La fuite sans fin de Joseph Roth. "Les Fiches de Lecture d'Universalis"
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- FormatePub
- ISBN978-2-341-01330-7
- EAN9782341013307
- Date de parution04/04/2024
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEncyclopaedia Universalis
Résumé
Bienvenue dans la collection Les Fiches de lecture d'Universalis. Cette présentation est couplée avec un article de synthèse sur l'auteur de l'ouvre. La paix n'est pas la fin de la guerre. Ceux qui font l'expérience la plus amère de ce douloureux paradoxe sont certainement les prisonniers retenus dans des camps et qui, une fois les hostilités terminées, doivent encore attendre plusieurs mois, voire des années, avant de pouvoir rentrer chez eux.
Dans la période qui suit la Première Guerre mondiale, ce topos du Heimkehrer (« celui qui rentre enfin chez lui ») se retrouve chez de nombreux auteurs de langue allemande comme Bertolt Brecht, Alfred Döblin, ErichMaria Remarque, Ernst Toller ou Jakob Wassermann. Après avoir abordé ce thème dans les romans Hôtel Savoy (1924) et La Rébellion (1924), ainsi que dans la nouvelle « Humanité malade » (non datée), l'écrivain Joseph Roth (1894-1939), né dans l'Empire austro-hongrois, en fait le véritable sujet de La Fuite sans fin (Die Flucht ohne Ende. Ein Bericht), publié en 1927.
Franz Tunda, le personnage principal de ce récit, est le prototype de ces soldats qui constituent ce que l'on a appelé « la génération perdue » : celle qui ne se sent désormais nulle part à sa place, tant le traumatisme de la guerre et de la captivité a rendu ces « revenants » étrangers au monde qui était le leur auparavant.À PROPOS DE L'ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALISReconnue mondialement pour la qualité et la fiabilité incomparable de ses publications, Encyclopaedia Universalis met la connaissance à la portée de tous.
Écrite par 8 000 auteurs spécialistes et riche de plus de 31 000 médias (vidéos, photos, cartes, dessins.), l'Encyclopaedia Universalis est l'encyclopédie numérique de référence pour l'enseignement et la recherche documentaire. Elle aborde tous les domaines du savoir.
Dans la période qui suit la Première Guerre mondiale, ce topos du Heimkehrer (« celui qui rentre enfin chez lui ») se retrouve chez de nombreux auteurs de langue allemande comme Bertolt Brecht, Alfred Döblin, ErichMaria Remarque, Ernst Toller ou Jakob Wassermann. Après avoir abordé ce thème dans les romans Hôtel Savoy (1924) et La Rébellion (1924), ainsi que dans la nouvelle « Humanité malade » (non datée), l'écrivain Joseph Roth (1894-1939), né dans l'Empire austro-hongrois, en fait le véritable sujet de La Fuite sans fin (Die Flucht ohne Ende. Ein Bericht), publié en 1927.
Franz Tunda, le personnage principal de ce récit, est le prototype de ces soldats qui constituent ce que l'on a appelé « la génération perdue » : celle qui ne se sent désormais nulle part à sa place, tant le traumatisme de la guerre et de la captivité a rendu ces « revenants » étrangers au monde qui était le leur auparavant.À PROPOS DE L'ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALISReconnue mondialement pour la qualité et la fiabilité incomparable de ses publications, Encyclopaedia Universalis met la connaissance à la portée de tous.
Écrite par 8 000 auteurs spécialistes et riche de plus de 31 000 médias (vidéos, photos, cartes, dessins.), l'Encyclopaedia Universalis est l'encyclopédie numérique de référence pour l'enseignement et la recherche documentaire. Elle aborde tous les domaines du savoir.
Bienvenue dans la collection Les Fiches de lecture d'Universalis. Cette présentation est couplée avec un article de synthèse sur l'auteur de l'ouvre. La paix n'est pas la fin de la guerre. Ceux qui font l'expérience la plus amère de ce douloureux paradoxe sont certainement les prisonniers retenus dans des camps et qui, une fois les hostilités terminées, doivent encore attendre plusieurs mois, voire des années, avant de pouvoir rentrer chez eux.
Dans la période qui suit la Première Guerre mondiale, ce topos du Heimkehrer (« celui qui rentre enfin chez lui ») se retrouve chez de nombreux auteurs de langue allemande comme Bertolt Brecht, Alfred Döblin, ErichMaria Remarque, Ernst Toller ou Jakob Wassermann. Après avoir abordé ce thème dans les romans Hôtel Savoy (1924) et La Rébellion (1924), ainsi que dans la nouvelle « Humanité malade » (non datée), l'écrivain Joseph Roth (1894-1939), né dans l'Empire austro-hongrois, en fait le véritable sujet de La Fuite sans fin (Die Flucht ohne Ende. Ein Bericht), publié en 1927.
Franz Tunda, le personnage principal de ce récit, est le prototype de ces soldats qui constituent ce que l'on a appelé « la génération perdue » : celle qui ne se sent désormais nulle part à sa place, tant le traumatisme de la guerre et de la captivité a rendu ces « revenants » étrangers au monde qui était le leur auparavant.À PROPOS DE L'ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALISReconnue mondialement pour la qualité et la fiabilité incomparable de ses publications, Encyclopaedia Universalis met la connaissance à la portée de tous.
Écrite par 8 000 auteurs spécialistes et riche de plus de 31 000 médias (vidéos, photos, cartes, dessins.), l'Encyclopaedia Universalis est l'encyclopédie numérique de référence pour l'enseignement et la recherche documentaire. Elle aborde tous les domaines du savoir.
Dans la période qui suit la Première Guerre mondiale, ce topos du Heimkehrer (« celui qui rentre enfin chez lui ») se retrouve chez de nombreux auteurs de langue allemande comme Bertolt Brecht, Alfred Döblin, ErichMaria Remarque, Ernst Toller ou Jakob Wassermann. Après avoir abordé ce thème dans les romans Hôtel Savoy (1924) et La Rébellion (1924), ainsi que dans la nouvelle « Humanité malade » (non datée), l'écrivain Joseph Roth (1894-1939), né dans l'Empire austro-hongrois, en fait le véritable sujet de La Fuite sans fin (Die Flucht ohne Ende. Ein Bericht), publié en 1927.
Franz Tunda, le personnage principal de ce récit, est le prototype de ces soldats qui constituent ce que l'on a appelé « la génération perdue » : celle qui ne se sent désormais nulle part à sa place, tant le traumatisme de la guerre et de la captivité a rendu ces « revenants » étrangers au monde qui était le leur auparavant.À PROPOS DE L'ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALISReconnue mondialement pour la qualité et la fiabilité incomparable de ses publications, Encyclopaedia Universalis met la connaissance à la portée de tous.
Écrite par 8 000 auteurs spécialistes et riche de plus de 31 000 médias (vidéos, photos, cartes, dessins.), l'Encyclopaedia Universalis est l'encyclopédie numérique de référence pour l'enseignement et la recherche documentaire. Elle aborde tous les domaines du savoir.