La France que je combats. Itinéraire intellectuel et personnel
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- Nombre de pages166
- FormatPDF
- ISBN2-296-14416-0
- EAN9782296144163
- Date de parution01/03/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Né le 21 juin 1977 à Charleville-Mézières (France), diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille en mai 1999, Théophile Kouamouo a commencé sa carrière de reporter à L'Autre Afrique, hebdomadaire panafricain basé à Paris. Dès l'an 2000, il devient journaliste indépendant spécialisé sur l'Afrique, et travaille pour de nombreuses publications hexagonales dont L'Humanité, Le Point et France-Soir.
En février 2001, il devient correspondant du quotidien Le Monde à Abidjan, et à ce titre couvre l'actualité de nombreux pays de l'Afrique de l'Ouest. En octobre 2002, il fait face à la puissante machine de désinformation mise en branle par l'exécutif français pour déstabiliser les institutions de la République de Côte d'Ivoire et quitte le grand quotidien parisien. De Fraternité-Matin au Courrier d'Abidjan, il s'engage alors dans ce qu'il considère comme la " résistance journalistique " contre la pieuvre françafricaine qui, du Biafra en Côte d'Ivoire en passant par le Liberia et la Sierra Leone, ensanglante l'Afrique de l'Ouest dans une guerre sans fin dont le seul but est de maintenir l'hégémonie de son Empire.
Dans cet ouvrage, Théophile Kouamouo raconte son itinéraire professionnel et personnel, ainsi que tous les événements qui ont bouleversé sa vie en le faisant entrer, dans une période de larmes et de sang, dans l'histoire contemporaine de la Côte d'Ivoire. " Lisons donc ces paroles de Théophile Kouamouo, le journaliste, ces lignes de Théo, l'ami, car les deux nous parlent d'une même voix ; écoutons ce qu'il nous dit, car ce n'est pas seulement l'une des voix les plus brillantes, les plus percutantes, et les plus courageuses que le journalisme africain ait produit ; c'est aussi un homme jeune qui dans sa vie même, dans son parcours, dans ses errements et dans la perspicacité de son regard, peut représenter le plus fidèlement ce qui, dans les années à venir, sera une évidence en Afrique, qui l'est d'ailleurs déjà dans bien des pays : la prise de parole d'une génération d'Africains qui vit son indépendance tout simplement comme une évidence ".
Patrice Nganang.
En février 2001, il devient correspondant du quotidien Le Monde à Abidjan, et à ce titre couvre l'actualité de nombreux pays de l'Afrique de l'Ouest. En octobre 2002, il fait face à la puissante machine de désinformation mise en branle par l'exécutif français pour déstabiliser les institutions de la République de Côte d'Ivoire et quitte le grand quotidien parisien. De Fraternité-Matin au Courrier d'Abidjan, il s'engage alors dans ce qu'il considère comme la " résistance journalistique " contre la pieuvre françafricaine qui, du Biafra en Côte d'Ivoire en passant par le Liberia et la Sierra Leone, ensanglante l'Afrique de l'Ouest dans une guerre sans fin dont le seul but est de maintenir l'hégémonie de son Empire.
Dans cet ouvrage, Théophile Kouamouo raconte son itinéraire professionnel et personnel, ainsi que tous les événements qui ont bouleversé sa vie en le faisant entrer, dans une période de larmes et de sang, dans l'histoire contemporaine de la Côte d'Ivoire. " Lisons donc ces paroles de Théophile Kouamouo, le journaliste, ces lignes de Théo, l'ami, car les deux nous parlent d'une même voix ; écoutons ce qu'il nous dit, car ce n'est pas seulement l'une des voix les plus brillantes, les plus percutantes, et les plus courageuses que le journalisme africain ait produit ; c'est aussi un homme jeune qui dans sa vie même, dans son parcours, dans ses errements et dans la perspicacité de son regard, peut représenter le plus fidèlement ce qui, dans les années à venir, sera une évidence en Afrique, qui l'est d'ailleurs déjà dans bien des pays : la prise de parole d'une génération d'Africains qui vit son indépendance tout simplement comme une évidence ".
