la destruction des souverainetés et des cohésions nationales, ce qui prive les marchés de leurs responsabilités sociales et politiques sans lesquelles ils ne peuvent plus fonctionner.
Aujourd'hui, la globalisation conduit au monopole des valeurs économiques libérales. Elle ne s'inscrit pas dans un processus démocratique. Le résultat est souvent socialement injuste, politiquement conflictuel et économiquement inefficace. Si l'ancien monde est mort, le monde marchand commence à être critiqué, mais il y a peu de consensus sur la nouvelle société à construire. Les acteurs économiques de la mondialisation (organisations internationales, Etats, Régions, organisations non gouvernementales, firmes multinationales, ou les " maîtres-penseurs " de la globalisation) commencent à affûter leurs armes, pour développer des coalitions provisoires aux résultats incertains.
Si pendant des siècles les hommes ont cherché à réduire l'incertitude pour un monde plus humain, le développement économique proposé par la libéralisation de l'économie réduit le champ des certitudes sociales. Si les nouveaux conflits sociaux et politiques ne sont pas encore inévitables, ils deviennent de plus en plus probables dans un processus cumulatif d'antagonismes internationaux, de conflits régionaux et de guerres civiles.
Il est temps de faire l'analyse d'une globalisation aux coûts de l'homme croissants. Peut-on mettre la globalisation en " analyse " ?
Aujourd'hui, la globalisation conduit au monopole des valeurs économiques libérales. Elle ne s'inscrit pas dans un processus démocratique. Le résultat est souvent socialement injuste, politiquement conflictuel et économiquement inefficace. Si l'ancien monde est mort, le monde marchand commence à être critiqué, mais il y a peu de consensus sur la nouvelle société à construire. Les acteurs économiques de la mondialisation (organisations internationales, Etats, Régions, organisations non gouvernementales, firmes multinationales, ou les " maîtres-penseurs " de la globalisation) commencent à affûter leurs armes, pour développer des coalitions provisoires aux résultats incertains.
Si pendant des siècles les hommes ont cherché à réduire l'incertitude pour un monde plus humain, le développement économique proposé par la libéralisation de l'économie réduit le champ des certitudes sociales. Si les nouveaux conflits sociaux et politiques ne sont pas encore inévitables, ils deviennent de plus en plus probables dans un processus cumulatif d'antagonismes internationaux, de conflits régionaux et de guerres civiles.
Il est temps de faire l'analyse d'une globalisation aux coûts de l'homme croissants. Peut-on mettre la globalisation en " analyse " ?