La fin d'Abélard
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- Nombre de pages204
- FormatePub
- ISBN2-402-13292-2
- EAN9782402132923
- Date de parution01/01/1991
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille952 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Mess...
Résumé
Été 1140 - Pierre Abélard, à jamais l'amant d'Héloïse, le philosophe audacieux, n'a plus que deux ans à vivre. Les persécutions dont il n'a cessé d'être l'objet depuis sa castration viennent de déboucher sur son excommunication : ses écrits, jugés hérétiques, sont brûlés en place de Rome. Grâce à l'abbé de Cluny, il trouve cependant dans ce haut lieu de la vie monastique refuge et compréhension. Il meurt en avril 1142 alors que, malade, il s'est retiré au couvent de Saint-Marcel-de-Chalon.
Entre ces deux dates, peu de choses nous sont connues du drame intérieur qui agite Abélard. C'est ce silence qui a incité Suzanne Bernard à poursuivre la fresque qu'elle avait commencée avec Plus jamais Héloïse (Julliard, 1988) et à s'immerger une nouvelle fois « dans cette époque lointaine où le souffle était lent... où le mûrissement intellectuel allait de pair avec le goût du silence, l'écoute des choses...
le développement de l'être ». Ce roman, émouvant et vrai, ressuscite cette époque, marquée par l'affrontement d'Abélard et de Bernard de Clairvaux. Plus connu sous le nom de saint Bernard, il est le principal détracteur d'Abélard et défend la Croisade contre les musulmans alors que l'abbé de Cluny fait traduire le Coran... La figure d'Abélard que nous fait découvrir ce roman nous paraît singulièrement proche.
Suzanne Bernard a dessiné là le portrait d'un « intellectuel » irréductible, pionnier de la pensée de son temps, un être de raison, de passion et de fidélité.
Entre ces deux dates, peu de choses nous sont connues du drame intérieur qui agite Abélard. C'est ce silence qui a incité Suzanne Bernard à poursuivre la fresque qu'elle avait commencée avec Plus jamais Héloïse (Julliard, 1988) et à s'immerger une nouvelle fois « dans cette époque lointaine où le souffle était lent... où le mûrissement intellectuel allait de pair avec le goût du silence, l'écoute des choses...
le développement de l'être ». Ce roman, émouvant et vrai, ressuscite cette époque, marquée par l'affrontement d'Abélard et de Bernard de Clairvaux. Plus connu sous le nom de saint Bernard, il est le principal détracteur d'Abélard et défend la Croisade contre les musulmans alors que l'abbé de Cluny fait traduire le Coran... La figure d'Abélard que nous fait découvrir ce roman nous paraît singulièrement proche.
Suzanne Bernard a dessiné là le portrait d'un « intellectuel » irréductible, pionnier de la pensée de son temps, un être de raison, de passion et de fidélité.
Été 1140 - Pierre Abélard, à jamais l'amant d'Héloïse, le philosophe audacieux, n'a plus que deux ans à vivre. Les persécutions dont il n'a cessé d'être l'objet depuis sa castration viennent de déboucher sur son excommunication : ses écrits, jugés hérétiques, sont brûlés en place de Rome. Grâce à l'abbé de Cluny, il trouve cependant dans ce haut lieu de la vie monastique refuge et compréhension. Il meurt en avril 1142 alors que, malade, il s'est retiré au couvent de Saint-Marcel-de-Chalon.
Entre ces deux dates, peu de choses nous sont connues du drame intérieur qui agite Abélard. C'est ce silence qui a incité Suzanne Bernard à poursuivre la fresque qu'elle avait commencée avec Plus jamais Héloïse (Julliard, 1988) et à s'immerger une nouvelle fois « dans cette époque lointaine où le souffle était lent... où le mûrissement intellectuel allait de pair avec le goût du silence, l'écoute des choses...
le développement de l'être ». Ce roman, émouvant et vrai, ressuscite cette époque, marquée par l'affrontement d'Abélard et de Bernard de Clairvaux. Plus connu sous le nom de saint Bernard, il est le principal détracteur d'Abélard et défend la Croisade contre les musulmans alors que l'abbé de Cluny fait traduire le Coran... La figure d'Abélard que nous fait découvrir ce roman nous paraît singulièrement proche.
Suzanne Bernard a dessiné là le portrait d'un « intellectuel » irréductible, pionnier de la pensée de son temps, un être de raison, de passion et de fidélité.
Entre ces deux dates, peu de choses nous sont connues du drame intérieur qui agite Abélard. C'est ce silence qui a incité Suzanne Bernard à poursuivre la fresque qu'elle avait commencée avec Plus jamais Héloïse (Julliard, 1988) et à s'immerger une nouvelle fois « dans cette époque lointaine où le souffle était lent... où le mûrissement intellectuel allait de pair avec le goût du silence, l'écoute des choses...
le développement de l'être ». Ce roman, émouvant et vrai, ressuscite cette époque, marquée par l'affrontement d'Abélard et de Bernard de Clairvaux. Plus connu sous le nom de saint Bernard, il est le principal détracteur d'Abélard et défend la Croisade contre les musulmans alors que l'abbé de Cluny fait traduire le Coran... La figure d'Abélard que nous fait découvrir ce roman nous paraît singulièrement proche.
Suzanne Bernard a dessiné là le portrait d'un « intellectuel » irréductible, pionnier de la pensée de son temps, un être de raison, de passion et de fidélité.