La fin de ma Russie. Journal 1914-1919
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- FormatePub
- ISBN978-2-36914-005-4
- EAN9782369140054
- Date de parution11/07/2013
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLibretto
- PréfacierMaria Razumovski
- TraducteurVera Michalski-Hoffmann
Résumé
Lorsqu'en novembre 1918, la princesse Catherine Sayn-Wittgenstein, âgée de vingt-trois ans, s'enfuit devant les bolcheviks avec sa famille en traversant le Dniestr, elle emporte avec elle en Roumanie trois cahiers: les tomes II à IV de son Journal. Ce document, qui n'a pas pris une ride, s'avère d'une immense valeur. En effet, tout l'univers de l'aristocratie russe, anéanti par la révolution, est restitué ici avec l'authenticité que seul permet un journal.
Nous vivons ainsi avec l'auteur, au jour le jour, les faits militaires, et la propagande qui les entoure, la révolution de Février, l'intermède démocratique qui la suit et le coup d'État des bolcheviks. Et cette frêle jeune femme ne se limite pas à nous exposer les faits. Elle exprime aussi ses opinions, parfois naïves, mais souvent étonnamment lucides. « L'histoire nous condamnera-t-elle autant qu'elle l'a fait pour les nobles au moment de la Révolution française ? » se demande-t-elle le 31 décembre 1917, et elle ajoute plus loin : « Oui, nous avons tort pour beaucoup de choses.
Même nous, notre génération. Mais avons-nous réellement mérité une punition pareille ? »L'auteur Née en 1895 et décédée en 1983, Catherine Sayn-Wittgenstein vécut son enfance en Ukraine. Ce n'est que lorsque Soljenitsyne lança en 1975 un appel aux émigrés russes de la première génération pour qu'ils témoignent que ces cahiers lui revinrent en mémoire.
Nous vivons ainsi avec l'auteur, au jour le jour, les faits militaires, et la propagande qui les entoure, la révolution de Février, l'intermède démocratique qui la suit et le coup d'État des bolcheviks. Et cette frêle jeune femme ne se limite pas à nous exposer les faits. Elle exprime aussi ses opinions, parfois naïves, mais souvent étonnamment lucides. « L'histoire nous condamnera-t-elle autant qu'elle l'a fait pour les nobles au moment de la Révolution française ? » se demande-t-elle le 31 décembre 1917, et elle ajoute plus loin : « Oui, nous avons tort pour beaucoup de choses.
Même nous, notre génération. Mais avons-nous réellement mérité une punition pareille ? »L'auteur Née en 1895 et décédée en 1983, Catherine Sayn-Wittgenstein vécut son enfance en Ukraine. Ce n'est que lorsque Soljenitsyne lança en 1975 un appel aux émigrés russes de la première génération pour qu'ils témoignent que ces cahiers lui revinrent en mémoire.
Lorsqu'en novembre 1918, la princesse Catherine Sayn-Wittgenstein, âgée de vingt-trois ans, s'enfuit devant les bolcheviks avec sa famille en traversant le Dniestr, elle emporte avec elle en Roumanie trois cahiers: les tomes II à IV de son Journal. Ce document, qui n'a pas pris une ride, s'avère d'une immense valeur. En effet, tout l'univers de l'aristocratie russe, anéanti par la révolution, est restitué ici avec l'authenticité que seul permet un journal.
Nous vivons ainsi avec l'auteur, au jour le jour, les faits militaires, et la propagande qui les entoure, la révolution de Février, l'intermède démocratique qui la suit et le coup d'État des bolcheviks. Et cette frêle jeune femme ne se limite pas à nous exposer les faits. Elle exprime aussi ses opinions, parfois naïves, mais souvent étonnamment lucides. « L'histoire nous condamnera-t-elle autant qu'elle l'a fait pour les nobles au moment de la Révolution française ? » se demande-t-elle le 31 décembre 1917, et elle ajoute plus loin : « Oui, nous avons tort pour beaucoup de choses.
Même nous, notre génération. Mais avons-nous réellement mérité une punition pareille ? »L'auteur Née en 1895 et décédée en 1983, Catherine Sayn-Wittgenstein vécut son enfance en Ukraine. Ce n'est que lorsque Soljenitsyne lança en 1975 un appel aux émigrés russes de la première génération pour qu'ils témoignent que ces cahiers lui revinrent en mémoire.
Nous vivons ainsi avec l'auteur, au jour le jour, les faits militaires, et la propagande qui les entoure, la révolution de Février, l'intermède démocratique qui la suit et le coup d'État des bolcheviks. Et cette frêle jeune femme ne se limite pas à nous exposer les faits. Elle exprime aussi ses opinions, parfois naïves, mais souvent étonnamment lucides. « L'histoire nous condamnera-t-elle autant qu'elle l'a fait pour les nobles au moment de la Révolution française ? » se demande-t-elle le 31 décembre 1917, et elle ajoute plus loin : « Oui, nous avons tort pour beaucoup de choses.
Même nous, notre génération. Mais avons-nous réellement mérité une punition pareille ? »L'auteur Née en 1895 et décédée en 1983, Catherine Sayn-Wittgenstein vécut son enfance en Ukraine. Ce n'est que lorsque Soljenitsyne lança en 1975 un appel aux émigrés russes de la première génération pour qu'ils témoignent que ces cahiers lui revinrent en mémoire.