Patrice Nganang.
Né le 21 juin 1977 à Charleville-Mézières (France), diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille en mai 1999, Théophile Kouamouo a commencé sa carrière de reporter à L'Autre Afrique, hebdomadaire panafricain basé à Paris. Dès l'an 2000, il devient journaliste indépendant spécialisé sur l'Afrique, et travaille pour de nombreuses publications hexagonales dont L'Humanité, Le Point et France-Soir.
En février 2001, il devient correspondant du quotidien Le Monde à Abidjan, et à ce titre couvre l'actualité de nombreux pays de l'Afrique de l'Ouest. En octobre 2002, il fait face à la puissante machine de désinformation mise en branle par l'exécutif français pour déstabiliser les institutions de la République de Côte d'Ivoire et quitte le grand quotidien parisien. De Fraternité-Matin au Courrier d'Abidjan, il s'engage alors dans ce qu'il considère comme la " résistance journalistique " contre la pieuvre françafricaine qui, du Biafra en Côte d'Ivoire en passant par le Liberia et la Sierra Leone, ensanglante l'Afrique de l'Ouest dans une guerre sans fin dont le seul but est de maintenir l'hégémonie de son Empire.
Dans cet ouvrage, Théophile Kouamouo raconte son itinéraire professionnel et personnel, ainsi que tous les événements qui ont bouleversé sa vie en le faisant entrer, dans une période de larmes et de sang, dans l'histoire contemporaine de la Côte d'Ivoire. " Lisons donc ces paroles de Théophile Kouamouo, le journaliste, ces lignes de Théo, l'ami, car les deux nous parlent d'une même voix ; écoutons ce qu'il nous dit, car ce n'est pas seulement l'une des voix les plus brillantes, les plus percutantes, et les plus courageuses que le journalisme africain ait produit ; c'est aussi un homme jeune qui dans sa vie même, dans son parcours, dans ses errements et dans la perspicacité de son regard, peut représenter le plus fidèlement ce qui, dans les années à venir, sera une évidence en Afrique, qui l'est d'ailleurs déjà dans bien des pays : la prise de parole d'une génération d'Africains qui vit son indépendance tout simplement comme une évidence ".
Patrice Nganang.
En février 2001, il devient correspondant du quotidien Le Monde à Abidjan, et à ce titre couvre l'actualité de nombreux pays de l'Afrique de l'Ouest. En octobre 2002, il fait face à la puissante machine de désinformation mise en branle par l'exécutif français pour déstabiliser les institutions de la République de Côte d'Ivoire et quitte le grand quotidien parisien. De Fraternité-Matin au Courrier d'Abidjan, il s'engage alors dans ce qu'il considère comme la " résistance journalistique " contre la pieuvre françafricaine qui, du Biafra en Côte d'Ivoire en passant par le Liberia et la Sierra Leone, ensanglante l'Afrique de l'Ouest dans une guerre sans fin dont le seul but est de maintenir l'hégémonie de son Empire.
Dans cet ouvrage, Théophile Kouamouo raconte son itinéraire professionnel et personnel, ainsi que tous les événements qui ont bouleversé sa vie en le faisant entrer, dans une période de larmes et de sang, dans l'histoire contemporaine de la Côte d'Ivoire. " Lisons donc ces paroles de Théophile Kouamouo, le journaliste, ces lignes de Théo, l'ami, car les deux nous parlent d'une même voix ; écoutons ce qu'il nous dit, car ce n'est pas seulement l'une des voix les plus brillantes, les plus percutantes, et les plus courageuses que le journalisme africain ait produit ; c'est aussi un homme jeune qui dans sa vie même, dans son parcours, dans ses errements et dans la perspicacité de son regard, peut représenter le plus fidèlement ce qui, dans les années à venir, sera une évidence en Afrique, qui l'est d'ailleurs déjà dans bien des pays : la prise de parole d'une génération d'Africains qui vit son indépendance tout simplement comme une évidence ".
Patrice Nganang.